Eléments scientifiques et parascientifiques sur l'état de la Terre

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 (Denis Bloud – mise à jour du lundi 27 août 2012 - Première partie de mon dossier sur 2012, lequel a fait l’objet d’un résumé et d’une conférence)

 

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Sommaire

 

1 - Astroparticules et tempêtes électromagnétiques

2 – Nuages cosmiques, bandes photoniques et ondes galactiques

3 - Déplacements des pôles de la magnétosphère terrestre

4 - Résonances géophysiques de Schumann et résonances cérébrales humaines

5 - Comparaison géocentrique des aspects du système solaire à fin 2007 et à fin 2012

6 - Attention, décollage!

7 - La théorie du dédoublement quantique de Jean-Pierre Garnier-Malet

8 - Trous noirs et antimatière: recherche d'une structure de l'univers

 

1)                   Astroparticules et tempêtes électromagnétiques

 

Le centre de notre galaxie (Sagittaire A*) est considéré comme étant un trou noir "inactif" mais dont il émane d’énormes vagues concentriques de rayonnements gamma à très haute énergie, pouvant donc influencer les résonances de Schumann décrites au point 4 ci-dessous.

 

NOTE – L'hypothèse selon laquelle le centre d'une galaxie serait constitué d'un trou noir est toutefois contestée par les astronomes n'acceptant pas l'hypothèse d'un univers en expansion après explosion initiale, comme l'astrophysicien Paul LaViolette, dont l'ouvrage fondamental Subquantum Kineticsnon réfuté à ce jour- remet en cause toute la physique actuelle.

 

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Aucune vie à base d'eau liquide n’est possible à moins de 33 000 années-lumière du centre -c’est-à-dire à moins d’un tiers du diamètre total de la Voie lactée. Heureusement, notre Soleil se trouve à peu près aux 2/3 de ce diamètre, distance aussi idéale que celle de la Terre par rapport à lui (température permettant la phase liquide de l'eau nécessaire aux processus biologiques que nous connaissons). Le Soleil tourne autour du centre de la galaxie à la vitesse radiale de 965 000 km/h, tout en se déplaçant vers la constellation du Lion à la vitesse longitudinale de 378 km/s (Paul LaViolette, Subquantum Kinetics, 2000, p. 13). A l'équateur, notre globe tourne à la vitesse de 1 674 km/h sur lui-même et à la vitesse de 107 000 km/h autour du Soleil. (réf. Science et Vie, mars 2009, p.24 et 118). Par ailleurs, (réf. Science et Vie – octobre 2007, p. 74) toujours dans la direction du Sagittaire contenant le trou noir central de la Voie lactée, une autre galaxie (aussi massive que la nôtre) celle d’Andromède, fonce sur la nôtre à 430 000 km/h ! Située à 2,5 millions d'années-lumière, elle ne commencera à nous percuter que dans 2 milliards d’années mais les astronomes du Harvard-Smithonian Center for Astrophysics (Avi Loeb et Thomas Cox) détectent déjà ce qu’ils appellent une «longue danse qui durera 3 milliards d’années » due à ce rapprochement de ces deux galaxies. La collision galactique commencera dans un peu moins de 2 milliards d’années. Au début du choc, le Soleil sera encore actif mais en voie de devenir une naine rouge et la Terre sera déjà devenue une boule de lave. Une autre galaxie, située à seulement 17 000 années-lumière de la Terre, Omega Centauri, traverse à 100 km/s le disque de la Voie lactée tous les 100 millions d’années (Science et Vie – octobre 2008, p. 100).

Dans la Tribune de Genève du 19 octobre 2007, page 26, un astrophysicien déclare en effet ceci : "Si on a un sursaut gamma dans notre galaxie, il y a une chance sur deux pour qu'on soit tous morts sur Terre. Car un sursaut gamma, ça vous brûle une planète à dix années-lumière. Et c'est quelque chose qui arrive une fois par jour dans l'Univers...".

 

Il n’y a donc pas que les comètes et astéroïdes récurrents pour menacer notre petite planète ! Un sursaut gamma ou GRB (Gamma Ray Burst) est une sorte de « tsunami électromagnétique », dont les effets se prolongent dans le temps. En passant à proximité d’un noyau atomique, l’énergie à fréquence gamma donne en effet naissance à deux électrons de signes contraires et l’annihilation de deux particules de ce type produit un rayonnement gamma secondaire. En temps normal, 5 particules rapides traversent notre cerveau à chaque seconde. Un tel sursaut gamma, provoqué par une éruption solaire ou par l’explosion d’une supernova, s’est par exemple produit le 5 mars 1979, le 27 août 1998 et le 27 décembre 2004. Ce dernier sursaut a été 100 fois plus intense que les deux précédents. Il provenait d’un étoile à neutrons à champ magnétique gigantesque, de type magnétar, située vers le centre de la galaxie, dans le Sagittaire. Mais le plus récent et le plus puissant sursaut jamais observé s’est produit le 19 mars 2008. Ce GRB 080319B a été tellement intense qu’on a pu l’observer à l’œil nu pendant une minute alors que sa source (hypernova) était (fort heureusement pour nous) située hors de notre galaxie, dans la constellation du Bouvier, à 7,5 milliards d’années-lumière de la Terre. Voici comment le télescope spatial Hubble (cliquer ici pour voir ses 10 meilleures photos) a pu voir ce phénomène unique:

 

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Le GRB 080319B vu par Hubble (cercle bleu). Crédit : Nasa, Esa, N. Tanvir, E. Rol (University of Leicester), A. Fruchter (STScI), A. Levan (University of Warwick)

 

Ce phénomène extraordinaire s’est reproduit 4 fois pendant la même journée du 19 mars 2008. Les astrophysiciens cherchent actuellement une explication. On lit par exemple ceci dans l’excellent site de Futura-Sciences : «Il reste maintenant aux astronomes à expliquer l'exceptionnelle puissance de cette émission. Il est possible, par exemple, que la Terre ait été située, par hasard, précisément au centre du faisceau de rayonnements émis par l'astre qui a explosé. »

 

Mais s’agit-il vraiment d’un hasard ? Sur une carte du ciel, si l’on trace une ligne droite entre la constellation du Bouvier (dans l’axe de laquelle se trouvait la source du sursaut RGB 080319) et la constellation de la Baleine (dans l’axe de laquelle se trouve actuellement la 10e planète Sedna) l’on constate que cette ligne passe par le point vernal, actuellement situé entre les extrémités des constellations des Poissons et du Verseau, comme pour dégager la voie ou allumer quelque chose à distance.

 

Or les boucliers censés protéger le système solaire et notre planète contre les rayonnements cosmiques sont actuellement en train de s’affaiblir. Des bombardements cosmiques d'astroparticules du type des sursauts gamma (galactiques ou intergalactiques) peuvent provoquer, par ionisation de l'atmosphère, une augmentation brusque de la fréquence des événements kérauniques (éclairs) et ainsi modifier (en amplitude et en fréquence) les divers pics des résonances de Schumann, que l'on peut donc considérer comme des "thermomètres" de la planète car le réchauffement de celle-ci va de pair avec l'augmentation des résonances électromagnétiques de Schumann (décrites au point 4 ci-dessous).

 

Le numéro d'avril 2009 de la revue Science et Vie signale (p. 96-99) que l'on vient de détecter une onde à 3 GHz très puissante "dont l'origine reste totalement inconnue à ce jour". Cette fréquence de 3 GHz (longueur d'onde de 10 cm) est à la limite entre les bandes UHF (ondes décimétriques) et SHF (ondes centimétriques) qui sont celles des effets thermiques par fours à micro-ondes, téléphones portables, WiFi, antennes-relais. Cette fréquence de 3 GHz est aussi celle des tissus biologiques (radical CH = 9 cm), de sorte que cette onde cosmique inconnue vient amplifier, par résonance, les rayonnements électromagnétiques actuels qui nous influencent déjà défavorablement.

 

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Comme le schéma ci-dessus l'indique clairement, le plan écliptique de notre système solaire est à angle droit avec le plan équatorial de la galaxie, qu'il traverse verticalement (nord-sud-nord) tous les 34 millions d'années à la vitesse de 5-7 km/s. En même temps, notre Soleil gravite autour du centre de la galaxie à la vitesse de 217,215 km/s (soit un tour en 226 millions d’années). Dans ce mouvement, le Soleil se rapproche (comme actuellement) puis s'éloigne du bras spiral de Persée à la vitesse de 20 km/s (soit un cycle de 140 millions d'années entre traversées de bras spiral). La vitesse de révolution galactique du Soleil (217,215 km/s) est supérieure à la vitesse de rotation de la Galaxie elle-même. Il passe donc de bras spiral en bras spiral et rencontre alternativement des régions pauvres en poussières et d'autres riches en nuages moléculaires froids, provoquant l'alternance des ères glaciaires et des ères chaudes sur notre planète. C'est ainsi que dans un passé récent (5 millions d'années) le Soleil a quitté le bras Sagittaire-Carène pour revenir vers le bras de Persée, qu'il atteindra 10 millions d'années plus tard.

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Réchauffements et refroidissement périodiques de la Terre

 

Chaque fois que le Soleil traverse le plan de la galaxie ou un bras spiral, la densité de matière (poussières cosmiques) augmente de 80 %, ce qui se traduit par un bombardement de rayons ionisants provoquant la formation de nuages sur la Terre donc son refroidissement temporaire, mais également son réchauffement à long terme en raison des rayons cosmiques plus pénétrants, comme indiqué sur le schéma ci-dessous:

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NOTE - Une simulation numérique de ce phénomène a été réalisée par Jeffrey Pierce (université Carnegie Mellon en Pennsylvanie) à l'échelle du système solaire actuel, donc sans tenir compte de ses passages dans les zones plus denses de la galaxie comme indiqué plus haut. Cette simulation très partielle car synchronique (instantanée) "indique que la variation de 15 % du flux des rayons cosmiques enregistrés au cours d'un cycle solaire ne se traduit que par une variation de 0,1 % du nombre de noyaux de condensation de nuage." (réf. Science et Vie, 8/09, p. 29). Cette étude n'a donc aucune valeur dans une perspective diachronique. (D.B.)

 

Ces alternances de réchauffement/refroidissement en fonction de l’intensité des rayonnements cosmiques reçus lors de la traversée des bras spiraux ont provoqué, au cours des 500 millions d'années écoulées, 4 périodes chaudes et 4 périodes froides (ères glaciaires) au rythme moyen de 62,5 millions d'années (en bleu l'intensité des rayons cosmiques, en rouge les températures.

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La même alternance climatique s'est également produite tous les 34 millions d'années, à chaque traversée (comme actuellement) du plan équatorial de la galaxie par le système solaire.

 

NOTE (non scientifique) - D'après certains chercheurs, le système solaire va bientôt traverser (comme il le fait tous les 34 millions d’années) le plan équatorial de la galaxie (représenté dans le dessin ci-dessous par la ligne brillante), c'est-à-dire que la Terre, le Soleil et le centre de la galaxie seront en alignement. Bien que cette configuration soit périodique, certains chercheurs estiment qu’elle pourrait provoquer une inversion des pôles de la magnétosphère (voir le point 3 ci-dessous).

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Deux excellentes vidéos décrivent clairement l’influence prépondérante du  Soleil sur le climat de la Terre, qui a été formée en même temps que lui, il y a 4,5 milliards d’années environ. La première (9 min) est une démonstration scientifique par le professeur Vincent Courtillot, directeur de l’Institut de Physique du Globe. La seconde (8 min) est une explication scientifique des effets géophysiques du Soleil.

 

En réalité, le réchauffement climatique actuel ne concerne pas que la Terre mais tout le système solaire, ce qui pourrait suffire à montrer que l'activité humaine n'a qu'une incidence marginale. Le biologiste Nasif Nahle montre également que notre système solaire va bientôt rencontrer le Nuage Cosmique, qui se rapproche de nous à la vitesse de 37 km/s. Nous en ressentons déjà la proximité car les sondes spatiales Voyager-1 et Voyager-2 ont détecté de hautes densités de rayonnements cosmiques, qui affectent le climat de tout le système solaire, sur la Terre et sur d'autres planètes comme Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Pluton. Certains satellites de Jupiter et de Saturne manifestent actuellement un réchauffement climatique très net, confirmant celui de la Terre.

 

Des tempêtes électromagnétiques peuvent également provenir de notre étoile, selon un cycle de 11 ans. A ce propos, la revue Scientific American précise qu'en 2009, l'activité solaire a été minimale mais que la prochaine tempête solaire est prévue pour la fin de l’année 2012, avec un maximum à la fin de février 2011. Pour mémoire, le 10 mars 1989, une masse coronale 36 fois plus grosse que la Terre, pesant 1 milliard de tonnes, s'est détachée du Soleil sous forme de gaz ionisés et s'est dirigée vers la Terre à la vitesse de 1 600 000 km/h. Deux jours plus tard, le 12 mars, cette boule de feu s'est écrasée sur notre magnétosphère, provoquant ainsi une énorme tempête électromagnétique. Ses effets visibles ont été l'apparition d'immenses aurores boréales et, le 13 mars, d'innombrables pannes d'électricité, touchant par exemple six millions de personnes pendant neuf heures au Québec. Les courants induits ont aussi fait sauter un transformateur dans une centrale nucléaire du New Jersey! Des tempêtes électromagnétiques beaucoup plus intenses ont eu lieu en 1859 et en 1921.

La conjonction du maximum solaire de 2011 avec des sursauts gamma provenant de notre galaxie ou même de plus loin n'est donc pas à exclure.

 

2)                   Nuages cosmiques, bandes photoniques et ondes galactiques

 

Le Système solaire traverse actuellement, depuis peut-être quelques milliers ou dizaines de milliers d'années, un nuage tiède qu'on appelle le Nuage Local et qui appartient à un petit essaim nuageux, le Duvet local, lui-même immergé dans une grande cavité de gaz coronal, la Bulle locale.

 

Ce nuage a une faible densité (0,1 atome/cm3) mais on sait qu’il sera suivi d’un nuage de densité mille fois plus importante (1 000 atomes/cm3) dont les effets seront maximaux dans 5 000 ans.

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Qu'est-ce qui entoure le Soleil dans cette partie de la Voie Lactée ? Notre idée la plus couramment admise sur le sujet est décrite sur la carte ci-dessus présentant les 1 500 années-lumière nous entourant. Cette carte a été réalisée à partir de diverses observations et déductions. Le Soleil traverse actuellement le nuage interstellaire local (dessiné en violet) qui s'écoule à partir de l'association de jeunes étoiles Scorpius-Centaurus. Ce nuage est un trou de faible densité dans le milieu interstellaire qui est appelé la Bulle Locale (en noir). A proximité, un nuage moléculaire de haute densité -incluant la fissure Aquila- entoure des régions de formation d'étoiles (en orange). La nébuleuse Gum (en vert) est une région d'hydrogène chaud ionisé à l'intérieur de laquelle se situent les restes de la supernova Vela (en rose). Ces résidus sont en expansion et créent des coquilles de matériel fragmentées semblables au nuage local.

 

Dans son livre intitulé "The Talk of the Galaxy" (Les Propos de la Galaxie, réédité sous le titre "Decoding the Message of the Pulsars" (Décodage du Message des Pulsars)), l'astrophysicien Paul LaViolette montre que les pulsars ne sont pas répartis au hasard dans l'espace mais forment des alignements géométriques précis, assurant un balisage électromagnétique complexe (à des fréquences centimétriques souvent proches de celle de l'eau et des tissus biologiques) ne pouvant manifestement provenir que d'une intelligence extraterrestre (ETI). Dans ses autres livres, Paul LaViolette démontre que le trou noir central de notre galaxie émet périodiquement (tous les 26 ou 26/2 milliers d'années, d'après la page 50 du livre "The Talk of the Galaxy") des rafales de rayonnement cosmique en ondes concentriques ("Superonde") formant des bandes photoniques ou nuages cosmiques affectant toute la galaxie. Le dernier passage d'une telle superonde a eu lieu il y a 12 760 ans environ, provoquant des éjections de masse coronale solaire qui ont fait fondre les banquises et provoqué un cataclysme par déluge et extinction massive de la faune. Le numéro d'octobre 2000 de la revue américaine Nexus a publié un article de Paul LaViolette au sujet du phénomène de superonde galactique, sous le titre "A Galactic Superwave Hazard Alert" (Une Alerte au risque de Superonde galactique).

 

A la page 104 de la revue française Nexus 62 (mai-juin 2009), l'auteur américain Cedric Leonard a repris l'absurde hypothèse du géologue Colin Reader selon laquelle la tête du Sphinx de Gizeh aurait été resculptée à partir d'une tête de lion originale! Quelques connaissances élémentaires d'astronomie permettent cependant de constater que le Sphinx est un monument qui indique symboliquement la période de transition entre l'ère de la Vierge (étoile Omega Virginis) et l'ère suivante du Lion (étoile Beta Leonis). Comme l'explique l'astrophysicien Paul LaViolette à la page 92 de son livre "The Talk of the Galaxy" (ainsi que dans son ouvrage "Earth under Fire"), le passage du point vernal entre ces constellations a eu lieu vers 10 750 ± 100 avant notre ère (soit -12 759 ans). Cette période est justement celle pendant laquelle s'est produit le cataclysme du déluge, à la fin du Pléistocène. La Grande Année égyptienne partait de ce point précis, que l’on retrouve gravé dans le coin supérieur gauche du zodiaque en mosaïque de la synagogue Beth-Alpha, construite au VIe siècle de notre ère en Palestine :

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Une telle superonde se rapproche inéluctablement de notre système, comme le décrit le politologue américain Michael Salla dans les termes suivants: "Le cycle courant de 5 125 ans du calendrier maya se termine en 2012 et cela a suscité énormément de spéculations à propos de la signification réelle de cette date. Les Mayas disposaient d'une société très sophistiquée qui a probablement bénéficié d'informations d'outre-espace. Donc, nous pouvons conclure que le calendrier maya coïncide avec des événements célestes importants qui vont se dérouler en 2012. Pour trouver une réponse possible sur le genre d'événement céleste auquel nous pourrions être confrontés, nous pouvons nous tourner vers le travail important du Dr Paul LaViolette concernant les superondes galactiques. (Galactic Superwaves). Celles-ci englobent des radiations cosmiques émanant du cœur de la galaxie, qui jaillissent sur une base périodique tous les 13 000 ans et se prolongent sur près d'un millier d'années pour chaque cycle. Nous pouvons comprendre les effets de ces ondes galactiques en examinant les traces laissées par le passage des supernovas comme l'indiquent de nombreux pulsars. LaViolette affirme que nous sommes maintenant aux limites des effets d'une superonde galactique et que des pulsars sont ainsi artificiellement créés comme des balises pour nous prévenir des conséquences. Une telle superonde aura comme effet principal d'exciter l'activité du Soleil. Le prochain pic d'activité solaire est prévu aux environs de 2012 et si le Soleil est bel et bien activé par une superonde galactique, alors les effets seront énormes. Je crois que c'est la raison majeure pour laquelle différents extraterrestres se réfèrent à 2012 et à son importance. C'est quelque chose que le gouvernement secret craint de révéler au grand public car cela pourrait engendrer une panique de masse et un effondrement des structures sociales. Je crois que les extraterrestres peuvent considérablement nous aider face à la situation à laquelle nous pourrions être confrontés en 2012 ; une situation qui forcera à une authentique révélation de la question extraterrestre. De cette manière, on peut espérer travailler ouvertement avec des races extraterrestres éthiquement avancées pour nous préparer à la situation à venir et ce, quelle qu'elle soit. Le gouvernement secret a actuellement pris des mesures préventives de sauvegarde d'une petite élite et même si je comprends cette politique, je suis en profond désaccord avec ces mesures qui laissent l'humanité largement démunie et absolument incapable de faire face."

 

NOTE - Il convient en revanche de ne pas accorder de crédit à l'hypothèse absurde (car physiquement impossible) d'une révolution du Soleil autour d'Alcyone (Eta Tauri), étoile de la constellation des Pléiades. Le physicien Paul LaViolette a montré que cette confusion -encore répandue dans le milieu du Nouvel Age- venait du fait que la bande photonique ou "Nuage cosmique" qui s'approche de nous en provenance du Sagittaire (c’est-à-dire du centre de la Galaxie) nous paraît venir de la zone du Taureau, qui est à 7 000 années-lumière de nous. Les Pléiades sont également dans la direction du Taureau, mais à seulement 500 années-lumière. Notre prochaine traversée du bras de Persée peut également expliquer cette erreur d'appréciation, due aux hypothèses erronées d'un astronome catalan du XIXe siècle !

 

3)                   Déplacements des pôles de la magnétosphère terrestre

 

Les pôles magnétiques de la Terre se rapprochent des pôles géographiques à la vitesse de 40 km par an. Leur inversion se produit à intervalles moyens de 250 000 ans. « Sur les deux derniers millions d’années, la Terre a enregistré 5 inversions des pôles » (réf. Science et Vie, 11/09, p. 83). Des inversions provisoires (d'une durée de 2 000 ans environ, appelées excursions géomagnétiques) peuvent également se produire de temps en temps.

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Une prochaine inversion des pôles du champ magnétique terrestre (lequel est dû en grande partie à la rotation du noyau de fer solide de 1 200 km de diamètre, entouré de fer liquide) n’est pas à exclure car, dans la revue Science et Vie de juillet 2008, p. 124, il est précisé ceci : « Depuis 2 000 ans, l’intensité du champ magnétique terrestre diminue, signe précurseur d’une inversion des pôles magnétiques. » … « Un tel phénomène s’est d’ailleurs déjà produit il y a 780 000 ans. » … « Le champ magnétique terrestre subit des chutes d’intensité tous les 30 000 ans en moyenne. » Cet affaiblissement s'accélère car s'il n'a été que de 50 % depuis 2000 ans, il a été de 14 % entre janvier 1848 et janvier 2008 seulement (passant de 64 pT à 55 pT):

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Il faut toutefois noter que, même si le champ de surface diminue dans sa composante dipolaire principale, son énergie totale reste constante car ce qui est perdu dans le dipôle principal se répartit en sous-champs internes plus complexes, non mesurables en surface et générateurs du retournement final. Celui-ci a une durée d'environ 7 000 ans avant de se stabiliser, l'inversion étant d'autant plus visible et mesurable que l'on se rapproche de l'équateur.  Cet affaiblissement du champ terrestre nous expose de plus en plus intensément aux rayonnements cosmiques indiqués ci-dessus (comme les sursauts gamma) et aux vents de particules solaires, qui peuvent donc provoquer, en autres effets concrets, de plus en plus de mutations génétiques (jamais favorables), ainsi que des pannes d’appareils électroniques et des perturbations des ondes électromagnétiques de télécommunication. « Un violent orage magnétique pourrait endommager la plupart des transformateurs des réseaux électriques mondiaux et priver pendant quelques semaines d’électricité une partie de l’humanité. Sur les 330 derniers millions d’années, le champ magnétique de notre planète s’est inversé plus de 400 fois.» (Fabrice Mottez, Laboratoire Univers et Théories (Luth), (réf. Science et Vie, 11/09, p. 83).

 

Il faut cependant noter que nous disposons d'un deuxième bouclier contre les rayonnements cosmiques : l'atmosphère, qui équivaut quand même à un mur de 3 m de béton et tenir compte du fait que, dans un laps de temps d'une journée, le rayonnement ne peut frapper qu'un seul hémisphère de la Terre à la fois.

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La polarité magnétique du Soleil s'inverse tous les 22 ans. Concernant notre petite planète, la périodicité normale des inversions magnétiques est théoriquement de 250 000 ans. La dernière inversion complète des pôles de notre magnétosphère remontant à 780 000 ans, 2 inversions totales auraient déjà dû se produire au cours de ce sursis de 530 000 ans ! L’explication vient du fait qu’il peut se produire des inversions temporaires.

 

Des inversions passées, on ne trouve que des traces géologiques (comme l'orientation des moments magnétiques dans les roches). Dans le livre "Awakening to Zero Point" (L'Eveil au Point Zéro) du physicien Gregg Braden, il est précisé que des inversions à 180° de l'axe magnétique se sont déjà produites 171 fois sur une période de 76 millions d'années, dont 14 fois dans les 4,5 derniers millions d'années (p. 18 de la version française). Le fameux point zéro correspond à l'arrêt momentané (3 jours environ) de la rotation du noyau métallique générateur, représenté en rouge dans ce schéma:

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L'inversion des pôles de la magnétosphère terrestre semble avoir une certaine élasticité, comme le basculement d'un culbuto qui revient sur son axe de repos après un certain vacillement. De tels ébranlements faisant osciller temporairement l'axe de la magnétosphère –sans basculement des pôles- peuvent être provoqués par des interactions gravitationnelles lors du passage de comètes ou simplement par de violentes tempêtes d'électrons tueurs issus du Soleil ou d'une autre source de rayonnements gamma. La Tribune de Genève du 26 avril 2008 a par exemple publié un entrefilet intitulé: "Il y a 70 000 ans, l'humanité aurait frôlé l'extinction à cause du climat". Il n'y avait plus que 2 000 individus!

 

D'après les travaux de Nils-Axel Mörner cités par Stig Flodmark, (référence I-13 à la page 207 du livre de Braden), la toute dernière inversion magnétique temporaire a eu lieu vers -11 192 avant J.-C. soit  vers 13 200 BP (before present). Cette période correspond au Déluge ou à la fin de la dernière glaciation (Würm) marquant la fin du Pléistocène et le début de notre période actuelle, l'Holocène ou mésolithique.[1] La fameuse Porte du Soleil de Tihuanaco en Bolivie décrit la Terre avant ce Déluge. L'ingénieur polonais Arthur Posnansky (1873-1946) a analysé les alignements géodésiques du temple de Tiahuanaco et a relevé un écliptique à 16°5’, correspondant à l'inclinaison de la Terre 15 000 ans avant notre ère. Les professeurs Allen et Schindler-Bellamy ont publié à Londres en 1956, aux éditions Faber & Faber, un livre de 400 pages intitulé: The calendar of Tiahuanaco - a disquisition on the time measuring system of the oldest civilization in the world montrant que la sculpture de la Porte du Soleil décrit une époque dans laquelle la Terre tournait plus rapidement qu'aujourd'hui, bouclant sa période en 290 jours au lieu de 365,25 actuellement. La Lune n'était pas à sa position actuelle (60 rayons terrestres) mais était remplacée par un satellite situé à seulement 5,9 rayons, se levant à l'ouest et provoquant évidemment de nombreuses éclipses. L'inclinaison axiale de la Terre était alors inférieure de 7° (16°5’) à sa valeur actuelle (23°26’). Le plus étonnant dans le Calendrier de la Porte du Soleil est qu'il représente des éclipses non visibles depuis ce lieu, impliquant donc des déplacements lointains et rapides ou des calculs complexes. Ces auteurs pensent donc que cette Porte décrit une situation antérieure au Déluge intervenu 12 000 ans avant notre ère, cataclysme pendant lequel le satellite de la Terre, déplacé par le rapprochement de la Lune actuelle, aurait explosé dans l'atmosphère, provoquant ainsi la fin du Pléistocène et le Déluge.

 

4)      Résonances géophysiques de Schumann et résonances cérébrales humaines

 

D'après Wikipédia, les résonances de Schumann sont un ensemble de pics spectraux dans le domaine des extrêmement basses fréquences (3 à 30 Hz) du champ électromagnétique terrestre. Ces pulsations lentes de la magnétosphère terrestre sont excitées par les éclairs (formés par l'ionisation atmosphérique qui est due aux rayons cosmiques). Elles ont été découvertes dans les années 1950 par le physicien allemand Winfried Otto Schumann (1888-1974). On observe actuellement les cinq fréquences suivantes: 7,8 Hz (fondamentale) - 14,3 Hz (1re harmonique) - 20,8 Hz (2e harmonique) - 27,3 Hz (3e harmonique) - 33,8 Hz (4e harmonique). Ces fréquences ne sont pas fixes mais excursionnent autour de ces 5 valeurs. Le mode principal des pulsations de Schumann (composante horizontale du champ) a une longueur d'onde égale à la circonférence de la planète et une fréquence de 8 Hz, tandis que la composante verticale (première harmonique) est à 14 Hz, avec une amplitude plus grande que celle de la composante horizontale. J'ai constaté avec surprise que la comparaison de cette suite d'harmoniques pouvait se rapprocher de la suite mathématique de Fibonacci ainsi que de celle des fréquences du cerveau humain, comme le montre très clairement le tableau suivant.

Résonances de Schumann

7,83 Hz

14,3 Hz

20,8 Hz

27,3 Hz

33,8 Hz

Rythme cérébral

8,0 Hz (ondesθ/α)

13,0 Hz (ondes α /β1)

β1/β2

β2/β3

β3/γ

Suite de Fibonacci

8

13

21

-

34

 

Comme on peut le voir dans le premier graphique ci-dessous, l'unique lobe (en marron) de la fondamentale horizontale de 8 Hz correspond à la transition des ondes thêta (θ) de somnolence aux ondes alpha d'éveil de conscience. C'est l'état "horizontal" de l'être humain couché et passif qui se réveille d'un long sommeil. A mon avis, c’est ce phénomène qui se manifeste actuellement (en 2011)  sous la forme des « révolutions » et du rejet viscéral des anciennes structures dictatoriales et dogmatiques. Le rayonnement solaire accélère-t-il ce processus ? La fréquence de ces résonances et celle du rythme cérébral, très proches les unes des autres, se répercutent sans doute sur celle du champ biomagnétique des êtres vivants. Chaque être humain possède en effet, d’après la thèse du Dr Bruno Méric, un champ magnétique (céphalosphère) qui pourrait contenir sa mémoire personnelle.

Le Principe anthropique du Dr Jean-Bruno Méric : « Une théorie électromagnétique de la Conscience »

La théorie électromagnétique de la conscience, développée par le Dr Jean-Bruno Méric, est décrite aux pages 22-30 de la revue efferveSciences (numéro 73, décembre 2010), sous le titre « La Magnétosphère terrestre, support magnétique de toute la Mémoire du vivant ? ». Dans cet article, l’auteur cite Régis Dutheil et le Dr Paul Chauchard (1912-2003) (efferveSciences 44 et 48). De même que Teilhard de Chardin avait décrit une Noosphère, le Dr Méric décrit une sorte de « magné-noosphère » composée de la magnétosphère terrestre et de sa modulation par la mémoire collective de toutes les anciennes mémoires cérébrales (également électromagnétiques) de l’espèce humaine. Chaque « céphalosphère » individuelle est physiologiquement activée par les circuits de Papez intégrés dans les deux hippocampes. James Papez (1883-1958) a en effet décrit dès 1937 la possibilité d’un cerveau viscéral, limbique ou émotionnel faisant appel à ces trajets nerveux, émetteurs d’un champ électromagnétique détectable et enregistrable.

http://dbloud.free.fr/takyonik_fichiers/image001.png Hippocampes du cerveau humain, contenant les circuits de Papez

Cette céphalosphère individuelle rejoint, au décès, la noosphère terrestre. Comme l’écrit le Dr J.-B. Méric, « nous sommes là, chacun pour sa part et à son niveau, pour donner une mémoire et une conscience à la Terre qui nous a produits et nous fera mourir. Grâce à nous, elle (Gaïa) est désormais éveillée et consciente d’elle-même », ce qui rejoint la définition donnée par Teilhard de Chardin : « L’humanité est l’évolution devenue consciente d’elle-même » (diaporama explicatif).

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Une fois debout et réveillé, l'être humain reçoit par en haut et par en bas l'énergie des deux lobes (en rouge) de la composante verticale de 14 Hz, laquelle correspond à la transition entre les ondes alpha (relaxation) et bêta-1 (activité cérébrale vraie) du cerveau. Comme le montre le deuxième graphique ci-dessus, ces deux lobes sont ceux qui, parmi toutes les résonances de Schumann mesurées à ce jour, ont la plus grande amplitude et donc la plus grande puissance d'appel à l'éveil de conscience active. La composante de troisième harmonique de 21 Hz (en vert) correspond à l'éveil de la conscience supérieure (bêta-2 ci-dessus): ses trois lobes entourent la Terre à la fois horizontalement et verticalement, son lobe horizontal se superposant à celui de la fondamentale d'émergence de l'état de somnolence et d'inconscience (8 Hz).

 

Curieusement, l'induction magnétique propre des pulsations électromagnétiques de Schumann est exactement égale à celle de la cellule humaine: 1 pT (10.-12 T) (picotesla). L'induction du champ magnétique terrestre est actuellement de 47 µT (10.-6 T) (microteslas), soit 50 millions de fois plus. Le champ électrique des pulsations de Schumann est de 300 mV/mm tandis que la cellule humaine présente une différence de potentiel du même ordre de grandeur (100 mV environ). Le terme de "résonance" est donc particulièrement bien choisi puisqu'on peut le comprendre dans son sens géophysique et dans son sens biophysique.

 

Par ailleurs, il est démontré que chacune de nos cent mille milliards de cellules est une petite batterie polarisée, offrant une tension électrique de 0,1 V environ entre sa membrane positive et son cytoplasme négatif, avec un mini-champ magnétique de 1 pT (picotesla). Une cellule vivante est donc un petit élément électromagnétique, comme l'a modélisé le biophysicien H.P. Schwan à l'université de Pennsylvanie. Le bioélectromagnétisme fait actuellement l'objet de recherches intensives car nos circuits cellulaires sont ajustables et syntonisables, l'ensemble produisant une signature fréquentielle propre à chaque individu. Dans ce processus d'éveil et d'ascension du niveau de conscience par résonance des circuits cellulaires avec les fréquences naturelles de Schumann, le danger existe que des signaux perturbateurs, de mêmes fréquences, viennent brouiller le signal de résonance biologique: les infrasons.

 

Dans la gamme des infrasons proches des résonances de Schumann, les travaux du professeur Vladimir Gavreau au C.N.R.S. de Marseille ont montré qu'un infrason parasite (dû par exemple à une machine industrielle) entraînait des nausées, de l'anxiété, de la tristesse, de la peur, des frissons, et des troubles pouvant aller jusqu'à la mort si la fréquence de l'infrason était proche de 7-8 Hz. Le professeur Gavreau est décédé en 1967 et la revue Science et Vie a publié un dossier complet sur ses recherches en 1968. Quarante ans après, je me souviens encore de cet article, où l'on disait que l'on pourrait démolir sans bruit un immeuble avec "un moteur de 4 CV" entraînant une soufflerie et un sifflet à infrasons placé à une centaine de mètres de l'immeuble. Nikola Tesla, de son côté, avait aussi travaillé sur les effets favorables des infrasons au moyen de plateaux vibrants destinés à vitaliser et tonifier le corps dans des séances courtes et bien programmées.

 

Dans la gamme des très hautes fréquences, d'autres perturbations de l'évolution cellulaire sont également possibles. Nos cellules sont en effet composées de molécules (d'eau principalement) dont les raies spectrales de résonance ont une longueur d'onde proche de celle de l'hydrogène (21-22 cm environ, soit aux environs de 1,4 GHz). Or ces longueurs d'ondes centimétriques sont justement celles des fours à micro-ondes et des rayonnements de téléphonie mobile (GSM, 3G, wifi, radars…), comme cela est exposé en détail sur la page intitulée "Pourquoi et comment arrêter les rayonnements électromagnétiques".

 

Une inversion –même temporaire sous la forme d’une brutale excursion- des pôles magnétiques de la Terre pourrait logiquement provoquer un « black-out » planétaire, c'est-à-dire une extinction momentanée de la magnétosphère –et donc de notre céphalosphère- comme si l’on « tournait le bouton » ou l’interrupteur ! Un tel décrochement serait catastrophique pour l’ensemble de la technosphère humaine, sans pour autant détruire l’infrastructure naturelle. Tous ceux qui ne supporteront pas le choc électromagnétique pourraient donc être automatiquement éliminés et d’intenses bouleversements climatiques seraient à prévoir pendant la période de transition, comme cela est exposé plus en détail à la fin du « Livre de Vie » conformément aux diverses prophéties.

 

5)    Comparaison géocentrique des alignements dans le système solaire à fin 2007 et à fin 2012

 

A minuit de Noël 2007, on a constaté au Fond-du-Ciel (inverse du zénith) de la Terre une conjonction de Soleil-Mercure-Jupiter-Pluton en opposition à Mars (soit 5 planètes en alignement avec la Terre et le Soleil), cette conjonction étant en trigone avec Saturne et en sextile avec Uranus, comme indiqué sur la carte du ciel ci-dessous :

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Dans le thème géocentrique du système solaire à fin 2007 ci-dessus, calculé pour minuit (Soleil ayant dépassé le fond du ciel à l’heure légale), par exemple à Genève le 26 décembre, l’opposition de Mars au groupe Soleil-Mercure-Jupiter-Pluton –valable dans le monde entier- manifestait une configuration de tension entre les forces inconscientes et obscures (venant du fond du ciel au milieu de la nuit dans le monde entier) et l’action consciente (Mars). La longitude céleste de cet alignement se trouvait à la limite entre Sagittaire (l’Archer) et Capricorne (Arc et Lance dans le zodiaque arabe). La constellation du Capricorne abrite l’amas stellaire M30 (à 26 000 années-lumières). La conjonction Soleil-Jupiter se produit tous les 12 ans mais avec Pluton tous les 250 ans et les 3 tous les 12x250= 3 000 ans, de sorte que c’était une situation vraiment spéciale, qui avait autrefois été remarquée par les Mayas, lesquels l’avaient inscrite dans leur calendrier cosmique. Comme cette tension avec Mars était soutenue favorablement par Saturne (en trigone) et par Uranus (en sextile), il en a résulté une modification en profondeur des esprits et de la planète dans son ensemble. La « Part de Chance », qui résume le thème, se trouve ici dans la maison 8, celle de l’abandon, du vidage. La Lune en trigone avec Vénus, par exemple, est une puissante configuration de paix et d’amour.

NOTE – Il y a une différence entre « conjonction » et « alignement » de planètes : l’opposition de Mars à la conjonction de Soleil-Jupiter-Pluton-Mercure sur une même longitude terrestre constitue l’alignement Soleil-Pluton-Jupiter-Mars-Mercure-Terre, même si Mars est de l’autre côté par rapport à la Terre.

Saturne, à un angle de 120° (trigone) par rapport à cet alignement, devient un relais favorable, de même que le trigone Lune-Vénus-Uranus (amour sous toutes ses formes). La période synodique de Mars étant de 780 jours (2,14 années environ), la périodicité de cet alignement est donc de 12 (période synodique de Jupiter) x250 (Pluton) x2,14(Mars) = 6 420 ans environ. Mais si l’on tient compte de la position zodiacale (longitude céleste), il faut encore multiplier ce nombre par 12, soit 6 420 x 12 = 77 040 ans pour retrouver cet alignement de notre système solaire dans ces signes. Et justement, d'après l'astrophysicien J.P. Garnier-Malet: un cycle de 25 000 ans = 100 périodes synodiques de Pluton et, tous les 3 x 25 920 ans = 77 760 ans environ, 99 % des espèces vivantes disparaissent. "La fin d’un cycle solaire de 25 920 ans entraîne l’arrivée des planétoïdes près de Pluton. Il coïncide avec un cycle galactique de 324 000 ans."

 

Si l’on se limite à notre système solaire, le thème géocentrique à fin 2012 ci-dessous ne présente aucune configuration notable, sauf un bon trigone AS-Lune-Mars et une quasi-opposition Jupiter-Saturne.

 

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La revue Nexus 60 (janvier 2009) présente (p. 76), la même carte du 21 décembre 2012, mais en représentation héliocentrique faisant apparaître une "parfaite conjonction Mercure, Vénus, Saturne" (non visible dans la représentation géocentrique ci-dessus, qui fait apparaître en revanche une importante opposition Jupiter-Saturne). Comme expliqué dans la revue Nexus de novembre 2008, p. 56-63, à propos de la Croix de Résonance Electromagnétique Solaire (SER-X) de Kenneth W. Dickman) une telle opposition Jupiter-Saturne correspond toujours à une activité solaire (éruptions) très importante, entraînant un réchauffement climatique temporaire. Il ne faut pas oublier qu'une variation de 0,5 % de l’activité solaire se traduit sur Terre par une variation de 2 °C, de sorte qu’il suffit d’un fléchissement de 1,25 % du rayonnement solaire pour provoquer une glaciation (abaissement de 5 °C de la température moyenne)! L’alignement qui aura lieu à cette période sera en fait extrasolaire (traversée de l’équateur galactique).

NOTE - L'acteur (et médium) Pascal Légitimus déclare à ce propos: "Je crois aussi aux prophéties de Fatima, comme celle qui annonce pour 2012 une éruption solaire qui provoquera sécheresse et tsunamis." (réf.: Femme Actuelle 1259, 16/11/08, p. 12). Une synthèse des prophéties apocalyptiques pour 2012 est présentée sous forme de deuxième partie du présent document.

 

6)      « Attention, décollage ! »

(article de Marie-Noëlle Anderson paru dans l’hebdomadaire Genève-Home-Informations du 10 octobre 2007, p. 31)

 

« Ces énergies sont en parfaite harmonie avec le 3e passage de Pluton sur le Centre Galactique à la fin du mois d’octobre 2007. Qui dit Pluton pense à Plutonium et bombe atomique. Si le mois des dernières récoltes n’est pas que moisson et douceur automnale, il ne faudra donc pas s’étonner ! Car au fur et à mesure que nous percevons davantage les énergies provenant du Centre Galactique, alors que notre système solaire séjournera bientôt (dans 4 ans) entièrement dans cet espace cosmique que l’on nomme la Bande Photonique, nous sommes appelés à franchir un grand pas, à faire un saut quantique qui va nous conduire à une transformation personnelle et collective. Pluton joue le rôle de « gardien du seuil », dont la fonction est de faire sauter nos dernières résistances. Après deux premiers passages en décembre 2006 et en juillet 2007, voici en quelque sorte le dernier appel avant le décollage. Acceptation et détachement n’excluent pas ouverture de conscience et engagement. Que la curiosité et le désir de vivre de nouvelles aventures soient assez forts pour nous accompagner pendant les périodes mouvementées et pour balayer nos résistances et nos peurs –voilà le message de Pluton en ce mois d’octobre. »

D’après cet avertissement, les mots « dans 4 ans » ci-dessus indiquent la fin de l’an 2012. Cette date est conforme à la fin du calendrier maya, qui se termine au 21-12-2012 (dernier solstice d’hiver) ainsi qu’à la fin de « l’onde temporelle » de Terence McKenna, fondée sur les 64 périodes du Yi-King et formant la base de la « théorie de la nouveauté ».  L’on retrouve cette échéance dans de nombreuses autres traditions (celtes, hopis, etc.). Elle correspond pratiquement à l’entrée de l’étoile Régulus (Alpha Leonis) dans la fenêtre astrologique de la Vierge (arc de 30° découpé arbitrairement dans le plan de l’écliptique) et au passage du point vernal du secteur des Poissons à celui du Verseau (ouvrant ce qu’il est convenu d’appeler « l’ère du Verseau »). L’on a justement découvert en 2003 une nouvelle planète dans le système solaire, dont la longitude pointe vers la constellation de la Baleine, située entre les constellations des Poissons et du Verseau. Cette 10e planète officielle (sans Pluton) et très lointaine a été nommée « Sedna », du nom d’une déesse océanique. Sedna, 3 fois plus éloignée du Soleil que Pluton, a une période orbitale de 11 480 ans : elle ne peut donc pas être confondue avec l'hypothétique planète Nibiru dont la période orbitale serait de 3 600 ans mais dont la détection n'a pas été validée à ce jour par la communauté scientifique. A mon avis personnel, il pourrait s'agir de la "Boule de Rédemption" dont parlent les prophéties de Bayside (quartier du Queens à New York), c'est-à-dire d'un artefact piloté et non visible dans notre dimension actuelle: "la Boule de Rédemption rôde actuellement dans votre atmosphère. Bien que vous ne puissiez la voir, elle continue de rôder au-dessus du monde." (message du 18 juin 1994 à Veronica Lueken). Bayside reprend et met à jour les messages déjà formulés aux lieux d'apparitions du passé, tel que La Salette, Paris (Catherine Labouré), Lourdes, Garabandal, etc. Ces messages et prophéties traitent des révélations de l'Apocalypse, de la grande tribulation, du deuxième avènement du Christ et de la grande ère de paix à venir. Il pourrait aussi s'agir de la Jérusalem céleste que Jean vit descendre du ciel d'auprès de Dieu comme une fiancée parée pour son époux. Et c'est alors qu'on lui montra la ville fabuleuse et immense (Apoc. 21). Chaque côté de cette ville futuriste et éblouissante mesure 12 000 stades de 185 m chacun, soit 2 220 km. Cela représente une surface de près de 5 millions de kilomètres carrés, c'est-à-dire 7,3 fois la France ou 47 % de l'Europe. Ces dimensions correspondent à un planétoïde de diamètre équatorial égal à 85 % de celui d'Eris (2 600 km) et à 64 % de celui de la Lune (3 474 km).

 

7)    La théorie du dédoublement quantique de Jean-Pierre Garnier-Malet

 

Comme l'explique l'astrophysicien J.P. Garnier-Malet dans sa page théorique, "le mouvement fondamental permet à chaque particule de disposer d’un référentiel dynamique. Avec lui, une particule externe peut anticiper un événement futur dans l’horizon d’une particule interne et introduire ce futur dans l’horizon d’une particule intermédiaire. Grâce à cette hyperincursion de son futur dans son passé, cette particule intermédiaire obtient un passé instantané correspondant à son futur. Son événement présent est donc toujours l’actualisation d’un potentiel résultant  de cette hyperincursion. L’horizon d’un observateur physique pourrait être juxtaposé avec des horizons de particules virtuelles pendant une ouverture temporelle. Un observateur physique pourrait donc anticiper son futur. Dans les prochaines années (entre 2002 et 2012), ce sera la fin du cycle solaire. L’explosion solaire du 13 mars 1989 est la 4e des sept explosions nécessaires pour équilibrer les six temps stroboscopiques de nos six horizons solaires. L’accélération de l’expansion de l’univers, déduite de l’observation par Brian Schmidt and Saul Perlmutter (janvier 1998) confirme cela. À la fin du cycle solaire, nous observerons la juxtaposition finale des six particules ou horizons emboîtés (solaires, galactiques et universels) qui correspondront à la juxtaposition des six horizons solaires emboîtés. Pendant le cycle de dédoublement solaire de 24 835 ans, la distance de 13,583.109 années lumière est la distance parcourue par notre lumière (avec la vitesse : C2 = 299 792 km/s). À la fin de la transformation de dédoublement de notre système solaire, la juxtaposition des sept horizons nous fournira l’occasion d’une observation de l’univers. Cette observation s’effectuera à l’extérieur de l’ouverture temporelle universelle et à l’intérieur des ouvertures temporelles des deux observateurs virtuels. Les sept temps stroboscopiques qui sont nécessaires pour la transformation de dédoublement du système solaire en 24 835 ans s’équilibreront dans le même temps et le même espace...Puis une nouvelle transformation recommencera et les sept stroboscopes du temps redémarreront pour un nouveau cycle de 24 835 ans, divisé en 12 périodes de 2 070 ans. Entre ces deux cycles, il sera difficile de prédire le futur de notre planète si nous ne faisons pas attention à la fin de ces six temps solaires. La fin imminente du cycle de dédoublement de notre système solaire, et donc de nous-mêmes, ouvre les horizons les uns sur les autres et nos différentes perceptions peuvent se développer très vite. En utilisant les échanges d’observateurs et avec la connaissance des mouvements planétaires, il sera possible d’expérimenter différentes solutions futures. Cela devrait nous permettre de résoudre bon nombre de problèmes corporels et planétaires puisqu’il est possible de rendre réel un futur virtuel. Ainsi : Wra=arW. Curieusement, Wra signifie la division du temps et arW, grandir dans le futur. Le r pourrait être le lien entre l’a et l’W pendant le dédoublement qui dilate a en W. L’observateur qui supprimerait le lien r entre l’a et l’W (par échange des perceptions) deviendrait : l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le principe et la fin. Il est donc bien évident que les anciens connaissaient le principe du dédoublement par dilatation de la particule a=W ainsi que l’hyperincursion du futur dans le passé.»

 

NOTES –  1           Une démonstration mathématique plus détaillée de la théorie du temps stroboscopique est exposée sur la page http://www.garnier-malet.com/resume_theorie.htm.

   2          A mon sens, la théorie de Jean-Pierre Garnier-Malet rejoint celle de la physique tachyonique développée par les physiciens René-Louis Vallée et Régis Dutheil.

 

Publications et références scientifiques concernant la théorie du dédoublement

La théorie du dédoublement (The Doubling Theory) de Jean-Pierre Garnier-Malet a fait l'objet de quatre publications scientifiques successives dans une revue internationale à « referees » (arbitres scientifiques) :

1.       J.P. Garnier-Malet, 1998, Modelling and Computing of Anticipatory System: Application to the Solar System, International Journal of Computing Anticipatory Systems. Vol 2. 132-156, Ed. by D.M. Dubois, Publ. By CHAOS, Liège, Belgique. 

2.       J.P. Garnier-Malet, 1999, Geometrical Model of Anticipatory Embedded Systems, International Journal of Computing Anticipatory Systems. Vol 3. 143-159, Ed. by D.M. Dubois, Publ. By CHAOS, Liège, Belgique. 

3.       J.P. Garnier-Malet, 2000, The Doubling Theory, International Journal of Computing Anticipatory Systems Vol 5. 39-62, Ed. by D.M. Dubois, Publ. By CHAOS, Liège, Belgique.

4.       J.P. Garnier-Malet, 2001, The Three Time Flows of Any Quantum or Cosmic Particle, International Journal of Computing Anticipatory Systems Vol 10. 311-321, Ed. by D.M. Dubois, Publ. By CHAOS, Liège, Belgique.

En 2006, Jean-Pierre Garnier-Malet a reçu une récompense pour la publication ci-dessous qui conduit à l’explication par sa théorie du dédoublement (the Doubling Theory) des nouvelles planètes (ou planétoïdes), découvertes récemment (2000-2007) dans le système solaire au-delà de Pluton : J.P. Garnier-Malet, 2006, The Doubling Theory Corrects the Titius-Bode Law and Defines the Fine Structure Constant in the Solar SystemComputing Anticipatory Systems, AIP (American Institute of Physics) Melville, New-York, Vol 839, pp. 236-249.”

 

8)      Trous Noirs et Antimatière

(texte rédigé par Denis Bloud à partir de Science et Vie et d’autres sources citées)

 

Toutes les galaxies contiennent en leur centre un trou noir « supermassif » - créateur d'un quasar- par opposition aux petits trous noirs « stellaires », nés de l’effondrement d’une étoile à l’intérieur d’une galaxie. Celui du centre de notre galaxie est à 25 000 années-lumière de la Terre. Sa densité est telle que s’il avait la masse du Soleil, son diamètre ne serait que de 2 km. Mais sa masse réelle est 4 millions de fois supérieure à celle du Soleil et son diamètre correspond à peu près à l’orbite de Vénus (180 millions de kilomètres). L'environnement des trous noirs rejette d’immenses jets de matière et d’énormes rayonnements cosmiques. Le jet du trou noir de la galaxie 3C321 est tellement long qu’il ricoche sur une galaxie voisine. Le rayonnement du quasar (trou noir géant) 3C273 chauffe le gaz intergalactique sur une longueur de 100 000 années-lumière. Lorsque 1 kg d’hydrogène tombe dans un trou noir, 100 g sont transformés en énergie rayonnée, soit 10 %, alors que le rendement de la fusion thermonucléaire n’est que de 0,7 % ! On a détecté un jet long de près de 1,5 million d’années-lumière sortant d’une galaxie située à 600 millions d’années-lumière de nous. Ce jet, dont la longueur est de l’ordre de la distance entre la galaxie Andromède et notre Voie lactée (2 millions d’années-lumière), émane d’un trou noir pesant 1 milliard de masses solaires. La plupart des galaxies ont été des quasars au début de leur vie. Celles dont le quasar est encore allumé et dont le trou noir continue d’avaler de la matière représentent environ 5 % des galaxies.

 

NOTE –  Les rayons cosmiques ainsi que les expériences nucléaires (comme celles du CERN dans le LHC à Genève) peuvent engendrer de microtrous noirs. Plusieurs chercheurs scientifiques, dont le théoricien du chaos Otto Rössler ont déposé une plainte collective contre le CERN auprès de la Cour européenne des Droits de l’Homme à Strasbourg en faisant valoir que « les collisions de particules pourraient favoriser l’apparition de microtrous noirs. Ces derniers pourraient aspirer le monde et le faire disparaître. » (Tribune de Genève du vendredi 29 août 2008).

 

Notre galaxie se rapproche de la galaxie Andromède à la vitesse de 430 000 km/h : elle entrera en collision puis fusionnera avec elle dans 2 milliards d’années (voir S&V 1081, p. 74). Le trou noir de notre galaxie, peu actif aujourd’hui, devrait alors se rallumer. Ancien quasar, la Voie lactée redeviendra alors un quasar brillant de mille feux, phare dans l’univers… avant que l’ogre n’épuise de nouveau sa nourriture stellaire. Lorsque deux trous noirs se rencontrent, leur fusion s’effectue par coalescence : ce phénomène est le plus énergétique après le « big bang » car il est capable de faire « vibrer » l’espace-temps en projetant des ondes gravitationnelles : l’espace et le temps sont en effet liés dans une structure élastique comparable à un bloc de gelée. Cette structure découle du système de dix équations aux dérivées partielles d’Einstein qui décrit la relativité générale. L’énorme masse d’un trou noir déforme ainsi la géométrie de l’espace-temps au point que le calcul aboutit à une impasse (dite « singularité ») : la courbure de l’espace-temps et la densité de la matière deviennent infiniment grandes au centre du trou noir. La relativité générale s’arrêtant là, seule la nouvelle théorie de la gravitation quantique à boucles (candidate à l’unification de la relativité générale et de la mécanique quantique) offre une solution. Cette théorie définit en effet un quantum d’espace (fini) qui fait disparaître mathématiquement la contrainte d’infini de la relativité générale et permet donc à une particule de continuer à exister dans un trou noir. Par ailleurs, cette théorie a permis d’éliminer, en 2007, l’autre singularité qui ennuyait les scientifiques : celle du big-bang initial. La solution des « trous de ver », découverts mathématiquement en 1926, permettrait un passage entre notre univers et d’autres univers, contenus dans des trous noirs. Prévus par la relativité générale, ces passages nécessitent toutefois, pour rester ouverts, l’existence d’une force répulsive due à une matière de masse négative difficile à trouver et ne permettant pas d’échanger de l’information. Une autre solution actuellement étudiée consiste à considérer que le trou noir s’ouvre sur un univers en expansion infinie, dit « univers de Nariai », qui remplace le centre du trou noir sans rencontrer de limite. D’après Carlo Rovelli, l’un des inventeurs de la théorie quantique à boucles, « sur le plan théorique, la solution de l’univers de Nariai me paraît la plus intéressante. » Ces univers pourraient être constitués d’antimatière car certains physiciens pensent que l’antimatière est en fait présente dans l’univers, mais regroupée en antimondes. « Aucun rayonnement gamma laissant supposer l’existence d’une frontière entre notre monde et un antimonde n’a pu être observé ». Théoriquement, le big-bang a fabriqué autant d’antimatière que de matière mais leur annihilation réciproque expliquerait le fait que toute la matière observée aujourd’hui dans l’Univers ne représente qu’un milliardième de celle qui a été produite lors du big-bang. Les fausses jumelles se seraient annihilées mutuellement, ne laissant derrière elles qu’une petite quantité de matière, suffisante cependant pour former notre univers. Le reste pourrait être contenu dans les trous noirs. La lumière et l’antilumière sont indiscernables l’une de l’autre : actuellement, on ne peut donc pas savoir si la lumière que l’on reçoit vient de la matière ou de l’antimatière, d’une galaxie ou d’une antigalaxie. Un nouveau spectromètre de matière noire antisymétrique (AMS) sera bientôt envoyé dans l’espace afin d’identifier les antinoyaux en mesurant le signe de la charge et la masse de la particule. Comme cela est indiqué par Science et Vie de juillet 2008, p. 127, tous les physiciens s’accordent maintenant pour reconnaître que « le vide est plein d’énergie », celle-ci ayant une « valeur colossale » non encore intégrable dans les équations actuelles. Tout se passe comme si l’univers était de nature algorithmique et comme si la réalité physique était le produit d’un processus de traitement de l’information dans un immense ordinateur quantique.

 

L’expansion de l’univers paraît s’accélérer (Science et Vie, 11/08, p. 113-115). Cette expansion implique l’existence d’une « énergie du vide » colossale, compensée par l’énergie de Planck, le rapport fondamental de ces deux forces étant égal à 1.10122, valeur que l’on retrouve dans les autres constantes cosmologiques ou physiques, comme le rapport de la masse de l’univers visible à la masse de Wesson (6,2.10121), ou comme le nombre de positions d’une particule dans l’univers (2,2x10.122), ainsi que dans trois autres équations fondamentales. De même, l’on retrouve une constante de 1040 dans 7 autres rapports comme celui du rayon de l’univers à celui de l’électron (4,9.1040), celui de la force de gravité à la force électromagnétique (2,3.1039), ainsi que dans cinq autres équations. L’ensemble de ces 6+7=13 constantes universelles a été réuni dans l’équation unique de Funkhouser, dont le résultat reste dans l’ordre de grandeur de 10122.

 

NOTE - Ces recherches sont toutefois dépassées par la théorie de la cinétique subquantique de Paul LaViolette qui résout toutes les contradictions actuelles de la théorie du « big-bang ».

 

Par ailleurs, à l’Institut Max Planck de Garching, le physicien Vadim Tsytovich (79 ans) vient de découvrir que les quantums de matière (poussières) d’un plasma s’autoconfinaient spontanément en double hélice, de forme analogue à celle de notre ADN (lequel a été délibérément tronqué et bridé par nos « créateurs », comme cela a été dûment constaté par l’équipe du génome humain). « Ce que notre simulation montre, c’est que l’hélice, si importante dans le cas de l’ADN, semble être une structure générique stable qui se forme spontanément dans un système contrôlé par des forces électrostatiques » déclare Gregor Morfill, directeur au Max Planck Institut à Garching. Loin d’être d’informes tas de poussières asservies au chaos, les grains baignant dans les nuages interstellaires pourraient donc être, au contraire, hautement organisés. En mars 2006, des astronomes de l’université de Californie ont détecté, avec le télescope spatial Spitzer, une nébuleuse en forme de double hélice s’étalant sur 80 années-lumière. Dans les plasmas étudiés, les hélices peuvent se dupliquer et coder de l’information, au point que Vadim Tsytovich les a qualifiées de « matière inorganique vivante » ! Cette conclusion rejoint celle de « l’univers vivant » du Livre de Vie (p. 130, § 20 et 21) ainsi que la notion de vide contenant un « éther » démontrée par plusieurs physiciens.

 

Albert Einstein a prédit que l’humanité n’aurait plus que 4 ans à vivre en cas de disparition des abeilles (cliquer sur ce lien afin de visionner un diaporama scientifique confirmant ce délai). Or c’est ce qui est en train de se produire, dans la plus grande discrétion et dans le plus grand silence: disparition constatée formellement en 2008+4 =2012. Voir la deuxième partie de ce dossier au sujet des autres prophéties concernant les échéances à fin 2012.

 


[1] Les 3 liens ci-après confirment la réalité de ce phénomène, au sujet duquel la science est encore dans l'incertitude, faute de données suffisantes:

http://www.science.nasa.gov/headlines/y2003/29dec_magneticfield.htm

 

http://www.physicsworld.com/cws/article/news/3100

 

http://www.newscientist.com/article/mg19826504.800-how-earth-poles-went-walkabout.html

 

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