Eau douce ou eau dure ?
(mise à jour du lundi 2 décembre 2013)
Remarque préliminaire - Ce document (rédigé en liaison avec un groupe de médecins, pharmaciens, dentistes, chimistes, et autres experts en cette complexe matière) adopte un style délibérément dogmatique afin de rendre son contenu plus clair et plus accessible. Le terme « eau pure » ou « ultrapure » est par exemple un euphémisme ou raccourci pratique car une telle eau relève plus de la théorie que de la réalité physique. Les recherches scientifiques sur l’eau sont loin d’être terminées et de nombreux « bémols » dus à la complexité du sujet seraient à apporter à ce texte pour qu’il puisse être qualifié de « scientifique », comme me l’a fait remarquer le biophysicien Yann Olivaux)
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Hydrater et minéraliser nos cellules sont deux processus différents car impliquant une pénétration par des voies différentes (structurations électrostatiques et électroniques par colloïdes polarisés, canaux ioniques, etc.): la logique veut donc que l'on ne demande que la première fonction à l'eau de boisson (hydrater), la seconde (minéraliser) revenant principalement à nos aliments (dont la teneur en eau vient compléter la boisson d'eau proprement dite).
Sommaire
1 - L’eau dans notre organisme
2 – Eau minérale (conductrice) ou eau pure (résistive) ?
3 - Eau oxydante ou réductrice ?
4 - Eau acide ou alcaline ?
5 – Eau paramagnétique ou diamagnétique ?
6 - Coordonnées bioélectroniques de l’eau distribuée ou vendue
7 – Exemples d’eaux conformes à la Bioélectronique
8 – Solutions écologiques et économiques
9 – Peut-on boire l’eau du robinet ?
Annexe – Modèle de lettre à envoyer au maire d’une commune française distribuant une eau non conforme à la Bioélectronique Vincent
1 - L’eau dans notre organisme
L'eau de notre organisme se répartit en eau intracellulaire (environ 35 litres) et en eau extracellulaire (environ 13,5 litres dont 10 litres de lymphe et 3,5 litres de sang dans un adulte de 70 kg). L'eau extracellulaire contient divers sels minéraux solubilisés et constitue ce que le biologiste René Quinton appelait "l'aquarium marin" dans lequel les cellules baignent et tirent leurs constituants. Les sels insolubles (alcalins le plus souvent) sont rejetés par l'organisme, ce qui explique leur effet laxatif ou diurétique.
Nos cellules, en revanche, ne peuvent s'hydrater qu'avec des molécules d'eau proprement dite (H-O-H), qui ne peuvent traverser la membrane cellulaire qu'en empruntant –molécule après molécule- des canaux nanométriques appelés aquaporines. Cette très brève animation (cliquer sur ce mot pour ouvrir le fichier chemanim1.mpeg avec QuickTime, puis suivre la progression de la molécule jaune dans le canal ; si l’animation n’apparaît pas, l’ouvrir dans la page de Wikipédia sur les Aquaporines (ligne précédant la rubrique « Fonctions »)) montre la dynamique de pénétration des molécules d'eau à travers une membrane cellulaire à la vitesse incroyable de 3 milliards de molécules par seconde ! (réf. La Nature de l’Eau, 2007, p. 166)). Avant tout apport minéral, il faut absolument hydrater nos cellules (qui «meurent littéralement de soif», comme l'explique le Dr F. Batmanghelidj). La minéralisation me paraît secondaire par rapport à l’hydratation.
Le vieillissement est en effet une lente déshydratation des cellules puisqu'à la naissance nous sommes composés à 85 % d'eau tandis que le vieillard n'en contient plus que 65 % environ (soit une diminution du rapport entre l'eau intracellulaire et l'eau extracellulaire de 1,1 à 0,8 environ). L'eau peut solubiliser de nombreuses molécules, qu'il ne faut cependant pas confondre avec elle comme le fait par erreur le "modèle des corps dissous" – encore accepté par la médecine actuelle- selon lequel la seule analyse du sang permettrait d'évaluer les fonctions organiques! Le paradigme correct est que l'eau –et seulement l'eau- en tant que solvant polarisé, règle toutes les fonctions de l'organisme, y compris celles des solides qu'elle dissout et véhicule. Ce qui n'est pas dissous doit être évacué. En cas de pénurie d'eau dans notre organisme, 66 % sont prélevés sur l'eau intracellulaire, 26 % sur l'eau extracellulaire et 8 % sur le volume sanguin (p. 66 du livre Votre Corps réclame de l'Eau).
L’ancien modèle des corps dissous, des pompes à électrolytes et des membranes est désormais remplacé par le modèle des couches polarisées (par colloïdes structurants) de Ling, tel qu’il a été clairement décrit par le professeur Marc Henry dans son document intitulé « Entre cristal et eau : la vie ! » (34 p. A4), repris dans les actes du 12e Symposium international d’Aromathérapie et Plantes Médicinales tenu en 2010 à Grasse (Alpes-Maritimes). Le modèle fondamental de Ling explique et intègre les recherches effectuées en 2004 à l’université de Berkeley par le professeur de chimie Daniel Neumark. Celui-ci a en effet montré que les électrons hydratés (c’est-à-dire associés à une molécule d’eau) peuvent former deux isomères d’agrégats anioniques (de polarité négative) lorsque l’eau est réductrice (rH2 < 28) : soit un agrégat (« cluster » en anglais) de molécules dont les électrons se trouvent en surface de l’agrégat (signant ainsi une eau d’activité mesurable, mobilisable et structurable par des électrolytes selon Ling), soit un agrégat de molécules dont les électrons sont solvatés à l’intérieur de l’agrégat (signant ainsi une eau liée et déjà structurée selon Ling).
2 – Eau minérale (conductrice) ou eau pure (résistive) ?
Sans entrer dans le modèle des colloïdes structurants de Ling (surtout compris par les physiciens mais pas encore par les biologistes) et en restant dans le langage traditionnel des biologistes (membranes, canaux ioniques, pompes, pression osmotique, clé/serrure), on peut déjà affirmer que la pression osmotique est inversement proportionnelle à la conductivité électrique : plus une eau est pure, plus elle exerce de pression sur la membrane des cellules afin d’y pénétrer par les aquaporines. Le même principe biophysique explique le fonctionnement des reins.
"L'eau sert plus par ce qu'elle emporte que par ce qu'elle apporte" (Louis-Claude Vincent)
Comme l'écrivait dès 1953 le professeur Louis-Claude Vincent, fondateur de la Bioélectronique : "toute eau dont la minéralisation est supérieure à 150 mg/l (milligrammes par litre) est une eau qui ne doit jamais être bue. C'est une eau entartrante, sclérosante, facteur de vieillesse prématurée." (réf. "Riom-Journal" du 26 mars 1953). Quel "spécialiste" des eaux de boisson tient compte aujourd'hui (sauf curieusement pour les bébés) de cet avertissement certes ancien mais fondamental ? Le grand médecin Alexis Carrel (1873-1944), prix Nobel de Médecine en 1912, explique dans son livre L'Homme cet Inconnu que les maladies de dégénérescence, si courantes aujourd'hui, proviennent d'une surcharge en sels minéraux non assimilés et générateurs d'alcalose extracellulaire avec augmentation de la vitesse de sédimentation sanguine, diminution du temps de coagulation et épaississement du sang. Dans la Revue de pathologie Comparée et de médecine expérimentale, novembre 1952, le Dr Violle écrit ceci: "La consommation d'eau fortement calcaire n'est pas recommandable. Au-delà de 30 degrés hydrotimétriques (soit environ 150 mg de sels par litre), les hygiénistes estiment qu'une telle eau ne doit pas devenir une eau de boisson courante." (citation extraite de la revue Sources Vitales, n°70, mars 2009, p. 5).
La teneur d'une eau en électrolytes (« sels minéraux » exprimés en mg/l) diminue sa résistivité (ou augmente sa conductance). Ces sels ne présentent donc aucun véritable intérêt biologique puisqu’il s’agit de sels inorganiques dépourvus de pouvoir rotatoire en raison de leur structure moléculaire symétrique, que l’organisme n’assimile que très partiellement et qu’il essaie de rejeter (d'où leur effet laxatif et diurétique) afin de ne pas se statufier ni s'entartrer. C'est la raison pour laquelle une alimentation riche en calcium et/ou magnésium minéral est inopérante pour résoudre le problème de l’ostéoporose. Seuls sont utiles les catalyseurs anioniques (comme le silicium dont l’eau du Mont-Dore (Volcania) contient 33,8 mg/l) ou chélatés sous forme organique.
Les divers sels minéraux et oligo-éléments qui nous sont nécessaires nous sont plus apportés par l'alimentation que par la boisson. Ces sels pénètrent dans nos cellules par d'autres voies que les aquaporines: ce sont les canaux ioniques, qui activent les pompes sodium/potassium, calcium++/phosphore, etc. La biodisponibilité des sels minéraux solubles se mesure par cette pénétration: un sel peut être "absorbé" par les fluides extracellulaires sans être pour autant "assimilé" au niveau intracellulaire (autrement dit ils circulent dans le réseau sanguin mais ne pénètrent que difficilement dans les cellules). Cette disponibilité est meilleure quand ces sels se présentent sous forme organique (chélatée), plutôt que simplement dissous dans une eau minérale ou de robinet. Le fameux "apport en sels minéraux" par les eaux dures n'est –à mon humble avis car je ne dispose pas de meilleurs arguments scientifiques que ceux-là- pas favorable à la santé car ces sels ionisés (cations et anions constituant des électrolytes et rendant le liquide conducteur de l'électricité), même s'ils peuvent compléter un peu les apports alimentaires, dégradent finalement l'équilibre bio-électronique de l'organisme, compte tenu du fait que nos cellules sont polarisées et constituent de petits circuits électromagnétiques, comme cela est expliqué plus bas dans ce document.
Mettriez-vous de l'eau de Vichy dans la batterie de votre voiture ?
Certainement pas, car cette eau chargée en électrolytes la court-circuiterait immédiatement! Les sels minéraux ionisés positivement (cationiques) ne sont pas facilement assimilables par notre organisme, contrairement aux sels anioniques (chélatés). Seuls les végétaux et quelques bactéries peuvent assimiler directement les minéraux par autotrophie et les rendre ainsi solubles et assimilables au niveau cellulaire. Notre corps physique, appartenant au règne animal, est un organisme hétérotrophe. Le zinc minéral brut n'est ainsi absorbé qu'à 26 % sous sa forme inorganique, alors qu'il est assimilé à 100 % sous forme organique, par chélation avec la méthionine, comme l'indique le graphique ci-dessous (qui m'a été aimablement communiqué par le biophysicien Yann Olivaux, auteur de l'excellent livre "La Nature de l'Eau" (571 pages)):
Il ne faut pas confondre « intégration » (entrée dans l’organisme) et « assimilation » (entrée dans les cellules de l’organisme). Comme l'explique en effet Richard Haas dans son ouvrage "L'eau qui donne soif", on constate que si les ions Ca++ des eaux minérales ne sont absorbés qu'à un taux comparable à celui du lait (entre 25 % et 45%) et les ions de magnésium à un taux compris entre 35 % et 70 %, ne s'agit toutefois que de milligrammes absorbés dans le circuit extracellulaire et non pas forcément assimilés par les cellules proprement dites, même si on les retrouve dans les tissus. Les sels minéraux cationiques restent en fait des corps étrangers, parasites car inutilisables par l’organisme et finissant par le détruire en s’y accumulant.
La forme (ou stéréotaxie) des molécules joue aussi un rôle décisif dans l’assimilation, comme le souligne Jocelyne Albert, chercheur honoraire à l'INSERM.
Pour sa part, le Dr Eugène Mangez précisait ceci (réf. « Le Paysan Biologiste », 1988, n° 57) : « l’eau calcaire chasse le calcium des os vers les artères par une simple réaction d’électrolyse. Entre un os et son artère, il y a un effet de pile électrique qui extrait le calcium de l’os et le fait circuler vers l’artère. Celle-ci se calcifie peu à peu, entraînant un durcissement des artères et une augmentation de la tension artérielle. Le calcium organique est lié valenciellement, mais pas le calcium minéral de l’eau minérale prescrite par les médecins. » (citation extraite de la revue Sources Vitales, n° 73, 12/09, « Principales causes des maladies vasculaires », Dr. Eugène Mangez, p. 4-5).
Remarque personnelle - Ce durcissement des artères peut, à mon humble avis, expliquer –par un phénomène d’adaptation ou de compensation- le fait qu’il y a moins d’accidents cardio-vasculaires dans les régions à eau dure, en raison de la création spontanée d’un plus grand nombre d’anastomoses de survie que dans les régions à eau douce, où le risque d’ischémie est moindre.
La revue « Que Choisir », censée défendre les consommateurs, a publié en mai 2010 (n° 481, p. 38-43) un article sur les carafes filtrantes intitulé « Fontaine, boirai-je de ton eau ? », dans lequel on affirme ceci : « Ôter le calcium de l’eau : une hérésie ». Le biologiste consulté (Dr Michel Daudon, directeur du laboratoire « Cristal » à l’Hôpital Necker) ne fait toutefois aucune distinction entre le calcium organique des produits laitiers et le calcium minéral de l’eau lorsqu’il explique ceci (p. 41) : « Quand les apports en calcium sont suffisants, l’oxalate de calcium est bloqué dans l’intestin. En revanche, s’il y a peu d’apports en calcium, l’oxalate est absorbé par l’intestin et passe dans les reins, ce qui favorise la formation de calculs. On recommande donc des apports normaux de calcium, y compris aux sujets sensibles. L’eau et les produits laitiers sont intéressants car ils offrent une bonne biodisponibilité du calcium, alors que certains aliments d’origine végétale (céréales par exemple) contiennent des phytates qui réduisent l’assimilation du calcium. »
L’eau (minérale) et les produits laitiers (organiques) sont mis sur le même plan par ce « biologiste » qui ne tient pas compte de l’état ionique des molécules qu’il étudie ! Quant au risque posé par les phytates, ce « biologiste » aurait dû préciser que la formation d’oxalates et de phytates de calcium implique une réaction préalable de l’acide oxalique et de l’acide phytique sur le calcium. Or, l’on sait parfaitement que l’acide phytique est neutralisé par la fermentation (levain) et par la germination des céréales, de sorte qu’il ne devrait pas apparaître en quantité nocive dans une alimentation réfléchie. Quant à l’acide oxalique de la rhubarbe, des épinards, de l’oseille (ainsi que du cacao et du thé), on le chélate facilement en ajoutant du lait à l’eau de cuisson de ces végétaux : le calcium du lait formera des oxalates mais sera ensuite jeté avec l’eau de cuisson (conseil qui m’avait été donné par François Couplan).
En résumé, les sels minéraux dissous dans l’eau de boisson viennent seulement compléter notre alimentation, au risque d’une assimilation incomplète et donc d’un entartrage de notre organisme. La teneur des eaux de boisson en sels minéraux n'a donc qu'une importance marginale par rapport à la véritable hydratation de nos cellules par les aquaporines, qui ne peut s'effectuer qu'avec une eau douce et ultrapure, se structurant spontanément en fonction des colloïdes qu’elle dissout.
3 - Eau oxydante ou réductrice ?
L’oxydation cellulaire est nécessaire à la production d’énergie par le cycle de Krebs. Il s’agit d’une sorte de combustion lente au moyen de l’oxygène, dont l’accélération conduit logiquement à « brûler la chandelle par les deux bouts » et donc à vieillir plus rapidement. C’est ce que l’on appelle le « stress oxydatif (libération de radicaux libres) qui sous-tend l’inexorable vieillissement des individus normaux. » (réf. Science et Vie, 02/11, p. 23).
Le professeur Karl-Heinz Krause (Université de Genève) a démontré que le stress oxydatif était dû à l’activation de 7 enzymes, produites par 7 gènes différents : les NOX (Napdh-OXydases). « Le stress par superoxydes est l’une des principales causes du diabète, de la maladie d’Alzheimer, de troubles cardiovasculaires et d’autres pathologies » (réf. Tribune de Genève, lundi 27 juin 2011, p. 11). Cette découverte a conduit le professeur Krause à fonder en 2004 la société GenKyoTex, dont le site précise ceci : « Un grand nombre de travaux scientifiques ont démontré le rôle central joué par les radicaux libres dans l’hypertension, l’infarctus du myocarde, l’artériosclérose et les dommages vasculaires ainsi que la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, le diabète type II ou encore la perte d’audition ainsi que d’autres maladies liées au vieillissement. » La commercialisation d’inhibiteurs de ces enzymes par cette société permettra donc une « désoxydation » ou passivation thérapeutique, bloquant seulement le processus d’oxydation comme un simple antirouille, tandis que la voie de la prévention bioélectronique vise au contraire à faire en sorte que les 7 NOX pathogènes n’apparaissent pas dans l’organisme grâce à un effort hygiéniste d’« inoxydation » du terrain biologique.
L'eau qui doit entrer dans les cellules ne doit donc pas être déjà oxydée par le chlore ou l'ozone, qui précipitent les sels minéraux alcalins comme "le dangereux calcium" dénoncé autrefois par le professeur René Leriche (1879-1955), membre de l'Académie des Sciences et de l'Académie de Médecine. Les sels minéraux électrolytiques colmatent en effet les néphrons, dont les canaux ont en moyenne un diamètre de 30 mm (millionièmes de mètre), bien inférieur aux gros agrégats minéraux liés par leurs cations et anions. Seuls les sels minéraux anioniques (comme la silice de l'eau Volcania) sont assez petits pour traverser les néphrons de nos reins et être réabsorbés (99 % de l'eau et des sels contenus dans le sang sont réabsorbés par les reins). La surcharge en sels minéraux inassimilables (car inorganiques et provenant du règne minéral) provoque une hyperhydratation extracellulaire avec toute la pathologie de l'alcalose extracellulaire, cette eau de mauvaise qualité ne pouvant pas pénétrer dans les cellules.
Le professeur Joseph Orszagh, cité par le biophysicien Yann Olivaux dans son livre "La Nature de l'Eau", confirme ce qui précède en insistant sur les trois paramètres fondamentaux de la bioélectronique: rhô, rH2 et pH. "Le métabolisme d'un homme de 75 kg à 37 °C correspond à un flux de transferts électroniques équivalent à un courant électrique de 70 A. La vitesse de dissipation de l'énergie chimique contenue dans le vivant est inversement proportionnelle à la résistivité du milieu": il faut donc boire une eau résistive (c'est-à-dire peu minéralisée) afin de perdre moins vite notre énergie (mesurée par le facteur énergétique W de Vincent). Le flux énergétique apporté par les liquides est exprimé en microwatts (mW): plus l'eau est pure, moins elle est censée apporter d'énergie, celle-ci devant être produite par les cellules elles-mêmes lorsqu'elles constituent des "piles" bien polarisées. Dans la revue Sources Vitales, n° 73, 12/09, le professeur Orszagh précise ceci à propos du rH2 : « avec la notion du rH2 , nous entrons dans le domaine des dilutions homéopathiques. En effet, dans une solution aqueuse chimiquement « indifférente », ayant un rH2 = 28, l’activité d’hydrogène est de 10-28 ! » Et pourtant, expérimentalement, on constate bien que si l’on plonge une électrode métallique inerte dans de l’eau chimiquement pure, on constate une tension de 400 mV entre cette électrode et l’électrode normale d’hydrogène. Le professeur Marc Henry (actes du 12e Symposium international d’Aromathérapie et Plantes Médicinales tenu en 2010 à Grasse) explique ainsi le point d’exclamation placé par le professeur Orszagh : « Ce chiffre n’a rien d’extraordinaire puisqu’il correspond à la pression exercée par une molécule de dihydrogène placée dans un récipient de 158 m3 ou à un milliard de molécules évoluant dans un volume de 158 km3. »
Afin que l'eau de boisson soit donneuse d'électrons, son rH2 (mesurant indirectement le potentiel d’oxydo-réduction ou la quantité d’électrons échangeables à une température donnée dans une solution aqueuse de pH donné) doit donc être réducteur (<28) et non oxydant (>28). Les seules eaux du commerce dont l'étiquette mentionne un rH2 réducteur (<28) donc donneur d'électrons sont -à ma connaissance- celles du Mont Roucous (Tarn) et du Montcalm (Ariège). [Remarque - Toute publicité étant mise à part car je n’ai aucun intérêt commercial et toutes mes pages sont proposées bénévolement !] Si le rH2 est oxydant (ne serait-ce que par la seule présence de chlore comme dans l'eau du robinet), il manque des électrons et –par compensation logique- des ions Ca++ sont libérés puis vont "se fixer dans la myéline des cellules nerveuses où ils provoquent des "courts-circuits" dans les influx nerveux", ce qui se traduit par des symptômes de sclérose en plaques. Le professeur Joseph Orszàgh insiste sur le problème de la perte d’électrons, ne serait-ce que par simple contact de la peau avec l’eau du robinet chlorée, par exemple lors du bain d’un nourrisson, car cette perte d’électrons se mesure en centaines de millivolts ! Afin de compenser son déficit en électrons/son oxydation/ son augmentation du rH2, un organisme oxydé déclenchera logiquement la fuite urinaire des ions positifs Ca++ et Mg++ (provoquant ainsi ostéoporose, sclérose en plaques si dépôt dans la myéline, arthrose, cancer, etc.). La baisse de résistivité de l’urine s’ensuit par cet excès d’électrolytes, ainsi que l’acidification des tissus. Le professeur Orszàgh propose la choucroute crue comme aliment réducteur mais j’ajouterai le simple vinaigre (acide acétique ou éthanoïque sans SO2). Par ailleurs, cette libération compensatrice d'ions minéraux provoque un déséquilibre électronique qui modifie les délicats rapports Ca/Mg et Na/K. Ces rapports "déterminent les différences de potentiel électrique entre le noyau et le cytoplasme dans les cellules vivantes. Leur altération prépare toute une série de pathologies dont l'apparition des troubles de la division cellulaire (cancer).(…) Le rôle des sels minéraux "est purement électrolytique, dans le sens qu'ils modifient la résistivité électrique des liquides du vivant et influencent défavorablement les flux énergétiques des cellules." (Prof. J. Orszagh, extrait de "Libres Opinions", annexe au livre de Yann Olivaux: "La Nature de l'Eau"). L'équilibre Na/K est indispensable au bon fonctionnement de notre "pompe à sodium", qui recycle environ 40 litres d'eau par jour dans notre organisme.
Une intéressante vidéo démontre que le rinçage des fruits et légumes à l’eau du robinet transfère le chlore oxydant aux aliments. Une autre vidéo montre que l’eau réductrice (donneuse d’électrons ou à rH2 < 28, comme l’eau des sources naturelles de Vollore, Roucous, Montcalm) est plus « liquide » que l’eau du robinet, en ce sens que ses molécules forment moins d’agrégats (appelés en anglais « microclusters ») : sa moindre tension superficielle la rend ainsi plus assimilable par les cellules et plus apte à émulsionner les lipides.
4 - Eau acide ou alcaline ?
Hervé Janecek, docteur vétérinaire, directeur de l'entreprise de traitement d'eau Dileka, précise à ce sujet (réf. « Libres Opinions », annexe au livre du professeur Yann Olivaux: "La Nature de l'Eau") que le pH de notre eau de boisson doit être légèrement acide car l’eau des cellules normales est à pH=6,8, valeur offerte naturellement par les sources naturelles de Vollore, Roucous et Montcalm). Cette légère acidité favorisera les bactéries utiles (bifidus et lactobacillus) et évitera la prolifération des germes intestinaux de type salmonella, clostridium et colibacillus. Le Dr Hervé Janecek rappelle également que le bon fonctionnement des reins (pression osmotique) exige un sang pauvre en sels minéraux, donc résistif.
La recommandation de boire une eau légèrement acide ne concerne évidemment que les personnes en bonne santé, c'est-à-dire celles dont les coordonnées bioélectroniques sont proches des valeurs idéales qui avaient été mesurées en 1927 par le professeur L.-C. Vincent sur les jeunes sportifs du Bataillon de Joinville. Bien que ces études soient anciennes et ne correspondent plus à notre société polluée d’aujourd’hui, j’estime qu’elles apportent justement des références précieuses sur les valeurs optimales de l’organisme humain car celles-ci ne pourraient plus être mesurées aujourd’hui !
A mon avis, la seule erreur à ne pas faire serait de vouloir utiliser ces valeurs comme des modèles absolus auxquels on essaierait de s’identifier d’emblée et sans réflexion : sachant par exemple que le sang idéal est légèrement acide, on éviterait ainsi de boire une eau alcaline alors qu’en réalité, face aux terrains acidifiés actuels, il faudrait au contraire, à titre thérapeutique préalable et très temporaire, compenser ce déséquilibre par une eau très alcaline. Sur un terrain intracellulaire suracidifié (p. ex. en cas de cancer), il est évident que le bioélectronigramme du prof. Vincent présentera logiquement, afin de compenser cette acidification intracellulaire, des fluides extracellulaires très alcalins.
Il est donc logique qu’il faille, en présence d’acidose pathologique, boire temporairement une eau très alcaline (à pH = 9,5 comme expliqué sur cette vidéo) et consommer des aliments alcalinisants comme le poireau, le concombre, la pomme de terre (riches en potassium) et la betterave rouge (riche en rubidium très alcalin). Un pH = 11,5 par électrolyse de l’eau du robinet dans un appareil de type Kangen sera donc plus thérapeutique qu’une eau à 9,5. Les surprenants effets de cette eau (dite «Kangen forte ») sont expliqués dans cette vidéo. Ces résultats ont été vérifiés par coloscopie, selon les travaux du Dr Hiromi Shinya, gastro-entérologue très connu au Japon. Par la même méthode d’alcalinisation thérapeutique, des résultats extraordinaires ont été obtenus par le Dr James Howenstine sur des patients cancéreux grâce à un traitement par césium-rubidium-potassium (éléments très alcalins).
NOTE – Comme l’explique le Dr Hervé Janecek dans la revue Sources Vitales (n°76, septembre 2010, p. 12-13), les dangers de la thérapie par eau alcaline et réductrice sont les suivants. D’une part l’on favorisera les dangereuses bactéries alcalinophiles (comme les genres Clostridium, et Pseudomonas, le vibrion du choléra, et toute la flore de putréfaction, au détriment de la flore acidophile normale (Lactobacillus). D’autre part, « une eau très riche en électrons peut à terme désamorcer la défense anti-radicalaire » et ainsi –paradoxalement- relancer le processus de suroxydation que l’on voulait éviter. Le Dr Janecek considère donc cette eau « morte, c’est-à-dire dont les liaisons hydrogène ont perdu leur énergie » comme pouvant constituer une « eau de cure ponctuelle durant 15 jours ou 1 mois, bénéfique localement sur une muqueuse ulcérée donc oxydée » mais « en aucun cas une eau à boire toute sa vie comme le préconisent les promoteurs de cette électrolyse parfaitement non naturelle ! » A la fin de cet article, le Dr Janecek préconise les céramiques informées E.M. et les osmoseurs Aqua Avanti EM. Pour ma part, j’ai complété mon installation de filtration-dynamisation existante avec les E.M., comme décrit sur ce petit diaporama (à visionner de préférence avec l’option « Pleine hauteur » (57,9 %)).
5 - Eau paramagnétique ou diamagnétique ?
Comme cela a été démontré par la bioélectronique, plus l’eau de boisson est minéralement pure, plus le diamagnétisme organique est élevé et donc plus le pouvoir immunitaire est actif. Le diamagnétisme implique en effet une résistance au champ inducteur (extérieur), ce qui protège par exemple des effets d’induction magnétique d’origine cosmique (rayons gamma, etc.).
En tant qu'accumulateur d'énergie électromagnétique, la cellule ne peut s'entretenir (hydratation cellulaire) que par un processus électrostatique faisant appel aux canaux nanométriques (aquaporines) des membranes afin de faire pénétrer des molécules d'eau pure. Celle-ci, afin de pouvoir traverser les aquaporines et ainsi "recharger nos batteries", ne doit évidemment pas être conductrice (r > 10 000 Ω.cm) par surabondance de colloïdes ou électrolytes structurants.
Il est par ailleurs démontré que chacune de nos cent mille milliards de cellules (ou cytomolécules selon le professeur Henry Doffin) est une petite batterie polarisée, offrant une tension électrique de 0,1 V environ entre sa membrane positive et son cytoplasme négatif, avec un mini-champ magnétique de 1 pT (picotesla), de sorte que nos cellules ont des propriétés électromagnétiques qui les rendent automatiquement sensibles –par effet de résonance- aux rayonnements de même fréquence. Comme le précise le biophysicien Andrew Goldsworthy: "la tension est faible, mais comme la membrane est très fine (l'épaisseur de 2 molécules), le gradient de tension de part et d'autre de la membrane est énorme (de l'ordre de 1.106 V/m). La membrane doit donc être un isolant extrêmement efficace." Or les acides gras constitutifs de la membrane cellulaire (+) peuvent être dégradés par un milieu extra-cellulaire déficient en électrons (rH2>28), bloquant l'élimination normale des déchets cellulaires en raison d'un sang oxydé et alcalin. Le schéma électrique de la cellule a été modélisé comme suit par le biophysicien H.P. Schwan à l'université de Pennsylvanie:
R1, R2 = résistance du milieu extracellulaire - C1 = capacité du milieu extracellulaire - C2, C3 = capacité de la membrane (H.P. Schwan, 1957, Electrical properties of tissues and cell suspensions, Adv. Biol. Med. Phys., 5, 147-209)
Le bioélectromagnétisme fait actuellement l'objet de recherches intensives car nos circuits cellulaires sont ajustables et syntonisables, l'ensemble produisant une signature fréquentielle propre à chaque individu. Cette signature cellulaire correspond à une sorte de musique biologique, comme l'a démontré Joël Sternheimer (patronyme du physicien-chanteur Evariste). Celui-ci a en effet observé que les fréquences propres des particules d'une stabilité supérieure au tiers de picoseconde (10-12,5 s environ) étaient toutes accordées sur une même gamme. Il l'interpréta comme un phénomène de synchronisation (effet Huyghens) universel et le publia dans les Comptes rendus de l'Académie des Sciences, vol. 297, p. 829, 1983. Ce fut la base du brevet FR 2541024 déposé en 1983, mis en application dans le piano des particules, et de son certificat d'addition FR 2565016 pour une application de type guitare.
Remarquant qu'il s'agissait là d'une durée caractéristique de l'accrochage des acides aminés sur leur ARN de transfert (structuré par des molécules d’eau comme toutes les protéines), il émit l'hypothèse que le même phénomène de synchronisation s'y produisait. Cela lui donna un code pour les acides aminés, qui est celui sur lequel se fonde la régulation de la synthèse des protéines (brevet FR 2691976 déposé en 1992). Il ne s'agissait plus là de musique, raison pour laquelle il forgea un néologisme: la protéodie (voir cette vidéo explicative de 18 min 39 s). Cette musique biologique agit, selon lui, non pas par l'effet mécanique des sons, mais par sa « reconnaissance » par le sujet intégré où est synthétisée la protéine, qui n'a lieu que s'il y a aval (résonance) des autres échelles : il s'agit donc d'une action ciblée. Son témoignage a par exemple été entendu à ce sujet lors d'une affaire juridique concernant l'éradication du varron des bovidés au cours de laquelle le physicien Evariste (alias Joël Sternheimer) a démontré que le varron inhibait le prion (article plus détaillé dans Nexus 67, mars 2010).
Le principe des signatures électromagnétiques associées aux molécules d’eau (aux niveaux cellulaire, moléculaire et atomique) a été confirmé récemment par le professeur Luc Montagnier, en confirmation des recherches du Dr Jacques Benveniste. Comme cela est clairement expliqué dans un article publié par la revue Nexus (juillet 2009) sous le titre "La biologie numérique sort la tête de l'eau", les signatures électromagnétiques permettent de comprendre –entre autres phénomènes thérapeutiques- le fondement théorique de l'homéopathie.
6 - Coordonnées bioélectroniques de l’eau distribuée
«Nous buvons 90 % de nos maladies» (Louis Pasteur)
Le tableau ci-dessous (qui reprend et développe celui de l'Association Vie-Nature & Bioélectronique) est fondé sur les 3 paramètres de la Bioélectronique Vincent qui sont nécessaires et suffisants afin de définir les caractéristiques physico-chimiques d’un liquide. L’aspect bactériologique n’est donc pas pris en considération dans ce tableau. La résistivité (r), le pH et le rH2 (richesse en électrons) de l'eau constituent les 3 paramètres fondamentaux de la bioélectronique Vincent. La thèse du professeur Louis-Claude Vincent relève de la physique et non pas de la médecine, ce qui explique qu’elle soit peu connue et peu utilisée en thérapie. Les valeurs idéales du sang, de la salive et de l’urine -permettant de déterminer les paramètres optimaux de la santé humaine- ont été relevées en 1925 sur 200 jeunes athlètes du "Bataillon de Joinville" (Ecole normale militaire de gymnastique de Joinville). Ces références statistiques permettent d’évaluer la qualité d’un terrain biologique et ainsi de calculer "l'âge bio-électronique" d'un sujet (le mien ayant par exemple été évalué à "45 ans" en novembre 2007).
Premier paramètre: le potentiel hydrogène pH mesure l’acidité/l’alcalinité de la solution. Deuxième paramètre: la résistivité r (inverse de la conductance S) mesure la viscosité/ fluidité. Troisième paramètre: l'indice rH2 (calculé par l'équation de Nernst) mesure le potentiel d'oxydation/réduction (pauvreté/richesse en électrons) de la solution examinée. La richesse de l’eau en électrons (rH2 <28) permet à celle-ci de vibrer. La molécule d’eau normale vibre en effet à 60 Hz (contrairement à l’eau lourde (30 fois plus visqueuse) D 2O, qui vibre à 1 Hz et n'a qu’un intérêt industriel par ses intéressantes propriétés diélectriques). En d’autres termes, deux molécules d’eau (formant un dimère) échangent leur statut d’accepteur et de donneur d’électron de liaison hydrogène 60 fois par seconde, le saut quantique nécessaire étant effectué par effet tunnel (Science et Vie, juillet 2008, p. 22). Dans le tableau ci-dessous, le flux énergétique apporté par les liquides est exprimé en microwatts (mW): plus l'eau est pure, moins elle est censée apporter d'énergie, celle-ci devant être produite par les cellules elles-mêmes lorsqu'elles constituent des "piles" bien polarisées. L'eau pure (H+OH-) est en effet électriquement neutre (iso-électrique).
La meilleure eau de source, recommandée par l’Association de Bio-Electronique (A.B.E.) est -avec l'eau du Montcalm- celle du Mont Roucous (Rosée de la Reine), qui jaillit à 927 m d’altitude dans la forêt du Parc naturel du Haut-Languedoc (Tarn). Ses paramètres sont les suivants : pH = 6 (légèrement acide) - r = 40 000 Ω.cm - rH2 = 26,3 (donc anti-oxydante, la neutralité étant à 28). Sa charge minérale est en effet infime : 19 mg par litre, soit un degré hydrotimétrique de 0,25 °f!
Ces valeurs idéales sont à comparer à celles de l’eau du lac Léman qui est traitée et distribuée par les Services Industriels de Genève (SIG) : pH très alcalin: 8,2 (réseau Nappe: 7,9 - réseau Arve: 8,1), présentant l’avantage de ne pas entartrer les canalisations urbaines mais la rendant impropre à l’arrosage des plantes, qui réclament –comme tous les êtres vivants- une eau légèrement acide (pluie)! Une telle eau de pluie (de coordonnées proches des valeurs bioélectroniques idéales) peut maintenant être obtenue au moyen de condenseurs éoliens pouvant être installés partout dans le monde.
La résistivité de l'eau du lac Léman distribuée à Genève par les SIG est insuffisante selon les critères de la bioélectronique : 3 185 Ω.cm (Nappe: 1 980 Ω.cm, Mélangées: 2 873 Ω.cm, Arve: 2 666 Ω.cm, à comparer à Volvic: 6 000 Ω.cm et à Roucous: 43 500 Ω.cm à l’émergence) avec une minéralisation de 194 mg/l (dont 45,6 mg/l de calcium) et une dureté maximale de 14,1 °f (eau classée officiellement comme étant « douce »). Mais les eaux des autres réseaux genevois sont plus chargées en électrolytes inassimilables par les cellules humaines: Nappe: 26,5 °f (« moyennement dure », avec 76 mg/l de calcium entartrant), Mélangées: 17,2 °f (« moyennement dure »), Arve: 23,6 °f (« moyennement dure », avec 68,4 mg/l de calcium entartrant). En moyenne, l'eau de Genève contient 265 mg/litre de sels minéraux entartrants (191 mg/l pour le circuit Lac), ce qui est au moins 2,65 fois trop élevé. La teneur en nitrates des eaux de Genève est dite « conforme » avec 3,17 mg/l (max.) pour le circuit Lac, 5,4 mg/l pour le circuit Mélangées, 8,5 mg/l pour le circuit Nappe et 5,8 pour le circuit Arve (réf. « Bilan annuel 2009 de la qualité de l’eau potable »).
Quant au rH2 de ces différentes eaux distribuées, le laboratoire des SIG n’a pas été en mesure de me l’indiquer, soit par incapacité technique ou pour d’autres raisons non scientifiques (occultation volontaire) car on ne m’a donné qu’une réponse administrative (dont j'ai copie écrite): «nos analyses ne portent que sur les exigences légales, plus précisément en relation directe avec la loi suisse sur les denrées alimentaires. Nous n’avons en conséquence pas de données bioélectroniques à vous proposer. » Mais, sachant que cette eau est chlorée, elle est forcément oxydante (rH2 > 28) donc biologiquement défavorable et à déconseiller pour l’usage courant (ainsi que pour l’arrosage des végétaux).
L'eau de Genève pose un autre problème, plus grave encore à mon avis, car depuis 1982, les SIG floculent encore l’eau au sulfate d’aluminium (alun) pour la « purifier » avant de la distribuer dans le réseau. Dans une lettre dont j'ai copie, adressée le 6 octobre 1983 au Dr Christian Schaller, le laboratoire des SIG précisait que la concentration maximale en aluminium de l’eau du lac, brute et non floculée, était de 0,033 mg/l en 1982, mais qu'elle était passée en 1983 à 0,109 mg/l, soit 3 fois plus, après floculation à l’alun! Cette valeur est certes inférieure à la très laxiste norme européenne de 0,2 mg/l, mais reste inquiétante quand on sait que les personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer ont de 10 à 30 fois plus d’aluminium que la normale dans les cellules de leur cerveau ! Après avoir été cuits et conservés pendant toute une nuit dans un récipient en aluminium, 100 g de tomates peuvent renfermer 6,5 mg d'aluminium. Une alerte sur les risques d'Alzheimer en raison de l'aluminium contenu dans l'eau potable de nombreuses communes a été lancée le 30 janvier 2008 sur France-Inter par Isabelle Giordano. La Ville de Paris a -logiquement- abandonné la floculation à l’aluminium et n’utilise plus que des sels de fer pour précipiter les impuretés de l’eau distribuée, montrant ainsi le bon exemple aux compagnies de distribution qui en sont restées au sulfate d’aluminium (alun) toxique.
Renseignements pris au 9 mai 2011 auprès des Services Industriels de Genève, l’eau distribuée dans ce canton n’aurait plus aujourd’hui qu’une concentration inférieure à 0,050 mg/l, l’objectif déclaré étant de « descendre au-dessous de 0,030 mg/l », valeur qui correspondrait alors au niveau de 1982 (avant floculation à l’alun). Les SIG précisent que « l’eau contient déjà naturellement 0,01 mg/l de ce métal ». On constate en effet qu’une eau de source ultrapure comme « Roucous » contient 0,01 mg/l d’aluminium natif. Celui-ci pourrait toutefois –à mon avis- faire l’objet d’une filtration spéciale (osmose inverse plus charbon actif) afin de l’éliminer totalement des conduites car il s’accumule dans l’organisme.
L’étude PAQUID de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) sur le vieillissement cérébral a démontré qu’un fort taux d’aluminium dans l’eau du robinet rendait plus fréquentes les affections de type Alzheimer. Comme l'a déclaré le professeur Dartigues :«Sur 63 personnes exposées à plus de 0,100 mg/l [..la recommandation européenne limite à 200 µg/l la teneur en aluminium de l’eau potable..] dans 4 communes (situées principalement en Dordogne), 17 ont développé une démence alors que, statistiquement, nous en attendions moins de 9 ». D’après le professeur Michel Boisset, membre du CSHPF (Conseil supérieur de l'hygiène publique de France) et directeur du laboratoire de biologie du CNAM) : « Si les résultats de l'étude Paquid étaient confirmés, il faudrait impérativement revoir à la baisse la recommandation européenne qui limite à 0,200 mg/l la teneur en aluminium de l'eau potable.»
La distillation de l’eau est un procédé de purification intéressant car l’eau vaporisée puis recondensée présente d’excellents paramètres bioélectroniques. L’eau de pluie en est un cas particulier, dont les applications sont décrites dans le projet « Eautarcie » du prof. Joseph Orszagh. La valorisation de l’eau de pluie afin de remplacer l’eau de distribution est p. ex. illustrée par la vidéo ci-après.
Le Président de l’Association de BioElectronique Vincent, M. Roger Castell, m’a communiqué les informations suivantes à ce propos, en date du 31 décembre 2012 : « L'eau de pluie a été bue pendant 30 ans par Jeanne Rousseau et Joseph Orszagh la consomme tous les jours. Un « Sources Vitales » a été consacré à ce sujet. Demander au secrétariat : 02.43.44.31.97. Pour l'eau distillée, deux problèmes sont soulevés. Le premier problème est la manière de l'obtenir, qui consomme beaucoup d'énergie, sauf dans le cas solaire. Le deuxième problème concerne ses facultés de nettoyage. Elle va d'abord, nettoyer les filtres (et elle est très efficace), puis au bout de quelques mois, elle pourrait participer à une déminéralisation du système osseux de l'organisme. Mais ces inquiétudes sont vaines, car il est très facile de reminéraliser cette eau avec des produits comme : Oligobion, ou autres infusions de plantes (prêle, thym, romarin, consoude ...) ou même quelques grains de sel de Guérande par exemple. »
La distillation élimine
pratiquement toutes les impuretés mais l’eau de base ne doit pas être trop
polluée car certaines molécules toxiques, liées chimiquement à l’eau,
pourraient être vaporisées. La radioactivité n’est p. ex. pas filtrée par la
distillation.
7 - Exemples d'eaux conformes à la Bioélectronique
(par pureté décroissante (ρ >10 kW ou électrolytes <100 mg/l ) - voir également ce tableau, plus complet mais plus ancien)
Eaux bioélectroniques non commercialisées (liste non exhaustive – valeurs à compléter par mesurages au bioélectronimètre Vincent)
rH2 |
ρ (Ω.cm ) |
pH |
mW |
Résidu (mg/l) |
|
23,7 |
90 000 |
6,3 |
- |
- |
|
- |
55 556 |
5,5 |
- |
- |
|
Massat-Balmayne (Ariège) (analyse M.S. 2010) |
- |
35 714 |
6,9 |
- |
- |
- |
33 303 |
6,2 |
- |
- |
|
- |
30 303 |
5,85 |
- |
- |
|
Lacaune-Fontbonne (Tarn) (analyse M.S. 2010) |
- |
25 000 |
6,4 |
- |
- |
Alos vers Fabas-Bagert (Ariège) (analyse M.S. 2010) |
- |
22 727 |
7,1 |
- |
- |
Ercé-Cominac (Ariège) (analyse M.S. 2010) |
- |
22 222 |
6,9 |
- |
- |
Lacourt-Eycheil (Ariège) (analyse M.S. 2010) |
- |
16 393 |
6,5 |
- |
- |
Eaux bioélectroniques commercialisées (liste non exhaustive par Ω si ≤ 100 mg/l d’électrolytes en résidu sec à 180 °C)
rH2 |
ρ (Ω.cm ) |
pH |
mW |
Résidu (mg/l) |
|
Lauretana (Graglia, 1 050 m, Italie – 0,30 €/litre) |
- |
55818 |
5,8 |
14 |
|
Mont Roucous à la source (Tarn) |
26,3 |
43500 |
6,12 |
4,30 |
19 |
Bezoya (Espagne - Marbella – 10 mg/l de silice) |
- |
41600 |
- |
- |
26 |
Treignac (Corrèze – 0,33 €/litre) (analyse M.S. 6/3/2013) |
- |
40000 |
5,6 |
- |
30 |
Volcania (Puy de Sancy – Mont Dore) (analyse MS 2010) |
- |
37037 |
6,3 |
- |
23 |
Voss (Norvège) |
- |
31000 |
- |
- |
17 |
Rosée de la Reine (Tarn) |
25,2 |
30000 |
5,8 |
6,2 |
18 |
Montcalm (Ariège) (analyse M.S. 2010, Arties) |
25,9 |
29412 |
6,6 |
6,45 |
23 |
Mont Roucous en bouteille (Tarn) (selon étiquette :) |
27,7 |
23000 |
6,2 |
9,16 |
19 |
Surgiva (IT - 38080 Carisolo – Trentin – Haut-Adige) |
- |
21739 |
6,9 |
- |
41 |
Celtic (67 Niederbronn-Breitenwasen) (analyse MS 2010) |
27 |
18182 |
6,4 |
- |
50 |
Fonte Sauzé (Pian della Mussa)(vendue par Satoriz) |
26 |
17794 |
7,6 |
- |
38 |
Cristaline Vosgia (Metzeral-Volon) (analyse MS 2010) |
- |
14286 |
6,8 |
- |
30 |
Laqueuille (Leclerc/Eco+) (analyse MS 2010 - Gare) |
- |
13717 |
6,5 |
- |
70 |
Sorgente di Fleons (Goccia di Carnia – 1 370 m – Italie) |
- |
8475 |
8,4 |
- |
78 |
Luchon (source Lapadé) |
- |
5952 |
8 |
- |
83 |
Mesures que j’ai relevées (selon protocole STEC) le 4/7/2008 sur l’eau distribuée à Lancy par les Services Industriels de Genève
(je vends 1 200 € mon bioélectronimètre Vincent 2600S avec cellule MC38T à remplacer)
rH2 |
ρ (Ω.cm ) |
pH |
mW |
Résidu (mg/l) |
|
Eau-0 de Genève (réseau Lac) (après conditionnement/ aimantation sur la conduite d’arrivée) |
25,1 |
1 913 |
6,60 |
- |
265 |
Eau-1 (eau-0 filtrée Brita On-Tap sur évier) |
(à mesurer) |
(à mesurer) |
(à mesurer) |
- |
- |
Eau-2 (eau-1 filopurisée + déminéralisée) |
23,9 |
4 497 |
6,60 |
- |
- |
25,8 |
2 153 |
7,07 |
- |
- |
|
Eau-4 (source privée à Cernex) |
25,6 |
1 062 |
7,40 |
- |
- |
26,0 |
9 729 |
7,37 |
- |
- |
Liquides ou solutions non conformes à la Bioélectronique
(mais à paramètres spécifiques pouvant être intéressants pour des compensations transitoires de terrain)
(ρ <10 kW, par rH2 croissant) – rH2 réducteur)
rH2 |
ρ ( Ω.cm) |
pH |
mW |
Résidu (mg/l) |
|
Mont-Blanc (Casino) (Mg 2,6 mg/l) |
- |
- |
- |
|
107,6 |
[Eau distribuée à Genève (SIG): voir ci-dessus «Eaux utilisées»] |
- |
- |
- |
- |
200 |
Jus de carottes ou d'orange (bio) |
9,5 |
500 |
5,5 |
|
|
Tamari |
12 |
20 |
4,4 |
|
|
Jus d’Ananas |
13 |
286 |
3,9 |
|
|
Vichy (source) |
16 |
140 |
6,8 |
37 |
3 300 |
Hydroxydase |
16 |
140 |
6,8 |
|
9 700 |
Vin d’Alsace |
18 |
600 |
3,1 |
|
|
Royat (à la source) |
18 |
470 |
7,22 |
|
|
Clairette de Die |
19,5 |
980 |
5,6 |
|
|
Bière Pils |
20 |
840 |
4,0 |
|
|
Monaco (eau de ville) |
20,50 |
2 050 |
6,53 |
|
|
Bévillaud (Suisse) (à la source) |
21 |
1 920 |
6,55 |
|
|
Café |
21 |
120 |
5,8 |
|
|
Cidre |
21,3 |
450 |
4,0 |
|
|
Vinaigre de pommes |
22 |
3 400 |
4,7 |
|
|
Guebwiller (eau municipale) |
23 |
7 760 |
6,28 |
|
|
Roche Posay |
23,70 |
2 000 |
7,3 |
|
|
(Crème Gerovital à la procaïne) |
24 |
10 000 |
3,8 |
|
|
Eau dentifrice Weleda |
24 |
9 250 |
3,5 |
|
|
Toulon (eau de ville) |
24,80 |
1 270 |
7,52 |
|
|
Thé |
25 |
150 |
6,5 |
|
|
Perrier |
25,5 |
1 830 |
6,2 |
84,39 |
502 |
Vichy (bouteille) |
26 |
160 |
7,8 |
608,4 |
3 400 |
Pontoise (eau de ville) |
26,70 |
1 206 |
7 |
|
|
Nutella |
27 |
4 030 |
6,7 |
|
|
Strasbourg (eau de ville) |
27,4 |
1 200 |
6,78 |
|
|
Volvic (Mg = 8 mg/l, Si = 32 mg/l) (analyse 2010) |
27,8 |
8 475 |
7,3 |
27,42 |
130 |
Badoit (eau dont le rH2 est neutre) |
28 |
560 |
6,5 |
361,6 |
1 300 |
Eaux dont le rH2 est oxydant :
Evian |
29,8 |
1 950 |
7,4 |
103,8 |
420 |
Vittel |
30,3 |
960 |
7,7 |
208,1 |
841 |
Contrexéville |
30,4 |
390 |
7,7 |
519,2 |
2 450 |
NOTE - Ces valeurs ont été reprises de diverses sources et peuvent varier selon les conditions de mesure et l’appareillage utilisé.
8 - Solutions écologiques et économiques
La consommation mondiale d'eau est en moyenne de 3 400 litres par jour et par personne (compte tenu de la production industrielle et agricole). En Suisse, la moyenne est de 4 600 litres. La production d’un maillot de corps nécessite 2 900 litres d’eau, celle d’un kilo de riz exige 3 400 litres et un kilo de viande de bœuf 15 500 litres d’or bleu (source : TG du 29/10/2008, p. 31) !
Nous sommes abreuvés de conseils pour économiser l’eau potable, source de la sécurité alimentaire de notre planète. Dans le cahier spécial du Monde du 18 mars 2009, Monsieur le ministre Borloo nous enseigne qu’un geste simple est de «privilégier les douches aux bains ». Monsieur Borloo sait-il que la production animale utilise 12 fois la consommation domestique des ménages? Que l’on cesse de nous bassiner avec des « gestes simples » totalement inefficaces et que l’on regarde la réalité en face: la meilleure façon d’économiser l’eau, c’est de mettre un sérieux coup de frein sur la viande. Par rapport à l’alimentation « à la française », une personne qui mange 100 % végétarien pendant une journée fait économiser plus de 5000 litres d’eau, ce qui lui autorise largement le plaisir de prendre un bain de 150 litres! En tant que ministre de l’Écologie, monsieur Borloo devrait être informé que produire un kilo de boeuf ou de veau nécessite près de 50 fois plus d’eau potable que produire un kilo de fruits, de légumes ou de céréales, et, par ailleurs, engendre de 25 à 75 fois plus d’émissions de gaz à effet de serre. Les statistiques officielles affichent que la consommation de viande utilise 60 % des réserves d’eau mondiales, et qu’il faut 30 000 à 60 000 litres d’eau pour élaborer 1 kg de viande alors que 800 litres suffisent pour obtenir 1 kg de blé!
Comme le montre ce diaporama (en français – anglais – japonais), la consommation d'eau en bouteille a atteint 26 milliards de litres en 2004 aux Etats-Unis d'Amérique: la fabrication du plastique de ces bouteilles a représenté la consommation en pétrole de 100 000 voitures pendant un an ! Les plastiques de synthèse (y compris certaines bouteilles comme les biberons) contiennent des substances analogues (bisphénol A, phtalates…). Il faut donc éviter de conserver des aliments ou des boissons dans des récipients en matière plastique, qu'il ne faut par ailleurs jamais chauffer. Ne pas utiliser de films plastiques pour la conservation mais uniquement des récipients en verre alimentaire. La concentration des spermatozoïdes est passée de 100 millions par millilitre de sperme en 1950 à 50 millions en 2000, avec une baisse annuelle de 3 %. En 2009, il n'y a donc plus que 12 millions de spermatozoïdes par millilitre de sperme et théoriquement 0 (= stérilité masculine complète) en 2017 ! (article de Catherine Solano: "La dégringolade de la fertilité masculine", Tribune de Genève, 13 avril 2009, p. 29). Il faut en effet savoir qu’un litre d’eau en bouteille de matière plastique produit 2 500 fois plus de gaz à effet de serre qu’un litre d’eau du robinet et coûte entre 100 et 500 fois plus cher ! Une bouteille de plastique nécessite en effet -pour sa production, son transport, sa réfrigération et son évacuation- 3 litres d’eau normale et un quart de litre de pétrole. En France, on dépense en moyenne 200 € par an et par habitant pour 130 litres d’eau en bouteille de 165 marques différentes, aboutissant à 240 000 tonnes de plastique à éliminer (sources : Ademe, dans Femme Actuelle n° 1240, juillet 2008, p. 52 et Femme Actuelle n° 1238, juin 2008, p. 12).
9 – Peut-on boire l'eau du robinet ?
L’enquête intitulée « Du Poison dans l’eau du robinet », diffusée par France-3 le 17 mai 2010, est disponible en 6 vidéos de 15 min chacune environ ou en 1 vidéo complète (1h44min). Cette intéressante enquête ne soulève cependant pas le problème du solvant même des poisons détectés, c’est-à-dire l’eau pure proprement dite. Comme l’indique Laurence Rossignol, Secrétaire d’Etat à l’Environnement, l’eau distribuée en France contient presque toujours des résidus d’aluminium, de pesticides, de médicaments et d’argon, mais souvent au-delà des normes de qualité ou de référence publiées par le Ministère de la Santé français. Celui-ci accorde des dérogations aux communes incapables d’améliorer leur eau, de sorte que les fiches officielles d’analyse de ces communes portent cette incroyable et irresponsable mention officielle : « Eau conforme par dérogation » ! Et, comme me l’a justement fait remarquer M. Yann Olivaux, cette enquête ne s’intéresse qu’au dépassement des normes sans traiter le problème de la toxicité relative des faibles doses (cas du bisphénol A) ni des interactions entre les polluants détectés.
L’osmose inverse est-elle la solution ultime ?
La seule osmose inverse ne suffit pas à éliminer totalement l’aluminium. Un site canadien officiel précise en effet ceci : « Si l'on utilise l'aluminium comme clarificateur initial, les systèmes d'osmose inverse enlèveront efficacement la plus grande partie de l'aluminium dissous de l'eau prête au débit. » La ville de Toronto a par exemple constaté que l’osmose inverse n’éliminait que 67 % des résidus d’aluminium dissous, au moyen des cartouches à charbon de bois des filtres Brita :
Il faut toutefois préciser que la cartouche contenant la membrane d’osmose inverse est normalement précédée et suivie d’un préfiltre et d’un postfiltre au charbon actif, de sorte que l’on peut considérer (sauf relevé de mesures contraires à me communiquer) que ce métal est vraiment éliminé par les filtres OI à 3 éléments (le remplacement régulier des cartouches étant implicite).
L’eau du robinet n’apporte que 5 % de l’aluminium total qui est ingéré quotidiennement, mais sous une forme très biodisponible. Le reste vient des ustensiles de cuisine (casseroles, faitouts, …), des chaudières des machines à café automatiques, des vaccins, des antiperspirants, des médicaments contre les aigreurs ou ulcères d’estomac, etc.. L’eau qui est tant vantée actuellement par les compagnies de distribution (comme les Services Industriels de Genève) par rapport aux eaux en bouteilles, est cependant insuffisamment pure. Malgré les filtrages et autres procédés industriels, l'eau distribuée contient encore des molécules nocives telles que nitrates, pesticides, hormones, fluor, antimoine, résidus médicamenteux, etc., comme cela est expliqué en détail par le Dr David Servan-Schreiber, spécialiste de la lutte naturelle contre le cancer. Les normes officielles qui sont actuellement applicables à l’eau du robinet en France sont décrites dans ce dossier très complet : « Méfiez-vous de l’eau qui Sort » (plomb : 25 mg/l ; argent : 100 mg/l (OMS) ; glyphosate : 0,1 mg/l ; nitrates 50 mg/l ; etc.) . Comme l'ont montré en particulier le film de France-3, le WWF et le docteur David Servan-Schreiber, l'eau industrielle qui est distribuée par les communes contient des résidus d'hormones de type oestrogènes provenant des molécules contraceptives non filtrées par les stations d'épuration, ainsi que d'autres substances.
Ces constatations et mesures sont contestées dogmatiquement (c'est-à-dire sans arguments scientifiques ni prise en compte de l'incontournable paramètre d'oxydabilité de l'eau) par certains organismes bénéficiant de l’argent des contribuables : "Trois académies réaffirment qu'elle est sans risque et qu'elle n'aggrave pas les cancers. Un déni de la science », « un mépris de la médecine », « une atteinte au respect des patients ». Dans une « mise au point » publiée jeudi 2 juillet 2009, les Académies nationales de médecine et de pharmacie et l'Académie de l'eau se déclarent scandalisées par les récentes recommandations de consommation sur l'eau potable adressées aux personnes atteintes de cancer. Ces académies font référence au texte publié la semaine dernière par le docteur David Servan-Schreiber avec le soutien du Fonds mondial pour la nature (WWF) et de plusieurs oncologues et épidémiologistes." Or, selon Annie Sasco, chercheuse INSERM au département Epidémiologie de l'université Victor-Segalen à Bordeaux, "Il n'y a pas d'étude épidémiologique sur le rôle de l'eau comme facteur d'aggravation du cancer, mais nous savons qu'il peut y avoir dans l'eau des composés cancérigènes." (réf. Science et Vie, 09/09, p. 36). On se demande qui doit se déclarer "scandalisé" : les "Académies" bien-pensantes ou les consommateurs de cette eau de robinet impure sinon toxique ?
Les normes de contamination maximale sont fixées par décision gouvernementale, de sorte que l'eau du robinet n'est garantie officiellement qu'à 99,8 % (en France). La meilleure solution est d'utiliser l'eau du robinet telle que distribuée mais de la filtrer par différents moyens, l'osmose étant le procédé le plus efficace (mais le plus long!). L'idéal serait que l'eau de conduite soit rendue conforme aux 3 critères de la bioélectronique et qu'elle soit osmosée afin de se rapprocher des 100 % de pureté indispensables à l'hydratation de nos cellules. On trouvera ci-dessous un modèle de lettre à adresser aux maires des communes afin de les sensibiliser aux 3 paramètres fondamentaux de la bioélectronique. Les eaux de référence à recommander sont décrites dans ma lettre au Ministère de la Santé.
Annexe - Modèle de lettre à envoyer au maire d'une commune française distribuant une eau non conforme à la Bioélectronique
Analyse officielle de l'eau de ma commune en 2010
Monsieur le Maire,
L'eau distribuée dans notre commune par [réseau communal] a été analysée par le Ministère de la Santé en date du […] 2010 (voir ci-dessous). Ces valeurs pourraient utilement être affichées sur le site de votre ville à l'intention des usagers et consommateurs de cette eau. D'après un membre actif de l'Association de Bioélectronique, cette eau n'est pas conforme aux 3 paramètres fondamentaux de la Bioélectronique fondée par le professeur Louis-Claude Vincent (rH2, rhô et pH) pour les trois raisons suivantes:
1) son paramètre physico-chimique fondamental d'oxydabilité (rH2) (facteur de vieillissement par prélèvement d'électrons si sa valeur est supérieure à 28) n'a pas été mesuré, de sorte que cette analyse ne peut pas être considérée comme complète. La teneur de notre eau (… mg/l) en chlore –agent oxydant- prouve à elle seule que notre eau est oxydée/oxydante ;
2) sa résistivité (Ω.cm) ou sa conductivité (en microsiemens) est insuffisante car signalant une eau trop chargée en éléments minéraux, empêchant donc l’hydratation normale des cellules ;
3) son pH est alcalin au lieu d’être légèrement acide selon les critères idéaux de la bioélectronique.
Dans l’espoir que vous jugerez utile de tenir compte de ces critères scientifiques dans les analyses de l’eau distribuée aux robinets de notre commune, je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, mes respectueuses salutations.
….
(Exemple)
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1 L'eau qui doit entrer dans les cellules ne doit pas être déjà oxydée par le chlore ou l'ozone, qui précipitent les sels minéraux alcalins comme "le dangereux calcium", ainsi dénoncé autrefois par le professeur René Leriche (1879-1955), membre de l'Académie des Sciences et de l'Académie de Médecine. Si le rH2 est oxydant (c'est-à-dire supérieur à 28 (Roucous = 27,7), ne serait-ce que par la seule présence de chlore comme dans l'eau du robinet), il manque des électrons et des ions Ca++ sont libérés puis vont "se fixer dans la myéline des cellules nerveuses où ils provoquent des "courts-circuits" dans les influx nerveux", ce qui se traduit par des symptômes de sclérose en plaques. De même, cette libération d'ions minéraux par déséquilibre électronique (eau oxydée/oxydante) modifie les délicats rapports Ca/Mg et Na/K qui "déterminent les différences de potentiel électrique entre le noyau et le cytoplasme dans les cellules vivantes. Leur altération prépare toute une série de pathologies dont l'apparition des troubles de la division cellulaire (cancer).(…) Le rôle des sels minéraux "est purement électrolytique, dans le sens qu'ils modifient la résistivité électrique des liquides du vivant et influencent défavorablement les flux énergétiques des cellules." (J. Orszagh, extrait de "Libres Opinions", annexe au livre du biophysicien Yann Olivaux : "La Nature de l'Eau").
2 Cette valeur de conductivité équivaut à une résistivité de 1709 Ω.cm, ce qui indique une importante minéralisation en électrolytes, qui rend donc cette eau non conforme aux paramètres de la Bioélectronique Vincent (thèse dont la validité n'a pas été infirmée scientifiquement à ce jour). Par comparaison, l'eau de Volvic fait environ 6 000 Ω.cm (= 167 mS) et l'eau du Mont Roucous > 30 000 Ω.cm (=33 mS)! L'eau de boisson doit hydrater les cellules et non pas les minéraliser, ce qui est le rôle des aliments. Les canaux correspondants (aquaporines pour H-O-H et canaux ioniques pour les minéraux) sont en effet totalement différents.
3 Un pH de 7,76 indique une eau alcaline, favorisant la prolifération bactérienne et défavorable à l'arrosage des plantes, qui réclament une eau légèrement acide. La norme bioélectronique est de valeur comprise entre 6 et 7 (p. ex. pH eau Roucous = 6,2 = idéale).
Si l'analyse fait apparaître une teneur en aluminium comme ci-dessous (ville de Narbonne et environs):
Aluminium4 total µg/l 183 µg/l (=0,183 mg/l) ≤ 200 µg/l (=0,2 mg/l)
ajouter le commentaire scientifique suivant:
4 Cette valeur est juste au-dessous de la référence de qualité (norme européenne), ce qui laisse à penser que votre distributeur d'eau flocule encore aux sels d'aluminium, méthode désuète qui a été abandonnée par la Ville de Paris, laquelle flocule uniquement aux sels de fer, non toxiques. Cette valeur est un peu inférieure à la norme européenne de 0,2 mg/l, mais reste inquiétante quand on sait que les personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer ont de 10 à 30 fois plus d’aluminium que la normale dans les cellules de leur cerveau ! Après avoir été cuits et conservés pendant toute une nuit dans un récipient en aluminium, 100 g de tomates peuvent renfermer 6,5 mg d'aluminium. L’étude PAQUID de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) sur le vieillissement cérébral a démontré qu’un fort taux d’aluminium dans l’eau du robinet rendait plus fréquentes les affections de type Alzheimer. Comme l'a déclaré le professeur Dartigues :«Sur 63 personnes exposées à plus de 0,100 mg/l [..la recommandation européenne limite à 200 µg/l la teneur en aluminium de l’eau potable..] dans 4 communes (situées principalement en Dordogne), 17 ont développé une démence alors que, statistiquement, nous en attendions moins de 9 ». D’après le professeur Michel Boisset, membre du CSHPF (Conseil supérieur de l'hygiène publique de France) et directeur du laboratoire de biologie du CNAM) : « Si les résultats de l'étude Paquid étaient confirmés, il faudrait impérativement revoir à la baisse la recommandation européenne qui limite à 0,200 mg/l la teneur en aluminium de l'eau potable.» La Ville de Paris a -logiquement- abandonné la floculation à l’aluminium et n’utilise plus que des sels de fer pour précipiter les impuretés de l’eau distribuée. Une alerte sur les risques d'Alzheimer en raison de l'aluminium contenu dans l'eau potable de nombreuses communes a été lancée le 30 janvier 2008 sur France-Inter par Isabelle Giordano. [extraits de la page http://dbloud.free.fr/eaux.htm.]
Résumé
Denis Bloud (sociétaire de l’Association de Bio-électronique) - Pour plus de détails sur la Bio-électronique Vincent, voir la "Bioélectronique des Eaux" et le "Bioélectronigramme".
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