La physique synergétique, subquantique ou tachyonique

tweeterjaune.JPG

La Synergétique (du prof. René-Louis Vallée)

Après avoir abordé cette théorie –non réfutée à ce jour- dans ses numéros de février 1974 et de janvier 1975 (« Qui Osera réfuter la Synergétique », par Renaud de la Taille), la revue Science et Vie a publié,  à la page 52 de son numéro de novembre 1975, un article plus détaillé sur la Synergétique du professeur René-Louis Vallée, décédé le 4 août 2007.

Conformément au principe de cohérence développé par Raymond Ruyer dans La Gnose de Princeton, tous les phénomènes susceptibles d’être appréhendés expérimentalement dans l’univers forment un ensemble cohérent. Chaque point de l’univers est donc la résultante d’une dynamique universelle, que l’on peut assimiler à la notion de synchronicité selon Wolfgang Pauli et Karl Jung. Aucun point, dans l’espace et le temps, ne peut être en contradiction avec l’état de l’univers tel qu’il doit être à cet endroit et en cet instant.

La théorie synergétique étend le principe de conservation aux systèmes ouverts, donc à l’univers si l’on considère celui-ci comme étant ouvert (thèse soutenue par exemple par l’astrophysicien Paul LaViolette dans son excellent livre SubQuantum Kinetics, qui fonde une nouvelle physique, plus logique que la théorie actuellement enseignée et résolvant les contradictions de celle-ci). L’astrophysicien Stephen Hawking se rapproche de cette idée d’univers infini lorsqu’il écrit que « l’univers a surgi du néant » : l’intégration du facteur « néant » dans l’équation générale n’est toutefois possible et logique que si l’on admet que l’univers est infini, donc sans commencement ni fin. C’est là ce qui nous est clairement affirmé et enseigné par les entités supérieures qui ont inspiré « Le Livre de Vie » : « l’univers existe de toute éternité » (p.30, §1), de sorte que la théorie du Big Bang est « un énorme mensonge dans l’ampleur duquel vous vous noyez. Imaginer les astres et tout ce qui vit à partir de l’explosion originelle d’une mystérieuse matière venant de nulle part, c’est élaborer la science de la non-raison d’existence ».

Dans cet univers infini, l’astrophysicien Paul LaViolette postule un éther formé de particules nommées éthérons, tandis que René-Louis Vallée parle de rayonnement diffus, de très courtes longueurs d’onde (entre 2.1016 et 3.1027 GHz). Le grand physicien anglais Paul Dirac a également analysé en profondeur la notion d’éther dans son article intitulé « Is There An Ether ? », Nature, nov. 1951, p. 906. Cette notion d’un espace dont le vide n’est qu’énergie pure a aussi été appelé « universion » par le physicien Georges Lakhovsky, qui le décrit ainsi dans la thèse de doctorat de médecine du Dr J.-L. Portes (téléchargeable ou à me demander) :

universion.JPG

Vallée’s Synergetics confirms LaViolette’s Subquantum Kinetics

René-Louis Vallée’s Synergetics is not to be confused with Buckminster Fuller’s Synergetics nor with Hermann Haken’s one.

In his (138 p.) book entitled “The Electromagnetic Energy, material and gravitational ” (1978, SEPED),  prof. René-Louis Vallée (deceased on August 4th, 2007) confirms logically and mathematically the Paul LaViolette’s book entitled “SubQuantum Kinetics” where the “ether substrate” is (on p. 90) identified with the “electric potential”.

Instead of the word “ether”, Vallée uses the term “energy environments” (“milieux énergétiques”) but he accepts the word “ether” on p. 86 of his book.

Vallée’s good friend Jean-Louis Naudin is cited twice in the bibliography of SubQuantum Kinetics (p. 312, Chapter 11 – notes 26 and 28).

The distribution of electric density, proposed by Alfred North Whitehead in 1925 (p. 55 of SQK) is largely developed in both books as Vallée writes (p. 118 of the French edition) that particles could simply be the energetical peaks of the energy density distribution in each frequency domain.

Most interesting is the Vallée’s calculation (p. 67) of the electrical field limit value (38,67.1015 V/m), beyond which the materialization (or “matter creation” in SQK) process must occur.

As a conclusion, I think that both books might be synthetized in one and unique unified physics theory.

Denis Bloud (18/7/2010) (Paul LaViolette m’a répondu qu’il trouvait excellente (« fine ») cette mise en correspondance de sa propre thèse avec celle de René-Louis Vallée)

Le calcul synergétique montre que la matière prend naissance dans le « milieu cosmique » lorsque le champ électrique atteint la limite de 38,67.1015 V/m. La matière est donc de l’énergie diffuse, piégée par un phénomène de résonance avec l’énergie diffuse libre. Les quanta d’énergie varient avec la fréquence des ondes, comme l’a démontré par ailleurs Hans Reinhard Bachofner dans sa plaquette intitulée « Alternative to Einstein’s Light Quantum Hypothesis », 31 mars 1980, Zurich : le nombre de photons transportés par unité de temps (durée entre quantas) varie avec la fréquence, tandis que la séparation longitudinale des photons (longueur enre quantas) varie avec la longueur d’onde ; l’énergie quantique restant constante.

La théorie de la relativité générale d’Einstein est incomplète car l’énergie ne peut pas être équivalente à la masse sans faire intervenir l’énergie des neutrinos dans l’équation E=mc2. La Synergétique considère que l’espace n’est pas vide mais intègre l’énergie « noire » ou « libre » que le professeur Vallée a captée en faisant appel aux interactions faibles de Feynman lors de la décroissance bêta d’éléments isotopiques à très courte durée de vie : il s’agit de la Capture d’Energie Diffuse par Reconstitution d’Isobare Radioactif (CEDIR), dans laquelle du bore 12, isobare radioactif bêta du carbone, est reconstitué en phase gazeuse avec émission d’énergie à raison d’environ 1 MeV par unité de masse atomique. Ce rendement est du même ordre que celui de la fission nucléaire (0,85 MeV/u.m.a.) et que celui de la fusion nucléaire (1 Mev/u.m.a.), à la différence que l’énergie synergétique est obtenue sans pollution et à faible énergie, sans extraction d’éléments fossiles et en tout lieu. En synergétique, l’énergie diffuse est émise lors de la retombée, sur les noyaux de carbone orientés électromagnétiquement, d’électrons arrachés à la couche K. Selon ce principe vérifié en laboratoire, un seul gramme d’hélium 7 pourrait fournir constamment une puissance maximale de deux millions de gigawatts, alors qu’une tranche de centrale nucléaire ne produit qu’un seul gigawatt et que les plus grands barrages hydroélectriques ne produisent qu’un demi-gigawatt. La synergétique calcule qu’un litre d’espace contient une énergie équivalente à 4 000 litres d’essence normale.

D’après un article du géologue Pierre Cailleteau, le député Charles Hernu a posé en juillet 1980 une question écrite au ministre de la Défense, M. Yvon Bourges, au sujet de l’essai d’une bombe synergétique qui aurait été expérimentée en juillet 1979 sur l’île de Mururoa. Cet essai fut très violent car il a fait deux morts, qui ont dû être congelés. M. Bourges a répondu –sans doute avec l’accord préalable de M. Hernu- que la France n’avait jamais expérimenté de bombe synergétique : quelques mois après ce démenti formel, M. Hernu devenait lui-même ministre de la Défense…

La synergétique montre qu’autour du point d’impact et de captage brusque d’énergie libre, tout réseau électrique est instantanément vidé et que l’énorme dépression créée fait chuter la température près du zéro absolu. D’après René-Louis Vallée, le cataclysme du 30 juin 1908 dans la toundra sibérienne aurait été provoqué par l’implosion synergétique (arbres couchés vers l’épicentre, 1 000 fois Hiroshima…) d’un bolide de 50 m de diamètre, à 8 km d’altitude.

L’on peut se procurer –entre autres documents- le livre fondamental de René-Louis Vallée : « L’Energie électromagnétique matérielle et gravitationnelle » en écrivant de ma part aux Amis de la Société pour l’Etude et la Promotion de l’Energie Diffuse (SEPED).

La Physique tachyonique de Régis Dutheil

Parmi les théories les plus avant-gardistes de compréhension du phénomène de conscience, celle de Régis Dutheil, professeur agrégé de physique à la faculté de médecine de Poitiers, est particulièrement remarquable. La thèse de base développée par ce chercheur dans son livre « L’Homme Superlumineux » (1990), puis plus précisément dans « La Médecine Superlumineuse » (2008), s'appuie sur les travaux du physicien Gérald Feinberg, inventeur du terme « tachyon » (particule supraluminique).

Selon le professeur Dutheil, il existerait trois mondes définis par la vitesse de mouvement des éléments qui les composent. Le premier est le monde " sous-lumineux ", celui dans lequel nous vivons, qui est un monde de matière obéissant à la physique classique des lois de Newton sur la gravité. Ce monde serait constitué de bradyons, c'est à dire de particules dont la vitesse est inférieure à celle de la lumière. Le deuxième monde est "lumineux" car constitué de particules soumises aux lois de la relativité d'Einstein mais appartenant au « mur de la lumière » : les luxons (comprenant les photons et les gluons). Enfin, il existerait un espace-temps " superlumineux ", qui serait constitué de particules dépassant la vitesse de la lumière, nommées les tachyons. Le professeur Louis de Broglie a en effet démontré qu’une onde de phase est associée à la particule et que la vitesse de phase de cette onde est toujours supérieure à la vitesse de la lumière dans le vide.

Pour Régis Dutheil, ces trois mondes correspondraient à trois niveaux de conscience de l'homme : 1) le niveau des sens, qui perçoit la matière ; 2) le niveau de la conscience locale, qui est une pensée lumineuse, c'est-à-dire qui va à la vitesse de la lumière ; et 3) le niveau de la supraconscience, qui est une pensée qui va plus vite que la lumière.

Dutheil pense qu'on peut atteindre la supraconscience lorsque le cortex est déconnecté par les rêves, par la méditation ou par l'usage de certaines drogues. Grâce à la vraie connaissance des lois de l'univers, la fréquence propre de notre conscience accélérerait et toucherait parfois au monde tachyonique. Dutheil pense qu'"il y aurait, pour un être vivant dans l'univers superlumineux, une instantanéité complète de tous les événemants constituant sa vie ". Dès lors, les notions de passé, de présent et de futur se fondent et disparaissent. Rejoignant les recherches de David Bohm, il pense qu'à la mort, notre conscience "supraluminique " rejoindrait un autre niveau d'énergie plus évolué : l'espace-temps des tachyons. Vers la fin de sa vie, Régis Dutheil, aidé de sa fille Brigitte, émit une théorie encore plus audacieuse selon laquelle non seulement le passé, le présent et le futur seraient réunis ici et maintenant, mais que notre passé et notre avenir se dérouleraient dans la dimension superlumineuse en parallèle à notre présent, rejoignant ainsi la théorie du dédoublement quantique de Jean-Pierre Garnier-Malet, développée au § 7 de mon document sur l’astrophysique.

Régis Dutheil reprend les thèses de Karl Pribram et de David Bohm (« les univers implié et déplié »), pour lesquels le cortex fonctionnerait essentiellement en opérant des transformations rapides de Fourier à partir de fréquences spatiales émises électromagnétiquement sous forme de codes-barres dans l’univers, afin de construire les hologrammes constituant ce que nous percevons comme étant notre « réalité ». Nous ne serions donc que les projections holographiques d’une unique conscience superlumineuse analogue à la Matrice des frères Wachowski mais dont il n’est pas vraiment possible de s’échapper (sauf dans les conditions indiquées plus haut et lors de la mort, qui ne serait qu’un retour de notre conscience à son état fondamental de moi superlumineux. Le champ de conscience serait alors constitué des « préons » du physicien indien Abdus Salam (1926-1996), définis comme de micro-trous noirs tachyoniques (réf. : R. Dutheil, Préons, bradyons et tachyons, AFLB, 1990).

Noter que la revue Science et Vie de septembre 2010 développe –page 42, à propos de la gravitation- une thèse très proche de celle de Régis Dutheil.

Le mode normal de fonctionnement du cortex est local et spatio-temporel, c’est-à-dire infraluminique. Lors du sommeil paradoxal, de la méditation, de l’extase ou de la mort, le cortex fonctionne toutefois en mode non local afin d’obtenir des transformées de Fourier rapides intégrant des informations issues de notre double dans l’univers supraluminique. Cette analyse rejoint celle des « ouvertures temporelles » et du « double atemporel » des physiciens Jean-Pierre Garnier-Malet et Philippe Bobola.

Dans son livre « La Médecine Superlumineuse », le professeur Régis Dutheil reprend l’idée du « corps électrique » de Harold Burr (1889-1973), mis par exemple en évidence par les électrophotographies Kirlian. A la page 76 de « La Médecine Superlumineuse », Dutheil résume sa théorie par cette comparaison, tout à fait claire : « Si nous reprenons l’image du film projeté, nous pouvons dire que notre corps sous-lumineux –ou soma- correspond à l’image perçue sur l’écran par le spectateur ; le corps électrique photonique (vitesse de la lumière) correspond au projecteur ; et la conscience superlumineuse correspond à l’opérateur qui manipule le projecteur. » Dans Les Annales de la Fondation Louis de Broglie, numéro 3, 1991, Régis Dutheil a démontré qu’il existait un système euclidien de 4 coordonnées permettant de supprimer le mur de la vitesse luminique tout en restant compatible avec la mécanique quantique et les équations de Maxwell.

A la page 66 de son livre "La Vie après la Vie", le Dr Raymond Moody rapporte ce témoignage d'un homme qui avait quitté son corps: "Mon être avait une certaine densité, enfin presque. Pas une densité physique, je dirais plutôt des ondes ou quelque chose comme cela, je ne sais pas, rien de vraiment matériel, mettons une décharge électrique si vous voulez. Mais c'était quand même quelque chose. C'était petit, vaguement SPHERIQUE, mais sans contour précis, à peine un nuage. Mon corps ne pesait plus rien." A mon avis, ce témoignage pourrait expliquer le phénomène des « Orbs » (taches lumineuses sphériques apparaissant sur des photographies, dont la revue « Top Secret » a publié de nombreuses illustrations). Dans son livre "L'Homme Superlumineux" (197 p. Sand, 1990), le professeur Régis Dutheil explique (p. 141) en effet qu'à la mort, "la conscience du sujet, après avoir traversé le mur de la lumière, est imprégnée de particules lumineuses, de photons. Elle est formée de solitons, c'est-à-dire une structure de photons ou neutrinos qui se trouvent sur le cône de lumière. Les solitons sont formés d'un réseau d'ondes stationnaires, ce qui explique la sensation d'énergie ressentie par les témoins et leur localisation à différentes hauteurs."

NOTE – Curieusement, la page de l’encyclopédie Wikipédia consacrée au professeur Régis Dutheil a été supprimée !

Le Principe anthropique du Dr Jean-Bruno Méric : « Une théorie électromagnétique de la Conscience »

La théorie électromagnétique de la conscience, développée par le Dr Jean-Bruno Méric, est décrite aux pages 22-30 de la revue efferveSciences (numéro 73, décembre 2010), sous le titre « La Magnétosphère terrestre, support magnétique de toute la Mémoire du vivant ? ». Dans cet article, l’auteur cite Régis Dutheil et le Dr Paul Chauchard (1912-2003) (efferveSciences 44 et 48). De même que Teilhard de Chardin avait décrit une Noosphère, le Dr Méric décrit une sorte de « magné-noosphère » composée de la magnétosphère terrestre et de sa modulation par la mémoire collective de toutes les anciennes mémoires cérébrales (également électromagnétiques) de l’espèce humaine. Chaque « céphalosphère » individuelle est physiologiquement activée par les circuits de Papez intégrés dans les deux hippocampes. James Papez (1883-1958) a en effet décrit dès 1937 la possibilité d’un cerveau viscéral, limbique ou émotionnel faisant appel à ces trajets nerveux, émetteurs d’un champ électromagnétique détectable et enregistrable.

 Hippocampes du cerveau humain, contenant les circuits de Papez

Cette céphalosphère individuelle rejoint, au décès, la noosphère terrestre. Comme l’écrit le Dr J.-B. Méric, « nous sommes là, chacun pour sa part et à son niveau, pour donner une mémoire et une conscience à la Terre qui nous a produits et nous fera mourir. Grâce à nous, elle (Gaïa) est désormais éveillée et consciente d’elle-même », ce qui rejoint la définition donnée par Teilhard de Chardin : « L’humanité est l’évolution devenue consciente d’elle-même » (diaporama explicatif).

Historique des Tachyons

Considérée pendant des années avec scepticisme par les scientifiques, l'existence des tachyons a été théoriquement reconnue dans les années 60 par la physique moderne. Bien avant cette date, de nombreux chercheurs avaient déjà démontré l'existence de cette forme énergétique.

1896 - Nikola Tesla, le plus grand inventeur des temps modernes, a mis en lumière l'existence des champs scalaires et la majorité de ses inventions exploitait cette énergie. Nikola Tesla est considéré comme l'inventeur de la radio, du radar, du courant alternatif, des tubes fluorescents et des turbines. Plus de 700 inventions et brevets portent son nom.

1920 - Les physiciens Levetzow, Stanyukovic et Schneiderov se sont penchés sur le thème de l'énergie gravitationnelle et, contrairement à Einstein, ont considéré que l’accélération gravitationnelle était un phénomène de pression tachyonique et non d’attraction massique.

1960 - Oliver Crane publie ses résultats de recherches sur les courants et oscillations mécaniques qui, d'après ses théories, remplissent les espaces intermatériels. D'après lui, les espaces vides n'existent pas.

1967 - Gerald Feinberg calcule pour la première fois des tachyons.

1986 - Akira Tonomura (Hitachi Advanced Research Laboratory, Tokyo) publie des résultats de recherches sur ce sujet.

1991 - Christian Monstein prouve le "courant quantique spatial" électromagnétique.

1995 - Introduction des produits MATERIA TACHYON en Europe.

1998 - Développement et production des produits FOSTAC® en Suisse.

Comment fonctionnent-ils ?

Les tachyons sont de minuscules unités physiques qui ne peuvent pas encore être mesurées. Elles se déplacent plus vite que la lumière et ont un comportement ondulatoire/corpusculaire. Une particule tachyonique se compose de trois unités : T+, T- et To (plus, moins, zéro) qui renferment une conscience, tout comme tous les éléments de la matière. La physique reconnaît désormais que l'atome n'est pas la plus petite particule des particules connues et que chaque particule peut être dirigée par la pensée. C'est pour cette raison que les expériences scientifiques cherchent à réduire les sources d'erreur en effectuant des études jumelles indépendantes les unes des autres. Il a été prouvé que la puissance des pensées du chercheur influençait les expériences et faussait donc le résultat. Bien qu'un tachyon soit une particule théorique, il existe cependant. Il représente une unité d'énergie/matière qui peut très rapidement et presque sans transition modifier son état.

Comment agissent-ils ?

Les tachyons transforment, réorganisent et réharmonisent les états entropiques ou chaotiques. Les tachyons potentialisent et rappellent certaines structures (par ex. celle de l'eau) à leur état originel ou idéal afin d’en libérer les potentiels énergétiques fondamentaux. Les tachyons sont par exemple en mesure d'améliorer la qualité de l'eau potable (comme avec l’appareil de Lavinay), avec un effet favorable sur les règnes végétal, animal et humain.

http://www.fostac.ch/images/technologie/vorhernachherfranz.jpg

Comment sont-ils produits ?

Des fréquences biologiques, positives et ultrapuissantes sont créées dans un appareil construit dans le respect des lois biophysiques (comme le GERB). Puisque des fréquences très élevées sont plus riches en énergie que des fréquences basses, la matière (par ex. le verre) peut être complètement traversée, permettant la modulation d'informations sur ces fréquences. Les produits tachyonisés sont donc soumis à ces hautes fréquences pendant un certain laps de temps. Leur structure se modifie et les informations sont communiquées durablement à la matière. Ce remaniement de structure et ce transfert d'informations transforment chacun des produits tachyonisés en une antenne émettrice d'énergie libre. Cette énergie concentrée peut être utilisée dans les secteurs scientifiques et médicaux.

http://www.fostac.ch/images/technologie/vorhernachher2franz.jpg

Les tachyons sont une forme "d'énergie libre" qui nous entoure constamment. Néanmoins, au cours des siècles, notre corps a perdu sa capacité de les utiliser. Les tachyons sont des unités énergétiques sans masse plus rapides que la lumière. De par leur vitesse, ils peuvent parcourir d'énormes distances et sont donc omniprésents. L'énergie mentale/spirituelle/électrique contient toutes les informations qui permettent à l'énergie de se matérialiser sous une certaine forme de vie. Imprégnée principalement d'informations créatrices positives, elle circule du cosmos en direction de la Terre dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. L'énergie magnétique est le reflet (miroir) du modèle mental/spirituel/électrique et se forme obligatoirement selon ce modèle. Cette énergie circule de la Terre en direction du cosmos dans le sens des aiguilles d'une montre. Un champ de tension énergétique ou champ interférentiel (phasons, quantons, phorons de Z. Wolkowski) se forme entre ces deux influx. Il agit comme un hologramme et nous fait ressentir la matière comme étant solide bien qu'elle ne le soit pas.

http://www.fostac.ch/images/technologie/schemachifranz.jpg

Le principe vital étant de nature électromagnétique, il réagit aussi aux facteurs qui se produisent sur la Terre comme nos pensées et nos émotions, les influences climatiques, le rayonnement des étoiles et tous les champs existant dans l’univers.

----------------------------------