Les 7 miracles du Rosaire

(traduction par Denis Bloud le 7 février 2008 d'une partie de la page des Croisés du Rosaire ("Rosary Crusaders"))

(English text below)

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1)          Le miracle de l’indépendance autrichienne après la 2e Guerre mondiale

En 1949, le pape Pie XII a déclaré : « Si Vienne tombe (aux mains des Communistes), l’Europe tombera. Si Vienne résiste, l’Europe résistera ». A l’automne de 1954, le père Petrus Vavlochek a organisé une grande procession mariale au centre de Vienne avec le Chancelier fédéral Figl en tête, tenant à la main son chapelet et une bougie. En avril 1955, plus de 700 000 Autrichiens (10 % de la population) se sont engagés à réciter le rosaire tous les jours, comme Notre-Dame de Fatima l’avait demandé.

Le 13 mai 1955, date anniversaire de la première apparition de Notre-Dame de Fatima (le 13 mai 1917), la Russie soviétique a accepté l’indépendance de l’Autriche. Sept mois après, (en octobre, mois du rosaire), elle a retiré toutes ses troupes de ce pays ! Le père Vavlochek a rapporté tout le crédit de la liberté autrichienne à Notre-Dame de Fatima et à la récitation du rosaire.

2)          Le miracle de la chute du communisme au Brésil en 1964

Une autre manifestation de la puissance de la récitation publique du Saint Rosaire afin de résister au communisme est intervenue en 1964 au Brésil. Le Président Goulart, sympathisant du communisme, avait nommé des membres éminents du Parti communiste à des postes élevés du gouvernement. L’archevêque de Rio de Janeiro a utilisé la radio afin d’avertir le peuple que le régime de Goulart était sur le point de donner le pouvoir aux communistes. Il a demandé des prières et des pénitences, en harmonie avec les demandes de Notre-Dame à Fatima.

La première confrontation importante a eu lieu lorsque 20 000 femmes brésiliennes dévouées, chapelet à la main, ont dispersé un rassemblement communiste. Le Président Goulart s’est moqué de cette manifestation pacifique, méprisant l’efficacité de la prière afin de résoudre les problèmes du Brésil. Les femmes de Sao Paulo ont alors agi contre Goulart. En six jours, elles ont organisé une manifestation appelée « Marche de la Famille avec Dieu vers la Liberté » : 600 000 personnes ont marché dans la ville de Sao Paulo en récitant le rosaire et en chantant des hymnes religieux. Il est devenu évident que Goulart n’avait pas le soutien populaire nécessaire pour effectuer une révolution au Brésil, de sorte qu’il s’est enfui du pays. Cette victoire a été attribuée à Notre-Dame du Rosaire.

3)          Le miracle de la chute du communisme aux Philippines en 1986

Des milliers de catholiques ont défié l’armée philippine commandée par le dictateur Ferdinand Marcos. Le dimanche qui a précédé l’effondrement du régime Marcos, des milliers de Philippins se sont mis à genoux en récitant le rosaire devant les chars des forces armées gouvernementales, qui avaient l’ordre de tirer sur les citoyens. Faisant gronder à fond le moteur des chars, les militaires ont ordonné au peuple de s’écarter du chemin. Les gens ont refusé de bouger. La colonne armée, qui se dirigeait vers un camp de dirigeants dissidents afin de l’attaquer, a été mise en déroute par le rosaire et est revenue à ses baraquements au lieu de rouler sur les citoyens. Le cardinal Jaime Sin a déclaré que les troupes gouvernementales se sont gardées de faire feu et d’attaquer la foule qui leur bloquait la voie parce que, comme les soldats lui ont dit, « une très belle dame vêtue de blanc était apparue ». Les soldats ont raconté à Son Eminence que la dame de l’apparition avait déclaré : « Arrêtez ! N’attaquez pas mon peuple. Je suis la Reine de ce pays. »

4)          Le miracle d’Hiroshima, le 6 août 1945

Huit pâtés de maisons (environ 1 km) séparaient l’endroit où la bombe A a explosé et un foyer catholique avec église attenante. Cette église a été complètement détruite mais pas la maison où se trouvaient 8 jésuites allemands qui y récitaient fidèlement le rosaire tous les jours. C’étaient des missionnaires auprès du peuple japonais et non des agents de l’Allemagne. Ils avaient eu l’autorisation de vivre et d’officier au Japon pendant la 2e Guerre mondiale parce que l’Allemagne et le Japon étaient alors alliés. Non seulement ils ont tous survécu avec (tout au plus) des blessures relativement mineures, mais ils ont tous vécu bien au-delà de ce jour de désolation, sans maladie des rayons, sans perte d’audition ni autre déficiences ou maladies visibles à long terme ! Evidemment, on les a interviewés très souvent (plus de 200 fois d’après un des survivants, le père Schiffer) par des scientifiques et par du personnel sanitaire au sujet de leur remarquable expérience. Ils ont déclaré ceci : « Nous considérons que nous avons survécu parce que nous étions en train de vivre le message de FatimaNotre Dieu veut que tout le monde ait la dévotion à mon Cœur» - NDT). Nous vivions et priions le rosaire tous les jours dans ce foyer. » Les scientifiques laïques sont évidemment sans voix et incrédules devant cette explication. Ils sont persuadés qu’il existe une explication « rationnelle ». Mais après plus de 63 ans, les savants restent absolument déconcertés quand il s’agit de trouver un scénario plausible afin d’expliquer cette unique échappée à la luciférienne puissance de cette bombe.

5)          Le miracle de Lépante en 1571

Presque depuis le début de l’Islam, il y a eu guerre après guerre entre Chrétiens et Musulmans. Rappelons-nous des Croisades (sept grandes et plusieurs petites), qui ont duré pendant des siècles. Voici l’histoire de la bataille de Lépante, qui a marqué la fin des Croisades et a constitué une charnière dans l’histoire de la Chrétienté.

La victoire de Charles Martel à Poitiers en 732 a arrêté définitivement l’invasion des Musulmans en Europe de l’Ouest. A l’Est, les Chrétiens ont tenu ferme à l’est contre les attaques des Musulmans jusqu’en 1453. Cette année-là, Mohammed II a conduit d’énormes assauts contre Constantinople : au soir du 29 mai 1453, la capitale byzantine est tombée et, en 1571, les Musulmans étaient solidement installés en Europe. Leurs navires faisaient la loi sur la Méditerranée, du détroit du Bosphore jusqu’à celui de Gibraltar, piratant constamment les navires chrétiens s’ils n’arboraient pas le bon pavillon.

Le pape Pie V a essayé, au cours de sa dernière année de papauté en 1571, de rallier les nations d’Europe afin de constituer une Sainte Ligue chargée d’arrêter et de faire reculer l’ennemi musulman qui menaçait tout le continent. L’Espagne, dont le roi Philippe II était également roi d’Autriche, a répondu favorablement. Les Musulmans étaient alors engagés dans la conquête de Chypre, île qui appartenait alors à la République de Venise. Les doges de Venise auraient préféré mettre au point une sorte d’accord de coexistence pacifique avec le Sultan mais, sous l’influence de Saint Pie V en faveur de la croisade, ils décidèrent de se joindre à la Sainte Ligue, de concert avec les républiques de Gênes et de Lucques, ainsi qu’avec les duchés de Savoie, Parme, Ferrare et Urbino.

La flotte papale faisait naturellement partie de la Sainte Alliance. Pie V a demandé à Philippe II de nommer Jean d’Autriche, fils de l’empereur Charles V et âgé de 25 ans, commandant suprême d’un projet d’expédition contre les Musulmans. Après avoir reçu du Pape, par l’intermédiaire du cardinal Granvalla, la bannière de la Sainte Ligue, la flotte du prince Jean a fait voile de Gênes à Naples le 26 juin 1571.

Peu d’historiens mentionnent le fait que, juste avant le départ, Philippe II a offert au prince Jean une image de Notre-Dame de Guadalupe, image que Celle-ci avait fait s’imprimer miraculeusement sur le manteau du paysan mexicain Juan Diego en 1531. Le prince Jean mit ce tableau dans la chapelle du vaisseau amiral, le « Jean-André Doria » gênois, en demandant à Marie de protéger son expédition.

Le 16 septembre 1571, la flotte chrétienne leva les voiles. Le prince Jean fit mettre l’ancre au large de Corfu, où il avait appris que les Musulmans avaient rasé des villes et des villages entiers avant de faire retraite vers la côte de Lépante, dans le golfe de Corinthe. A l’aube du 7 octobre, devant le golfe de Patras, les flottes chrétienne et musulmane entrèrent finalement en face à face afin de livrer la bataille de Lépante, le rapport de forces étant d’un Chrétien contre 3 Turcs.

Le vent et tous les facteurs militaires étaient en faveur des Musulmans mais le prince Jean était confiant. Il embarqua à bord d’un navire rapide afin de passer sa flotte en revue une dernière fois. Il cria des encouragements à ses hommes, qui lui répondirent de la même façon. Dès que le prince Jean eut regagné sa propre position, le vent tourna mystérieusement à l’avantage de la flotte chrétienne ! Des témoins de première main ont décrit ce moment comme un retournement de situation surprenant, dû à un « facteur inconnu ».

Au même moment de l’aube du 7 octobre 1571 –comme les Archives du Vatican l’ont révélé plus tard, le pape Pie V, accompagné de nombreux fidèles, récitait le rosaire dans la basilique Sainte-Marie Majeure. Les prières continuèrent sans interruption à Rome de l’aube jusqu’au crépuscule, alors que les Chrétiens et les Musulmans se battaient à Lépante. En fin de compte, les Musulmans essuyèrent une lourde défaite : sur 270 navires, ils en perdirent au moins 200 (les trois quarts) ! Les Turcs perdirent également 30 000 hommes alors que les pertes chrétiennes ne furent comprises qu’entre 4 000 et 5000.

Le rosaire avait remporté une grande victoire militaire. Comme tous les grands chefs de bataille qui haïssent la guerre et aiment la paix, le prince Jean se retira après sa victoire de Lépante. Il mourut quelques années plus tard, à l’âge de 31 ans. Un autre participant à la grande bataille de Lépante, Miguel de Cervantès, vécut assez longtemps pour écrire son fameux tribut à la chevalerie chrétienne : Don Quichotte.

A la suite de la grande victoire des Chrétiens à Lépante, le pape Pie V déclara que, dorénavant, une commémoration du rosaire ferait partie de la messe vaticane tous les 7 octobre. Son successeur, le pape Grégoire XIII, alla plus loin. En 1573, il décréta la Fête du Très saint Rosaire, qui doit être célébrée par toutes les églises possédant un autel particulièrement consacré au rosaire. En 1671, le pape Clément X étendit l’observance de cette fête à toutes les églises d’Espagne.

6)          Le miracle de Vienne en 1683

Douze ans seulement après cette décision de Clément X, en 1683, les Musulmans s’introduisirent de nouveau en Europe. Forts de 200 000 hommes, ils mirent le siège devant Vienne. Après des mois de résistance vaillante par une petite garnison, la cité a été libérée par une armée conduite par le roi de Pologne, Jean Sobieski. Le Rosaire, auquel le roi était dédié, fut de nouveau à l’origine d’une victoire militaire. Le pape Innocent XI consacra le 12 septembre de cette année au Saint Nom de Marie. Les hordes musulmanes furent de nouveau chassées, le 5 août 1716, par le Prince Eugène à Peterwardein (Hongrie), le jour de la Fête de Notre-Dame des Neiges. C’est à la suite de cette victoire que le pape Clément XI étendit la Fête du Rosaire à l’Eglise universelle.

7)          Le miracle de Fatima

Comme l'a écrit l'archevêque Fulton Sheen (1895-1979): "Le Coran contient des versets sur l’Annonciation, sur la Visitation et sur la Nativité. Les Anges y sont décrits comme accompagnant la Sainte Mère en disant : « Ô Marie, Dieu t’a choisie, t’a purifiée et t’a élue au-dessus de toutes les femmes de la terre. » Dans le XIXe chapitre du Coran, il y a 41 versets sur Jésus et Marie. La défense de la virginité de Marie est si véhémente que le Coran, dans son 4e Livre, attribue la condamnation des Juifs à leur monstrueuse calomnie proférée à l’encontre de la Vierge Marie.

Pour les Musulmans, Marie est donc la véritable Sayyida ou Dame. Dans leur croyance, sa seule rivale sérieuse ne pourrait être que la fille de Mohamet lui-même, Fatima. Après le décès de Fatima, Mohamet écrivit toutefois ceci : « Tu es la plus bénie de toutes les femmes dans le Paradis, après Marie. » Dans une variante du même texte, l’on fait dire à Fatima : « Je surpasse toutes les femmes, sauf Marie. »

Cela nous amène à notre deuxième argument : à savoir la raison pour laquelle, au XXe siècle, le 13 mai 1917,la Sainte Mère s’est elle-même révélée dans le petit village inconnu de Fatima au Portugal, de sorte que toutes les générations qui ont suivi cet évènement l’ont appelée « Notre-Dame de Fatima ». Etant donné que rien n’émane du Ciel si ce n’est avec un grand luxe de détails et de coïncidences, je crois que la Sainte Vierge a choisi d’être appelée « Notre-Dame de Fatima » afin de devenir un gage et un signe d’espérance aux yeux du peuple musulman et une preuve du fait que ces croyants, qui Lui témoignent tant de respect, accepteront un jour également Son divin Fils."

8)          Le futur miracle de la conversion des musulmans à la foi chrétienne universelle

"Une preuve à l’appui de ces considérations se trouve dans le fait historique que les Musulmans ont occupé le Portugal pendant des siècles. A l’époque de leur expulsion finale, le dernier chef musulman avait une fille très belle, nommée Fatima. Un jeune catholique en tomba amoureux et pour lui, non seulement elle resta en arrière lorsque les Musulmans partirent mais elle embrassa même sa foi. Son jeune mari en était tellement amoureux qu’il changea le nom du village où il vivait en Fatima. C’est ainsi que l’endroit même où Notre-Dame apparut le 13 mai 1917 porte justement le nom de la fille de Mahomet, Fatima !

La preuve ultime de la relation entre Fatima et les Musulmans est la réception enthousiaste que les Musulmans ont toujours réservée, en Afrique, en Inde et ailleurs, à la statue du pèlerinage de Notre-Dame de Fatima. Des Musulmans ont assisté à des messes en l’honneur de Notre-Dame. Ils ont autorisé des processions religieuses et même des prières devant leurs mosquées. Et au Mozambique, des Musulmans se convertirent au christianisme dès que la statue de Notre-Dame de Fatima fut érigée."

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NDT – A propos de la prochaine conversion des musulmans au christianisme, l’on pourrait citer la 5e prophétie de la Vierge confiée à Bernadette Soubirous et reproduite ainsi dans sa lettre au pape Léon XIII en 1879 :

«Au début du XXIe siècle, on assistera au choc des adeptes de Mahomet et des nations chrétiennes. Une terrible bataille aura lieu dans laquelle 5 650 451 soldats perdront la vie et une bombe très destructrice sera lancée sur une ville de la Perse. Mais à la fin, c'est le signe de la croix qui vaincra et tous les musulmans se convertiront au christianisme. Suivra un siècle de paix et de bonheur car toutes les nations déposeront les armes. Une grande richesse s'ensuivra car le Seigneur va répandre sa bénédiction sur les croyants. Sur toute la terre, il ne restera pas une seule famille vivant dans la pauvreté et souffrant de la faim. A un homme sur dix, Dieu donnera le pouvoir de guérir les maladies de ceux qui appellent à l'aide. Suite à ces miracles, on entendra les cris d'allégresse d'un grand nombre. Le 21e siècle sera nommé: «Deuxième Age d'Or de l'humanité».

NOTE – Une étude plus approfondie des différentes prophéties existantes est à consulter séparément.

Original English texts:

The 7 ROSARY MIRACLES

1) Austria 

After WWII, strategic location in Europe. Pope Pius XII noted in 1949 that, “If Vienna falls (to the Communists), Europe will fall. If Vienna stands fast, Europe will stand fast.” In the fall of 1954, Fr. Petrus Vavlochek organized a great Rosary procession in the center of Vienna, led by Federal Chancellor Figl with his Rosary and candle in hand. By April 1955 over seven hundred thousand people in Austria, or 10% of the population, pledged to pray the daily Rosary in compliance with Our Lady of Fatima’s request.

On May 13, 1955 — the anniversary date of the first apparition of Our Lady of Fatima, Soviet Russia agreed to the independence of Austria and shortly thereafter in October, the month of the Rosary, withdrew its troops completely. Fr. Vavlochek, gave full credit for Austrian freedom to Our Lady of Fatima and the recitation of the Rosary.

2) Brazil

Another manifestation of the power of public recitation of the Holy Rosary over Communism occurred in 1964 in Brazil. Communist sympathizer President Goulart had appointed top Communist Party members to high government posts. The Archbishop of Rio de Janeiro used the radio to warn the people that the Goulart regime was about to seize power for the Communists. He asked for prayer and penance, in keeping with Our Lady’s requests at Fatima.

The first major encounter with the Communists came when 20,000 devoted Brazilian women with Rosaries in hand broke up a Communist rally. President Goulart derided this peaceful demonstration, scorning the effectiveness of prayer in solving Brazil’s problems. The women of Sao Paulo took action against Goulart. In six days, they arranged a demonstration called the “March of the Family with God Toward Freedom” and 600,000 people marched through downtown Sao Paulo praying the Rosary and singing religious hymns. It became apparent that Goulart did not have the popular support necessary to affect a revolution in Brazil, and he fled the country. The victory was attributed to Our Lady of the Rosary.

3) Philippines

 In the Philippines in 1986, thousands of Catholics defied the Philippine Army under the command of the dictator Ferdinand Marcos. On the Sunday before the collapse of the Marcos regime, thousands of Filipinos knelt in a field reciting the Rosary before the tanks of the government’s armed forces, who had orders to fire on the citizens. Revving the engines of the tanks, the military ordered the people to clear a path. They refused to move… The armored column, which had been on its way to attack a camp of dissident leaders, was turned around by the Rosary, rolling back to the barracks instead of over the citizens.

Jaime Cardinal Sin said that the government troops held their fire and did not attack the crowd blocking their way because, as the soldiers told him, “A very beautiful lady dressed in white appeared.” The soldiers told His Eminence the lady in the vision said, “Stop! Don’t attack my people. I am the Queen of this land.”

Rosary Miracle at Hiroshima - August 6th, 1945

There was a home eight blocks (about 1 kilometer) from where the A-Bomb went off in Hiroshima Japan. This home had a church attached to it which was completely destroyed, but the home survived, and so did the eight German Jesuit missionaries who prayed the rosary in that house faithfully every day.  These men were missionaries to the Japanese people, they were non-military, but because Germany and Japan were allies during WWII they were permitted to live and minister within Japan during the war.  Not only did they all survive with (at most) relatively minor injuries, but they all lived well past that awful day with no radiation sickness, no loss of hearing, or any other visible long term defects or maladies.  Naturally, they were interviewed numerous times (Fr. Schiffer, a survivor, said over 200 times) by scientists and health care people about their remarkable experience and they say "we believe that we survived because we were living the message of Fatima.  We lived and prayed the rosary daily in that home." Of course the secular scientists are speechless and incredulous at this explanation - and they are sure there is some "real" explanation - but at the same time over 55 years later the scientists are still absolutely bamboozled when it comes to finding a plausible scenario to explain the missionary's unique escape from the hellish power of that bomb.

 5) The Miracle At Lepanto

 Almost from the very beginning of Islam, there were wars upon wars between Christians and Moslems. We remember the Crusade wars, seven major and several minor, which lasted for centuries. This is the story of the Battle of Lepanto, which marked the end of the Crusades and was a turning point in the history of Christianity.

 Charles Martel's victory at Poitiers definitely stopped the Moslem invasion of western Europe in 732. In the east Christians held firm against attacks of the Moslems until 1453. In that year, Mohammed II threw huge assaults against Constantinople and by the evening of May 29 the Byzantine capital fell. By 1571 the Moslems were firmly installed in Europe. Their ships ruled the Mediterranean Sea from the Strait of Bosporus to the Strait of Gibraltar and constantly preyed on Christian vessels unless they flew the correct flag.

 Pope Pius V, in the last year of his papacy in 1571, tried to rally the nations of Europe to join in a Holy League to stop and roll back the Moslem enemy which threatened the entire continent. Spain, whose King Philip II was also King of Austria, responded favorably. The Moslems were then engaged in the conquest of Cyprus, an island belonging to the Republic of Venice.

Leading Venetian officials would have preferred to have worked out some peaceful-coexistence agreement with the Sultan, but under the crusading influence of Saint Pius V, they decided to join the Holy League along with the republics of Genoa and Lucca and the dukes of Savoy, Parma, Ferrara and Urbino.

The Papal fleet was of course part of the Holy Alliance. Pius V asked Philip to appoint Don John of Austria, the 25-year old son of Emperor Charles V, as commander-in-chief of a planned expedition against the Moslems. After receiving the banner of the Holy League from the Pope, through Cardinal Granvalla, Don John's fleet set sail from Genoa for Naples on June 26, 1571.

 Few historians mention that just before the departure, Philip II presented Don John with a picture of Our Lady of Guadalupe which she had caused to be miraculously imprinted on the cloak of the Indian peasant Juan Diego in Mexico 40 years before. Don John placed the picture in the chapel of the admiral-vessel, the Genoese John Andrew Doria, asking for Mary's protection of his expedition.

 On September 16, the Christian fleet put to sea. Don John anchored off of Corfu where he learned that the Moslems had leveled entire towns and villages and then retreated to the coast of Lepanto in the Gulf of Corinth.

At dawn on October 7, at the entrance to the Gulf of Patras, the Christian and Moslem fleets finally came face to face for the battle of Lepanto, where the Christians were outnumbered three to one.

 The wind and all military factors favored the Moslems, but Don John was confident. He boarded a fast ship for a final review of his fleet. He shouted encouraging words to the men and they shouted back. After Don John returned to his own position, the wind mysteriously changed to the advantage of the Christian fleet. First-hand witnesses wrote about this moment as a most dramatic turn-of-events resulting from an "unknown factor".

 At that very moment, at dawn on October 7, 1571--as Vatican Archives later revealed--Pope Pius V, accompanied by many faithful, was praying the Rosary in the Basilica of Santa Maria Maggiore. From dawn to dusk the prayers continued in Rome as the Christians and the Moslems battled at Lepanto. When it was all over the Moslems had been defeated. Of some 270 Moslem ships, at least 200 were destroyed. The Turks also lost 30,000 men while Christian casualties numbered between 4,000 and 5,000.

 The Rosary had won a great military victory. Like all truly great military leaders who hate war and love peace, Don John retired after his victory at Lepanto. He died a few years later at the age of 31. Another who took part in the great battle of Lepanto, Miguel de Cervantes, lived longer to write his famous tribute to Christian chivalry, Don Quixote.

 Following the great Christian victory at Lepanto, Pope St. Pius V declared that henceforth a commemoration of the Rosary would be a part of the Vatican's Mass on every October 7. His successor, Pope Gregory XIII, went further. In 1573 he established the Feast of the Most Holy Rosary--to be celebrated at all Churches which had specific altars dedicated to the Rosary. In 1671 Pope Clement X extended observance of the feast to all of Spain.

6)  VIENNA

Only 12 years later in 1683 the Moslems again swept into Europe. With 200,000 men, they laid siege to Vienna. After months of valiant resistance by a small garrison, the city was relieved by an army under John Sobieski, King of Poland. The Rosary, to which the King was dedicated, was again instrumental in a military victory. Pope Innocent XI consecrated September 12 of that year to the Holy Name of Mary. The Moslem hordes were hurled back yet again at Peterwardein in Hungary by Prince Eugene on the Feast of Out Lady of the Snows, August 5, 1716. As a result of this victory, Pope Clement XI extended the Feast of the Rosary to the Universal Church.

7)  FATIMA

As Archbishop Fulton Sheen (1895-1979) put it: “The Qu'ran has verses on the Annunciation, Visitation, and Nativity. Angels are pictured as accompanying the Blessed Mother and saying: "Oh, Mary, God has chosen you and purified you, and elected you above all the women of the earth." In the nineteenth chapter of the Qu'ran there are 41 verses on Jesus and Mary. There is such a strong defense of the virginity of Mary here that the Qu'ran, in the fourth book, attributed the condemnation of the Jews to their monstrous calumny against the Virgin Mary.

 Mary, then, is for the Muslims the true Sayyida, or Lady. The only possible serious rival to her in their creed would be Fatima, the daughter of Mohammed himself. But after the death of Fatima, Mohammed wrote: "Thou shalt be the most blessed of all women in Paradise, after Mary." In a variation of the text, Fatima is made to say, "I surpass all the women, except Mary."

 This brings us to our second point: namely, why the Blessed Mother, in the 20th century, should have revealed herself in the insignificant little village of Fatima, so that to all future generations she would be known as "Our Lady of Fatima." Since nothing ever happens out of Heaven except with a finesse of all details, I believe that the blessed Virgin chose to be known as "Our Lady of Fatima" as a pledge and a sign of hope to the Muslim people, and as an assurance that they, who show her so much respect, will one day accept her divine Son too.

 Evidence to support these views is found in the historical fact that the Muslims occupied Portugal for centuries. At the time when they were finally driven out, the last Muslim chief had a beautiful daughter by the name of Fatima. A Catholic boy fell in love with her, and for him she not only stayed behind when the Muslims left, but even embraced the faith. The young husband was so much in love with her that he changed the name of the town where he lived to Fatima. Thus, the very place where our lady appeared in 1917 bears a historical connection to Fatima, the daughter of Mohammed.

 The final evidence of the relationship of Fatima to the Muslims is the enthusiastic reception which the Muslims in Africa, India, and elsewhere gave to the pilgrim statue of Our Lady of Fatima. Muslims attended the church services in honor of our Lady, they allowed religious processions and even prayers before their mosques; and in Mozambique, the Muslims who were unconverted, began to be Christian as soon as the statue of Our Lady of Fatima was erected.

How to Pray the Rosary

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