Rhumes et grippes

(mise à jour du mardi 28 août 2012 – pour les vaccinations, voir le document « Vaccinations : acte de foi ou arnaque ? »)

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Dans les états prégrippaux, plusieurs « remèdes de cheval » ou de « grand’mère » (indiqués ci-dessous) sont immédiatement applicables, ainsi que d’anciennes spécialités pharmaceutiques éprouvées. Les produits soulignés sont à acheter en France, les autres en Suisse.

A – Renforcement des défenses immunitaires

0)    Défense mécanique par protection des muqueuses respiratoires. Pulvérisations nasales (dès les premiers symptômes de rhume, bronchite ou irritation de la gorge) avec « Vicks Première Défense » (flacon de 15 ml, 7.50 €). Il s’agit d’un gel de méthylcellulose « à base d’extrait de plantes », dont l’action mécanique me paraît analogue à l’action biochimique du Tamiflu, c'est-à-dire que le virus est encapsulé par le gel afin de faire écran entre les enzymes virales et les parois des cellules saines. Le pH acide du produit inactive le virus, qui est ensuite éliminé par augmentation osmotique de la sécrétion de la muqueuse nasale.

Note - Une action anti-adhérence aux cellules est également assurée par des polysaccharides comme l’acide polyglucuronique de l’Aloe vera, dont la molécule à charge électrostatique négative se lie à l’enveloppe des bactéries et les empêche ainsi d’adhérer à la surface des cellules, comme l’explique Wikipédia : « Des recherches récentes sur les polysaccharides constituant la capsule d'une souche d'Escherichia coli uropathogène ont montré que ceux-ci empêchaient la formation de biofilms. En présence de ces polysaccharides, des Bactéries tel le staphylocoque doré, deviennent incapables de s'organiser en biofilm. Ils jouent le rôle d'antiadhésif et empêchent les contacts entre les micro-organismes. ».

Prévoir quelques éternuements et une irritation locale temporaire (comme je l’ai constaté après un essai en sortant de la pharmacie) ! Un traitement analogue est extrait du Géranium du Cap (Pelargonium sidoides), que l'on ne trouve que dans certaines régions d'Afrique du Sud. On extrait de sa racine une substance appelée en zoulou "umckaloabo" (signifiant "toux sévère") qui recouvre les muqueuses des voies respiratoires d'un film protecteur empêchant la fixation des virus et bactéries (ce qui est le principe mécanique utilisé par le Tamiflu et par "Vicks Première Défense"). L'Umckaloabo est commercialisé par le laboratoire Schwabepharma à Küssnacht, en Suisse.

1)        Echinacée et Ginseng (gouttes Echinacin (100 ml, Madaus, Köln) ou préparation magistrale n° 214 de chez Alpinamed (avec eleutherococcus,     spilanthes et echinacea); miel à la gelée royale avec huiles essentielles spécifiques. Echinacea peut être prise en dilution homéopathique ;

2)        humidification de l'air de la chambre à coucher (environ 50 %) par évaporation d'eau (p. ex. sur un réchaud électrique) avec huiles essentielles ou pastilles pour inhalations Perubore (en Suisse Perubare, 6.80 CHF/30 comp.) ou Solution Rhume n°16 Médiflor (5,48 €/ 90 ml) ;

3)        vitamine C et polyphénols à hautes doses (agrumes, grenade, confitures de sureau, d'argousier ou d'églantine, Laroscorbine 1000 mg, effervescente et non sucrée) ou vitamine C à l’acérola 750 mg et pur églantier (Célardin) 1 g. La punicalagine de la grenade est un puissant antiviral, conseillé par le Dr Christian Schaller sous forme de la spécialité GranaImun ;

4)         cataplasmes (sinapismes) « Rigollot » (sachet de 10) sur le thorax;

5)         bains chauds (20 min) avec 30 ml de Perskindol (250 ml, 18.80 CHF);

6)         antibiotiques naturels (ail, oignon, et (si pas d'allergie à la pénicilline): tartines de bleu de Bresse, Roquefort ou similaire; Combucha, eau ultrapure et réductrice (donneuse d’électrons), comme celle du Mont Roucous ou du Montcalm (rH2<28!); les gousses d’ail peuvent être simplement avalées afin d’en éviter les émanations buccales.

7)        « Cerivikehl » Sanum, 30 ml (remède isopathique).

8)        huiles essentielles spécifiques (Synergie IV: Grippe) à ajouter dans le miel, l'huile de salade et le vinaigre, ainsi qu'à inhaler ou oindre sur le thorax, le cou et la plante des pieds (p. ex. pommade Vicks Vaporub). Voir à ce sujet l'article du Dr Baudoux intitulé "Grippe H1N1: précautions pour une saine gestion du risque avec les huiles essentielles".

9)        argent colloïdal, par exemple sous la forme du collyre « Stillargol » à 1 % de protéinate d’argent en solution (1 goutte/jour dans de l’eau ultrapure).

10)      magnésium (sous forme d’hydroxyde (Mg(OH)2) générique ou de « Chlorumagène ») à diluer dans de l’eau ultrapure.

B – Maux de gorge

1)         badigeonner la gorge (luette) au bleu de méthylène avec un tampon porte-collutoire aseptique (« Tampobleu », boîte de 20 badigeons – Coopération Pharmaceutique Française – 77001 Melun) ; le bleu de méthylène peut aussi être absorbé en interne (3 gouttes par litre d’eau ultrapure).

2)         gargarismes (vinaigre, Hextril, eau + miel + bleu de méthylène etc.) ;

3)         enveloppements/compresses vésicatoires chaudes sur le cou avec essences balsamiques et/ou avec 250 g de séré (ebi-forum 64/2009)

4)         suppositoires « Amygdorectol » au bismuth (Merck-Clévenot) ;

5)         nébuliseur buccal « Collu-Blache » ; nébulisation de Camillosan ;

6)         pastilles à la thyrotricine (« Tyrotricine-Solutricine ») ; «Mébucaïne », « Drosana Broncho » à l’éphédrine (Pharmadro/Bienne), « Lemocine Citron ») ;

7)         pâtes pectorales PPG (Piraud) à la codéine (8.30 CHF/36 pastilles), pastilles « Isla-Moos » au lichen (Pharmakos, Zurich), bonbons et sirops aux herbes (attention aux produits "sans sucre" contenant de l'aspartame et/ou de l'acésulfame!) ;

8)         gouttes « Broncosyl » et « Sinaryl » Homberger (tél. 004122 310 45 33 pour envoi à domicile) ;

9)         homéopathie : globules « Similasan – Maux de gorge n°1 » ; « Sinuspax » Lehning, « Infludo » Weleda, Homéogrippe Boiron;

10)       doses « Oscillococcinum » et d' "Influenzinum 9CH" ;

11)        infusion de racine de guimauve (ebi-forum 64/2009) (interne et gargarismes)

12)        découper des oignons et les poser près du lit durant la nuit (ebi-forum 64/2009)

C – Ecoulements par le nez

1)          jeûne pendant 24 ou 36 h ;

2)          gouttes nasales « Balsamorhinol » ;

3)          Pommade nasale Weleda ; onguent nasal « Bépanthène » Roche ;

4)          rinçages du nez avec de l’eau salée (ou avec des ampoules de « Prorhinel ») ;

5)          homéopathie : « Coryzalia » (Boiron) et « Alceprin » (Dolisos) ;

6)          allopathie (avec prudence): « Rhinopront » à la phényléphrine (11.35 CHF/12 capsules en janvier 2005)(Pfizer Zurich) ;

7)         comprimés « Doli rhume » (paracétamol+pseudoéphédrine) (= « Prétuval », « No-Flu », « Denoral ») ;

8)         complexe « L52 » (Lehning, très efficace pour les états grippaux) ;

9)        manger du raifort (crème de raifort à 67% à la Migros et à 50 % à la Coop – extrait pur en diététique, mais plus fort que la moutarde !) (réf. GHI 1/5/97-Trinquedoux) ; on trouve aussi à la Coop d’Onex de la racine de raifort brute (à râper), venant d’Allemagne.

D – Toux sèche et toux grasse

En principe, il ne faut pas associer les remèdes pour toux sèche sans expectorations (aspirine, codéine, dextrométhorphane, morclofone (Nitux, Pholcodine, butamirate…) avec les remèdes pour toux grasse avec expectorations (mucolytiques).

Dans le cas de mon épouse, qui ne parvenait pas à expectorer ses mucosités malgré ses doses d’acétylcystéine, ce n’est que grâce au sirop Nitux (pour toux sèche et irritative) qu’elle a finalement pu les expectorer et ainsi se rétablir complètement.

Toux sèche irritative et spasmodique: sirop Amavita Dextrométhorphane (13.90 CHF/200 ml en juin 2012), capsules Amavita Dextrométhorphane (10.90 CHF), sirops à la pholcodine désormais interdits en France mais vendus en Suisse : Phol-Tussil, 14.80 CHF en juin 2012, Nitux ; sirop, gouttes et comprimés "Bexine" (8.35 CHF/150 ml) ou Akindex adulte 200 ml, Sirop Nodex adulte 150 ml ou pâtes à mâcher, sirop Nortussine adulte 125 ml ; etc.

Toux grasse : mucolytiques facilitant l'expectoration (acétylcystéine, codéine, guaifénésine): Acétylcystéine Générique 200 mg (fluidifiant des sécrétions, qu’il faut ensuite expectorer (= oser cracher !)), boîte de 30 sachets: 3,94 € en France; ou « Mucomyst », « Fluimucil », comprimés « Solmucol », «Tixair ».

Attention, l’acétylcystéine bloque l’enzyme qui dégrade l’histamine (la diaminoxydase), de même que l’alcool. Il faut donc suivre un régime pauvre en histamine (aliments frais et non traités) pendant un traitement à l’acétylcystéine. Autres mucolytiques : sirop "Résyl Plus" Novartis 200 ml (9.60 CHF/200 ml) ou Pulmofluide éphédriné 180 ml, Curibronches 180 ml, sirop (et onguent), Tubérol 200 ml, capsules Nétux.

Sirop, pastilles et pommade pectorale Vicks.

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Le pastis comme antidote de la grippe porcine ?

A propos du Tamiflu, il faut noter que cet antiviral (qui ne fait que freiner le virus) est un simple extrait pharmaceutique d'une plante proche de l'Anis étoilé ou Badiane chinoise ! Comme l'écrit Pierre Wattecamps : "Pas de panique ! De quoi est constitué le tamiflu ? D'oseltamivir, produit à partir d'acide shikimique, lequel tire son nom du shikimi (シキミ, Illicium anisatum), autrement dit la badiane japonaise. Or qu'est-ce que la badiane ? C'est la fleur qui contient l'anis gras qu'on utilise dans la fabrication du pastis. Alors, si vous voulez être immunisés contre la grippe porcine, pas de panique : buvez du Ricard ou du 51". Dans Wikipédia, nous lisons en effet ceci:

L'anis étoilé a des propriétés stomachiques et carminatives. Utilisé en infusion, il supprime les ballonnements et diminue les gaz. [L’anis étoilé ou badiane chinoise est aussi utilisée dans la fabrication de l'acide shikimique. Cet acide qui ne présente aucune activité antivirale, sera transformé plusieurs fois avant de devenir le phosphate d'oseltamivir, molécule active du Tamiflu, médicament antigrippal des laboratoires Roche, utilisé contre la grippe humaine et, à défaut d'autre médicament, contre la grippe aviaire. Le procédé de fabrication ne consiste nullement en une distillation comme pour obtenir de l'huile essentielle. Cette utilisation pharmaceutique de la badiane chinoise ou anis étoilé est à l'origine de la flambée de son prix. Cependant, l'oseltamivir pouvant être maintenant obtenu à partir de différents procédés (bio-fermentation de bactéries Esch. coli, synthèse chimique[, autres plantes), les prix pourraient être amenés à baisser. Attention de ne pas confondre, en particulier lorsqu'elle est en poudre, la badiane chinoise et la badiane japonaise, qui est toxique et dont l'utilisation n'est pas autorisée en France.

Le jeudi 24 septembre 2009, j’ai acheté dans une pharmacie française un flacon de 125 ml de teinture mère d’Illicium Verum (Anis étoilé), préparée par les laboratoires Boiron) au prix de 15,65 €. Avec la pipette graduée contenue dans la boîte, j’ai déposé une dizaine de gouttes de cette teinture dans un verre d’eau ultrapure et j’ai vu se former le sympathique nuage blanc du pastis : le goût de cette solution est, psychologiquement, d’autant meilleur que l’on imagine à bon droit prendre un substitut naturel du Tamiflu chimique !

L’antiviral naturel de choc est tout simplement le Raifort !

Un antiviral naturel surpuissant dont un grand laboratoire empêche la commercialisation, et un petit laboratoire du sud de la France qui en reprend la formule : voilà bien qui mérite que l’on s’y intéresse. L’extrait de raifort pourrait bien être la solution de rechange de choc pour contrer l’infection de la grippe A. L’extrait de jus de radis antiviral (P.D.G. = Peroxyde de Diphényl-Glycosal) a bien failli ne jamais voir le jour. Au moment de sa découverte (dans les années 80) et des premières publications scientifiques démontrant son activité antivirale exceptionnelle, c’est le début des cas de SIDA aux Etats-Unis. Un grand laboratoire très connu, qui s’apprêtait à commercialiser le tristement célèbre AZT, trouvait très dérangeant qu’un produit naturel ait des résultats aussi puissant contre les virus et s’inquiétait de la concurrence. Le découvreur de ce nouveau produit, le Dr Gregorio Ramon Cebrian, chercheur à l’Université de Médecine de Madrid et auteur de plusieurs publications dans de grandes revues scientifiques, a alors eu plusieurs visites de représentants de ce grand laboratoire. Suite à des pressions énormes de la part de ces visiteurs, l’inventeur jugea plus raisonnable, pour son produit et pour sa propre sécurité, de leur céder les droits du P.D.G.  Mais plutôt que d’exploiter commercialement ce trésor thérapeutique, le grand laboratoire préféra l’oublier dans un tiroir. Comme le droit international le stipule, toute formule tombe dans le domaine public après vingt ans de droit exclusif et devient libre d’exploitation. C’est maintenant un jeune laboratoire de Toulouse, en lien avec les anciens collaborateurs du docteur de Madrid, qui a décidé de reprendre et de faire connaître cet extraordinaire antiviral.

Des propriétés antivirales reconnues depuis le XVIIIe siècle

Quelques repères : le P.D.G (Peroxyde de Diphényl-Glycosal) est un complément alimentaire élaboré au département de Toxicologie de l’Instituto de Salud San Carlos III, Université de médecine de Madrid. Plusieurs études ont été réalisées lors de son élaboration sur différents virus entraînant: grippes, rhumes, hépatites virales, endocardites, herpès, ou mononucléose. Dans tous les cas, le P.D.G a démontré une activité sur chacune de ces souches et différents virus. Le Dr Cebrian s’était intéressé au raifort car diverses propriétés antivirales de cette plante étaient déjà bien connues. Des textes des XVIe et XVIIIe siècles décrivent que le jus de la racine de raifort peut guérir les lésions de la peau et que la racine coupée en rondelles et bouillie dans du lait nettoie la peau de ses taches, petites ampoules et boutons. L’élimination de ces lésions infectieuses s’explique par sa richesse en peroxydase et en acide mironique-sinigrine, qui sont des composants naturellement antioxydants, cicatrisants, antibactériens et antiviraux. De plus, le raifort est une plante très courante sous nos latitudes. Son nom latin est Armoracia rusticana G. Gaertn. et al. (synonyme : Cochlearia armoracia L. ou Armoracia lapathifolia).  Le raifort appartient à la famille des Crucifères. Sa diffusion dans les zones tempérées d’Europe a permis son utilisation pour différentes applications et une grande facilité quant à l’étude de ses propriétés. Détruisant les cellules infectées par le virus afin d’arrêter sa prolifération, l’activité du P.D.G est bien conforme aux théories de son découvreur, le Dr Gregorio Ramon Cebrian qui, dès 1965, sélectionna ce type de molécule afin de capter des électrons et d’ainsi interférer dans le processus de transport électronique dans les cellules parasitées par des virus produisant un comportement anormal de la cellule. D’après les études du Dr Cebrian, les molécules actives du P.D.G sont capables d’altérer définitivement l’équilibre électrique anormal des cellules reconnues comme infectées et exclusivement dans celles-ci, décimant ainsi les cellules porteuses des virus et stoppant leur reproduction et dissémination dans le corps. Le P.D.G. peut être facilement métabolisé et éliminé par l’organisme une fois sa tâche accomplie. Il n’y a donc aucun risque de toxicité ou d’accumulation dans le corps.

Si l’on veut acheter cet extrait de raifort pharmaceutique plutôt que d’en manger en salade :

Une prise toute les huit heures. Le PDG se présente sous forme de comprimés. Les études publiées, réalisées sur des souches de virus de la grippe, montraient une amélioration de l’état général au bout de trois jours, à raison d’une gélule toutes les huit heures. Les symptômes: fièvre, fébrilité, courbatures, irritation des voies aériennes supérieures, disparaissaient dans le même temps. Les patients les plus lourdement touchés par l’infection virale peuvent augmenter la prise jusqu’à trois par jour, toutes les huit heures. LGB, Distributeur France-Espagne du Raifort (appelé « Raphanus » ou « Radis noir » par erreur de traduction), qui s’est engagée à respecter un prix de vente public identique au prix des pharmacies espagnoles, a finalement opté pour un prix de vente inférieur, afin qu’un maximum de personnes qui optent pour une autre solution non chimique de la grippe puissent avoir accès à ce produit 100% naturel. La boîte de 30 comprimés de raifort antiviral contre la grippe H1N1 est à 25 €  et  la crème au raifort anti-herpès est à 18 € en tube de 15 g.

Autres traitements naturels oubliés

Comme me l'a écrit un ami dentiste : "En cas de refroidissement ou en lieux contaminants, prendre immédiatement 3 ou 4 granules d’ « Influenzinum 9CH » sous la langue, puis 2 h après, puis toutes les 8 h. Je l’ai testé avec la grippe saisonnière: cela réagit super bien, d'autant plus que la prise est faite plus tôt après la contamination". A titre préventif (vaccination homéopathique), alterner les prises d'Influenzinum 9 CH avec Sérum de Yersin. Pendant le mois de novembre de chaque année, alterner Influenzinum et Sérum de Yersin pendant 4 semaines (soit 2 semaines de chaque remède). Recommencer la cure du 15 janvier au 15 février. Ne prendre Oscillococcinum qu'en cas d'état grippal avéré, comme traitement d'attaque, éventuellement en synergie avec Influenzinum. Dans le cadre de la prévention des rhumes et grippes, penser aussi à Thymuline 9 CH, « qui stimule l’immunocompétence des lymphocytes T », afin de renforcer notre système immunitaire (qui, contrairement à la Pensée unique d’ouverture à tout et à tous, doit quand même refuser l’entrée aux éléments étrangers par un « réflexe sécuritaire et autoritaire » amalgamé subconsciemment au « fascisme » avec un délice secret de bonne conscience et d’obsession personnelle).

Avant tout emploi d'antibiotiques ou d'autres médicaments, il serait logique –en présence d’infections bactériennes- de faire appel aux bactériophages, qui sont plus efficaces et plus puissants, mais qui malheureusement ne sont plus commercialisés que dans les pays de l'Est (Russie, Géorgie, Pologne p. ex.). Voir à ce propos le livre du Dr Alain Dublanchet: Des virus pour combattre les infections (240 p., 2008, éd. Favre) qui fait le point sur la très intéressante et très prometteuse phagothérapie. Les bactériophages n’attaquent toutefois pas les autres virus.

D’après le grand guérisseur américain Edgar Cayce, les virus du rhume et de la grippe ne peuvent se développer que dans un terrain acide. Il préconisait donc, dès les premiers signes de rhume ou de grippe, une alcalinisation temporaire de l’organisme par absorption –toutes les heures environ- d’eau ultrapure additionnée de bicarbonate de soude (à raison de 2,5 cuillers à café par jour) pendant deux ou trois jours. En cas de mal de gorge ou de toux, Edgar Cayce conseille également de poser un cataplasme chaud à l’huile de ricin autour du cou. (référence : p. 160 du livre « Les Remèdes d’Edgar Cayce » par le Docteur William Mac Garey, traduit par Dorothée Koechlin de Bizemont, Editions du Rocher, 282 p., 1994).

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