SORTIR DE L’ENFER DU CANCER

(mise à jour du mardi 29 juillet 2014)

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Etiologie

Concernant l’étiologie exacte de mon adénocarcinome du pancréas métastatique foie-estomac (diagnostiqué à mi-janvier 2014), il s’agit je crois d’une accumulation de stress, déceptions et frustrations diverses (dont les deuils récents de ma mère et d’un de mes frères), blessures que je croyais mineures et que je traitais sur le plan physique, en les recouvrant d’une armure ou carapace que je croyais imperméable, alors qu’une dysplasie progressive de mes cellules (mémoires cellulaires) s’opérait silencieusement, dans mon dos pour ainsi dire et sans signes particuliers apparents car mes bilans biologiques 2013 étaient excellents.

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Il faut de 10 à 15 ans pour qu’un cancer du pancréas puisse se déclarer. Ce qui a mis le feu aux poudres, c’est à mon avis une intoxication alimentaire par aflatoxines dues à des fruits secs avariés que je consommais depuis plusieurs mois dans mon muesli du matin (mais que mon épouse refusait heureusement, ainsi que son petit-fils). Il s’agissait de baies de Goji achetées dans le magasin chinois de 01210 Ferney-Voltaire, alors que mon bilan médical était parfait ! J’ai déposé plainte à ce sujet auprès de la Direction Départementale de la Protection de la Population (DDPP) de l’Ain. L’atteinte pancréas avec métastases foie-estomac est la signature typique des mycotoxines de l’Aspergillus flavus. Ci-dessous, photo de 8 baies de goji sorties d’un paquet neuf de Mékong-Market (et disponibles chez moi) :

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Bilan actuel

29 juillet 2014 - Profitant de mon séjour actuel dans le sud de la France, j’ai pu consulter hier 28 juillet le Dr S., médecin énergéticien favorablement connu dans la région, qui a traité avec succès quelques amis. A l’issue d’un examen énergétique approfondi, le Dr S. a déterminé que la nouvelle chimiothérapie instituée récemment ne convenait pas à mon organisme et qu’il fallait revenir à la formule et aux dosages du protocole appliqué en mai dernier, lequel avait donné de bons résultats. Je vous remercie donc de votre compréhension et de votre modification en conséquence de mes prochaines perfusions, aux horaires déjà prévus.

18 juillet 2014 – J’ai vu le Dr Cacheux aux HUG à 14h15. Mes analyses de sang sont bonnes mais la reprise de ma tumeur après la chimio du 16 juin vient d’après lui d’une résistance tumorale qui s’est constituée. Il accepte que je parte en voiture mercredi 23 afin de rejoindre Paule à Gruissan mais il m’a demandé si je faisais une étape et si Paule conduisait. Je lui ai parlé de La Bastide St-Bach près de Bollène mais je ne sais pas si je m’y arrêterais, n’ayant toujours pas d’appétit. Je mangerai quelque chose au Flunch de Tavel, après l’embranchement d’Orange vers l’Espagne. En revanche, il m’a prescrit un nouveau cocktail chimique, plus lourd, que je commencerai lundi matin. Il paraît que cela va durer plusieurs heures… J’ai trouvé de quoi il s’agit dans mon dossier informatique :

folfirinox.JPG

J’espère que la douleur viscérale va s’atténuer. Par ailleurs, j’ai repris l’amande d’abricot (Laetrile-B17) dont j’ai commandé une nouvelle boîte aux Etats-Unis. Je crois que j’avais été trop timide avec les doses et que je n’aurais pas dû l’arrêter. La dose toxique (DL50) étant de 400 mg/jour/kg, j’ai de la marge. Le Dr Lagarde utilise ce remède, comme bien d’autres médecins. Les témoignages favorables sont nombreux. Je passe à 1 g/jour au lieu de 250 mg en février-mars-avril.

16 juillet 2014 - Malheureusement, je me suis réjoui trop tôt : d’après le scanner thoraco-abdominal (rayons X) effectué hier aux HUG, ma tumeur a repris du volume avec évolution défavorable avec des lésions pulmonaires et hépatiques. Je reprends donc dès aujourd’hui mes traitements naturels, qui avaient donné de bons résultats jusqu’ici. Lors de mon rendez-vous d’après-demain avec le Dr Cacheux, je devrai sans doute accepter de reprendre aussi les chimiothérapies HUG. A suivre.

1er juillet 2014 - Compte tenu de la nette régression de mon état général depuis ma 9e chimiothérapie le 16 juin dernier, j’ai décidé d’arrêter ces soins dans l’attente d’un nouvel examen radiologique que je subirai le mardi 15 juillet prochain : si le résidu de la tumeur initiale n’a pas augmenté, je continuerai à refuser toute chimiothérapie. A cause de celle du 16 juin, je dois reprendre du paracétamol (Dafalgan 500 mg) car la gêne viscérale (que je ressens comme un spasme intestinal) est revenue, surtout la nuit. Je mange à peu près normalement, plus par gourmandise que par appétit réel, mais j’ai arrêté de contrôler mes paramètres (tension, température, poids…). Je pense que le problème actuel vient de mon foie, dont une partie s’est nécrosée et qu’il faudra plusieurs mois pour réparer.

16 mai 2014 - Par rapport au scanner du 20 février 2014, celui du 16 mai dernier (figurant dans mon dossier médical informatisé) montre que ma tumeur principale a régressé en 3 mois de 96,4 % (c’est-à-dire de 11,8 cm x 10 cm = 118 cm2 à 2,5 cm x 1,7 cm =4,25 cm2) et que les « lésions nécrotiques » du foie ont diminué de 33,37% (de 7,8 cm x 7,1 cm = 55,38 cm2 à 4,4 cm x 4,2 cm = 18,48 cm2) : miracle quantique ou biochimique ?

Trithérapie suivie

Je suis simultanément les 3 méthodes thérapeutiques suivantes, qui à mon avis se complètent en parfaite synergie :

1)        Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) – Unité d’oncologie – 5 irradiations + 10 chimios effectuées. Un examen radiologique complet (scanneur) a été effectué le 16 mai, dont les résultats sont décrits dans ce Rapport des HUG, qui les compare à ceux du 20 février.

2)        le protocole LAIM (plus certains compléments non décrits dans ce livre, comme le Laetrile d’amande d’abricot et le Lapacho).

3)        divers guérisseurs et autres « coupeurs de feu » (actifs surtout contre les douleurs et brûlures, mais dont les HUG ont bien voulu me donner la liste) ou «coupeurs de sang » et magnétiseurs à distance ou sur place, comme Jean-Marc L. (06 22 21 29 37 à Aix-les-Bains, qui se déplace régulièrement à Genève, très efficace),

carteJML001.jpg

ainsi que Jacky R. (06 84 71 84 62 à Perrignier, que je connais moins et qui travaille plutôt sur les articulations et les os).

D’après le prof. Cacheux, vu le lundi 19 mai à 14h au service d’Oncologie des HUG, le scanner du vendredi 16 mai ne montre plus chez moi que des résidus (environ 3 %) des masses tumorales initiales, ce qui est un grand succès. Mais ces résidus sont-ils encore actifs ou s’agit-il de cellules nécrosées ? D’après le prof. Cacheux, ces cellules seraient encore malignes et il me faudrait donc continuer la chimiothérapie sinon je risquerais de « me retrouver dans le même état qu’il y a 4 mois » ! Intimement, je pense que ma tumeur est morte (ce qui pourrait être vérifié par une biopsie ou par des analyses plus précises) mais je ne discuterai pas l’avis du prof. Cacheux et je suivrai donc docilement le protocole HUG. On m’a donc prescrit 3 nouvelles séries de 3 chimios, soit 9 chimios étalées sur 3 mois (jusqu’à fin août 2014), avant un nouvel examen radiologique afin de refaire le point « objectivement ». Je continuerai donc ma « trithérapie » (chimios HUG + remèdes naturels + guérisseurs) afin d’au moins éliminer les toxines engendrées par ces traitements chimiques.

Au début de juin 2014, j’ai retrouvé le poids minimal de mon IMC, soit 60 kg et je peux manger à peu près n’importe quoi mais sans appétit particulier, seul le plaisir en bouche intervenant. Compte tenu de la poursuite de mon traitement par le protocole LAIM , mon organisme fait encore de la digestion parentérale (élimination par lavements du côlon de résidus dus à la chimio, cellules nécrosées, macrophages usés, etc.) et ainsi que de la digestion entérale. Depuis le 23 mai toutefois, je constate une exonération spontanée de ma digestion entérale, mais je complète cette évacuation naturelle par le nettoyage quotidien (45 min environ) du côlon par la décoction de café vert+lapacho afin d’extraire les rejets parentéraux.

Traitement détaillé

En gros, les 2 livres qui -je crois- m’ont sauvé la vie sont ceux-ci :

« Prévenir l’Anarchie Cellulaire » :

ainsi que ce petit ouvrage complémentaire à 8,58 € :

« Pratique de la Cure Gerson et Kelley »

Ces 2 livres préconisent les lavements du côlon au café vert : je les fais quotidiennement (évacuation de résidus parentéraux noirs (=cellules mortes+macrophages)). Je crois que c’est la clé principale de mes progrès vers la rémission totale. Paule ajoute au café vert de l’écorce de Lapacho (Pao Pereira, l’une des 2 plantes anticancer de Mirko Beljanski). Concrètement : pour un bock de 2 litres, faire tremper le matin 6 cuillers à soupe de grains de café non torréfié + une bonne pincée d’écorce de lapacho. En soirée du même jour, faire bouillir pendant 5 min. Le lendemain matin, filtrer le café et le réchauffer à 40 °C pour utilisation immdiate en 4 positions successives (à plat ventre – couché sur le côté gauche – couché sur le dos – couché sur le côté droit, en tenant si possible le liquide pendant 3 min dans chaque position).

Voir aussi l’article intitulé « Cancer : l’importance de lutter contre l’inflammation », reproduit à la fin du présent document.

 Médicaments ou Compléments utilisés

A)       Selon le protocole LAIM)

Poudres et gélules Jade

(en vente à la Pharmacie du Grand-Lancy)

IMMUNOCANCE (Jade, en poudre à dissoudre dans boisson chaude)

EPIGALLANCE (Jade, gélules)

ALPHA LIPOÏQUE (Jade, gélules)

CHRISTOCYANINE (Jade, ampoules)

NONI (Jade, liquide)

Hors protocole LAIM

Gynotardiferon (prescrit par HUG, fer + acide folique)

Esopremazole (anti-acide prescrit par HUG)

NOVODALIN (comprimés de B17-Laetrile, Etats-Unis) (hors protocole LAIM)

Par prudence, dès le début je n’ai pris chaque matin qu’un demi-comprimé de Novodalin à 500 mg et je l’ai arrêté au début du mois de mai, car je pense qu’il a fait (avec les autres spécialités) son effet thérapeutique. On dit sur ce site didactique qu’il fait baisser la tension artérielle mais je me maintiens quand même dans le bas de la norme à ce propos.

LAPACHO (Fenioux, gélules)

GINSENG (Neo-Diet, gélules)

BILIFUGE (pilules mais production interrompue - remplacé par les gouttes STAGO)

GRIFFE DU CHAT (Biovea, gélules)

LIV.52 (comprimés, Ph. Gd.-Lancy)

CREON (France, 4 gélules/jour)

Chardon-Marie (Arko, gélules)

Gouttes/Liquides

ALOE VERA (gel à boire)

Jus de figue (Zeller) – Jus de racine de Curcuma – Jus de choucroute crue (Biotta)

Fleurs de Bach (Rescue+Crab Apple+Star of Bethléem) (3x2 g.) – Digestodoron (Weleda) – Zyma D3 (calciférol, 5 g.)

Desmodium ESP (0,5 ml) – Echinacea ESP (0,5 ml)

Alcool iodé (1 goutte) (Dr Gerson : Lugol ½ fort (4 fois 3 gouttes/jour))

Extrait de pépins de pamplemousse (1 goutte)

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Traitement à emporter pour un voyage de 7 jours

I -       Lavement du côlon

Bock de 2 litres en plastique – 7 x 7 = 49 cuillers à soupe de café vert en grains – 7 pincées d’écorce de lapacho

II - Verre du matin

Verser dans une bouteille de 1,5 litre (prélever 4 seringues de 53,6 ml pour 1 verre) :

14 cuillers à soupe de jus de Noni + 7 c. à s. de jus de choucroute crue + 7 c. à s. de jus de racine de Curcuma + 14 cuillers à s. de jus d’Aloe Vera

Ajouter le mélange suivant (déjà préparé dans une petite bouteille de 50 cl complétée avec de l’eau du Mont Roucous) :

4 ampoules de Christocyanine – 5 cuillers à café de poudre Immunocance - 7 gouttes d’alcool iodé – 7 gouttes HE Sauge – 7 gouttes HE Cannelle – 7 gouttes extrait pépins de pamplemousse – 14 gouttes Fleurs de Bach - 7 x 0,5 ml = 3,5 ml EPS Desmodium – 3,5 ml EPS Echinacea – 3,5 ml Digestodoron – Jus de figue

Compléter la bouteille avec 7 x 2 (ou 3) = 14 (21) oranges et 1 citron pressés. Prendre 1 verre de 2 dl chaque matin avec les gélules.

III -     Gélules et comprimés     

Lapacho – Ginseng – Stago – Griffe du chat – Liv.52 – Créon – Chardon Marie – Vitamine E - Gynotardiferon

IV -     Nourriture et boissons à emporter

Poudre de chanvre – Poudre Biotic – Sachets de purée – Barres protéinées – Pot de purée d’amandes – Pot de purée de sésame - Halva

Lait de riz – Horchata de chufa – Jus de légumes Biotta – Gaspacho - Fetagreenasparagus.JPG

aspergescancer.JPG

vensalgunos.JPG

(je mange en salade à midi un pot d’asperges vertes précuites de la Migros (185 g égouttées – 3.- CHF))

ALIMENTATION  LIQUIDE (méthode Breuss-Gerson)

Absorber 2 500 ml de nourriture bio par jour, soit 13 verres (de 8h à 20h, toutes les heures). Je n’ai pas pu –pour différentes raisons pratiques- suivre ce régime, mais Paule me prépare chaque matin 1 verre de légumes/fruits qui me permet de déglutir la dizaine de comprimés/gélules ci-dessous énumérés. Mettre beaucoup d’oranges pour améliorer le goût !

Légumes admis par Gerson pour les jus :

CAROTTES – CONCOMBRES - BETTERAVES ROUGES – CELERIS – CHOUX – PATATES – OIGNONS – AIL – RADIS NOIR - RAIFORT

Fruits admis pour les jus :

POMMES – POIRES - ORANGES – TOMATES – ABRICOTS – MANDARINES - CITRONS – RAISINS – POIVRONS - PRUNES

Feuilles vertes en jus :

LAITUE – SCAROLE – ENDIVE - PERSIL – CRESSON – ROQUETTE (+ jus de blé vert frais ou séché à froid)

Assaisonnements admis pour les jus :

VINAIGRE – HUILE DE LIN – SEL POTASSIUM « K-Sel » – EPICES

Boissons et aliments énergisants et engraissants (valeurs pour 1 000 ml ou pour 1000 g – prix en CHF)

Boisson ou Aliment

Magasin

kcal

Fibres

Protéine

Glucides

Lipides

Sodium

FRESUBIN

Fresenius-Kabi

2 000

15 g

100 g

167 g

100 g

0,12 g

RESSOURCE 2.5

Fresenius-Kabi

2 500

?

?

?

96 g

 

Renutryl

Nestlé, JML (France)

2 000

-

100 g

240 g

70 g

-

Clinutren (choco.)

Nestlé, JML (France)

1 600

-

100 g

-

-

-

Les diététiciens des HUG et les services d’hospitalisation à domicile (comme Sitex), ne jurent que par les boissons protéinées ci-dessus. J’ai été alimenté par goutte-à-goutte (potence à roulettes et sonde nasale) toutes les nuits à la maison (20h-8h) avec 1 litre de Fresubin, apportant 2 000 kcal. J’ai toutefois remarqué (à part la lourdeur et l’inconfort du procédé, dont je me suis libéré le 22 avril dernier) que les protéines de lait de ces boissons visqueuses bloquaient peu à peu mes reins et que je devais cracher sans arrêt des glaires et du mucus. D’autre part, ce document explique que la caséine du lait (avec laquelle on fait de la colle) est nocive et entraîne divers désordres dans l’organisme. J’ai donc cherché d’autres sources de protéines, comme les poudres et barres décrites ci-après, qui me conviennent mieux, mon hydratation se faisant uniquement par une eau réductrice (apportant des électrons) comme l’Eau du Mont Roucous ou l’Eau de Montcalm (voir leur analyse détaillée dans ma page sur les EAUX).

Crème de Coco

Marché Bio (3.70)

2 080

14 g

21 g

34 g

220 g

0,2 g

Lait de Coco

Marché Bio (3.10)

1 660

-

14 g

18 g

180 g

0,18 g

Lait de riz/amandes

Migros

650

9 g

7 g

110 g

20 g

0,5 g

Lait de riz

Migros

540

7 g

5 g

110 g

10 g

0,4 g

Jus de légumes

Coop (Biotta)

290

5 g

10 g

60 g

0

1,8 g

Jus de Grenade

Leclerc (Dimes)

564

4 g

4,4 g

132 g

2 g

0, 03 g

Jus de Carotte

Migros (Biotta)

400

5 g

5 g

90 g

5 g

0,6 g

Jus de Curcuma

Marché Bio (18.-)

223

-

4,5 g

47 g

2 g

0,5 g

Horchata de chufa

Leclerc-Ferney

750

7 g

6 g

125 g

23 g

0,8 g

 

 

 

 

 

 

 

 

Son d’Avoine bio

Leclerc (Bjorg)

3 600

180 g

150 g

530 g

60 g

0,09 g

Quinoa/Lentilles

Leclerc (Bjorg)

1 600

55 g

80 g

230 g

28 g

4 g

Seitan

M. Bio – 5.30

1 240

10 g

190 g

80 g

15 g

11 g

Tempeh

M. Bio – 6.40

1 930

65 g

190 g

12 g

110 g

5 g

Tofu

M. Bio – 4.30

1 500

-

140 g

15 g

93 g

0,1 g

Purée de sésame)

M. Bio – 9.80

6 090

60 g

182 g

105 g

550 g

0,05 g

Purée d’amandes b.

M. Bio – 17.80

6 380

67 g

276 g

70 g

558 g

0,01 g

Amandes (poudre)

Coop

5 890

140 g

220 g

50 g

540 g

0 g

Noisettes (poudre)

Coop

6 510

80 g

140 g

110 g

620 g

0 g

Chanvre (poudre)

Force UltraNature

3 770

215 g

505 g

260 g

120 g

0,2 g

Lupin (filets)

M. Bio 6.90/200 g

2 540

55 g

254 g

91 g

128 g

8 g

Avocats

Migros

1 600

67 g

20 g

85 g

150 g

-

 

Barres Farmer

Migros

4 840

50 g

100 g

590 g

220 g

1,2 g

Barres au sésame

Migros

5 320

80 g

130 g

440 g

320 g

0,2 g

Barres aux amandes

Gerblé/Leclerc 2.84 €

4 230

51 g

78 g

657 g

137 g

0,15 g

Fourrés pruneaux-figues

Gerblé/Leclerc 2.85 €

3 930

133 g

71 g

520 g

151 g

1,7 g

Barres Isostar Max

Leclerc 3.55 €

3 860

51 g

122 g

614 g

97 g

1,1 g

Barres Isostar Noisettes

Leclerc 4.50 €

3 810

51 g

251 g

480 g

100 g

2,3 g

Blévita Tomates-Olives

Migros

5 200

45 g

120 g

550 g

270 g

16 g

Balisto Choco-Pommes

Coop

5 530

36 g

64 g

602 g

177 g

1 g

ChocOvo(maltine)

Coop

4 320

38 g

110 g

659 g

130 g

2,3 g

OvoSport

Coop

3 670

25 g

104 g

756 g

20 g

10 g

Soft Snack Choco-Pomme

Coop

4 550

50 g

90 g

590 g

310 g

-

(Taste of Nature) (trop dur)

Coop

4 500

50 g

120 g

460 g

260 g

-

(Crunchy Snack Miel (trop d.)

Coop

4 520

70 g

110 g

600 g

170 g

1,1 g

Pain de seigle bio

Migros

1 910

100 g

45 g

360 g

10 g

3,9 g

 

Feta Hotos

Coop

2 390

-

170 g

1 g

190 g

-

Fromage Asiago

Migros

3 670

-

240 g

5 g

300 g

-

Mozarella Buffala

Coop

2 580

-

130 g

10 g

230 g

-

Roquefort Société

Coop

3 510

-

180 g

5 g

310 g

-

Brique de Brebis

Leclerc-Ferney

3 000

-

170 g

-

260 g

5,9 g

Ananas séché

Coop-Onex /  Migros

3 110

70 g

20 g

710 g

-

-

Barres Figues-Pruneaux

P’Ti Déli – Leclerc

3 700

45 g

40 g

750 g

50 g

2,5 g

Fraises séchées (10 g = 115 g)

Migros

3 310

80 g

60 g

670 g

25 g

1,3 g

Hummus à tartiner

Leclerc

2 630

54 g

59 g

81 g

218 g

6 g

Tapenade bio

Coop

2 750

-

20 g

35 g

280 g

3,2 g

Asperges vertes 185 g égout.

Migros (3.-)

300

30 g

20 g

3 g

5 g

3,2 g

Quelles protéines en poudre utiliser pour préserver sa santé ?

Alimentation protéinée (en cas d’anorexie totale) - IMC minimal pour DB = 60 kg/2.8561 = 21 (max. 27)

De plus, c'est une plante apéritive (elle donne faim). saponines (à l'origine de ses propriétés stimulantes de l'appétit). (Wikipédia)

On peut faire germer ces graines afin de consommer les jeunes pousses.

Cancer : l'importance de lutter contre l'inflammation

On sait depuis le XIXe siècle que tout cancer s'accompagne d'une inflammation. Mais ce n'est que récemment qu'on a commencé à s'apercevoir que cette inflammation n'est pas la conséquence du cancer. Elle en est plutôt la cause. Par conséquent, que ce soit en prévention ou en accompagnement des traitements contre le cancer, il est important de lutter de façon mesurée contre l'inflammation. Je précise « de façon mesurée » car, nous allons le voir, l'inflammation a aussi son utilité.

L'inflammation facteur de cancer

Lorsque des tissus sont agressés et que des milliers de cellules meurent, elles émettent des substances chimiques qui vont déclencher une réaction inflammatoire. Ainsi, lorsque vous vous piquez, brûlez, égratignez, mais aussi lorsque vous avez une infection d'origine virale ou bactérienne, vous pouvez avoir mal à un endroit donné. Cet endroit rougit, chauffe, gonfle : c'est une inflammation.

L'inflammation comporte 4 étapes :

1.    Démolition : les cellules du système immunitaire viennent d'abord détruire l'agent responsable de l'infection (microbes) grâce à des molécules agressives, dont les très puissants radicaux libres.

2.    Nettoyage et évacuation des déchets : elles nettoient ensuite les cellules mortes, grâce à des enzymes et évacuent les débris dans le flux sanguin ou par le pus.

3.    Pose de nouvelle tuyauteries : elles font pousser de nouveaux vaisseaux sanguins pour faire parvenir au plus vite des nutriments et des cellules de remplacement là où les tissus ont été abîmés.

4.    Reconstruction : enfin, elles aspergent les cellules environnantes de produits appelés « facteurs de croissance » et qui, comme leur nom l'indique, vont stimuler la reproduction des cellules aux alentours pour remplacer les cellules mortes et permettre la cicatrisation.

C'est un service « toutes options » que nous procure notre système immunitaire. L'inflammation est donc un phénomène hautement souhaitable, lorsqu'elle est de durée limitée, et c'est pourquoi il vaut mieux, quand c'est possible, ne pas la combattre avec des médicaments anti-inflammatoires, qui retarderaient l'avancée des travaux.

Le revers de la médaille

Mais il y a un revers à la médaille. Un énorme revers. Lorsque des tissus sont agressés de façon continue, pendant une longue période, une inflammation chronique (durable) s'installe. Chacun des mécanismes de l'inflammation décrits ci-dessous, qui paraissent si merveilleux, vont se révéler redoutablement efficaces pour favoriser l'apparition et le développement de tumeurs cancéreuses :

1.    Démolition : les radicaux libres, qui détruisent les microbes et cellules malades, favorisent les mutations d'ADN dans les cellules saines et cancéreuses. Ces cellules mutantes risquent de devenir incontrôlables à leur tour, et d'accélérer la formation ou la croissances des tumeurs.

2.    Nettoyage et évacuation des déchets : les enzymes, qui faisaient si bon office pour digérer les microbes et cellules mortes, fragilisent le support conjonctif des cellules. On sait que la division cellulaire est contrôlée par la présence, autour d'une cellule, d'autres cellules. Désolidarisée de ses voisines, la cellule perd l'autocontrôle de sa taille et de sa croissance. Elle se met à se multiplier de façon inconsidérée. Pire encore, en cas de tumeur, les enzymes peuvent les casser en petits morceaux qui vont rejoindre le flux sanguin et s'installer ailleurs dans l'organisme pour créer d'autres tumeurs.

3.    Pose de nouvelles tuyauteries : c'est une catastrophe quand on a affaire à une tumeur. Plus d'irrigation sanguine, c'est évidemment plus de glucose et une croissance plus rapide. On notera que la recherche actuelle sur le cancer cherche précisément à créer des médicaments qui stoppent « l'angiogénèse », le mot qu'utilisent les médecins pour désigner le développement de nouveaux vaisseaux sanguins (p. ex. le jus de Noni).

4.    Reconstruction : c'est encore pire : les facteurs de croissance accélèrent la multiplication des cellules cancéreuses.

Cette Bérézina due à l'inflammation est donc une catastrophe pour le malade. Et encore n'ai-je pas tout mentionné, car il faut savoir aussi que l'inflammation favorise l'arrivée de macrophages au niveau de la tumeur, qui détruisent les cellules de votre système immunitaire (les lymphocytes tueurs) qui avaient précisément débarqué en urgence pour attaquer les cellules cancéreuses !

Des cancers directement causés par l'inflammation

Ces phénomènes inflammatoires peuvent être si violents qu'ils peuvent créer des cancers de toute pièce, et pas seulement favoriser la croissance de tumeurs existantes. C'est le cas du cancer de l'estomac, qui se développe suite à une inflammation provoquée par la présence d'une bactérie, l'helicobacter pylori, des hépatites B qui peuvent à terme virer en cancer des hépatocytes, du cancer de la prostate, provoqué par une inflammation de la prostate (prostatite).

Lutter contre l'inflammation

La lutte contre l'inflammation est donc indispensable, mais il ne faut pas faire n'importe quoi car votre corps a tout de même besoin de réagir pour détruire les cellules cancéreuses, grâce aux lymphocytes tueurs notamment. La première chose à faire est de restaurer d'urgence, si ce n'est pas déjà fait, la teneur de vos tissus en acides gras oméga-3.

Ces acides gras, qui sont des sortes de stars de la médecine naturelle, ne peuvent être synthétisés par l'organisme. Vous devez vous les procurer par votre alimentation. C'est pourquoi ils sont dits « acides gras essentiels ». Le problème est que les produits alimentaires qui contiennent des oméga-3 ne sont plus guère consommés aujourd'hui. La plupart des gens n'en mangent jamais. On les trouve dans les petits poissons gras (anchois, harengs, sardines), dans l'huile de lin, de noix, de colza, de germe de blé, de soja et dans le pourpier.

Une fois absorbés, le corps les transforme partiellement en EPA et DHA, puis en prostaglandines de type 1, dont l'action maintenant bien connue est anti-inflammatoire. Ainsi, dans le sein, plus la proportion de DHA augmente, moins on constate le développement de tumeurs (travaux de Bougnoux, Inserm de Tours). Lorsqu'un cancer avéré est traité par radio ou chimiothérapie, la tumeur régresse plus facilement lorsque les tissus sont riches en acides gras polyinsaturés (dont les oméga-3).

Il existe enfin des raisons de penser que la prise massive d'oméga-3 pourrait être bénéfique contre le cancer : sur des rats porteurs de tumeurs, des doses importantes de DHA font régresser les tumeurs de 60 % à une dose unique de radiothérapie, contre 31 % pour le groupe témoin (sans DHA).

Fabriquez chez vous l'huile idéale

L'huile végétale idéale, contenant les apports optimaux pour l'organisme en acides gras saturés, mono-insaturés (oméga-9), et polyinsaturés (oméga-3 et oméga-6), peut être facilement préparée chez soi. Mélangez pour cela 3 parts d'huile de palme rouge issue de l'agriculture raisonnée et respectueuse des populations locales, 1 part d'huile de soja, 1 part d'huile de noix. Le point de fusion de l'huile de palme non raffinée, qui est pigmentée en rouge par le carotène, est compris entre 36 et 40°C, de sorte que cette huile n'est pas fluide à température ambiante. Pour la mélanger, il faut donc la faire légèrement chauffer sur un radiateur ou au bain-marie. Les autres huiles, soja et noix, sont très fluides grâce à leur haute teneur en acides gras polyinsaturés. Vous obtiendrez donc un mélange qui reste fluide dès 20°C. Pour un adulte, la dose moyenne sera d'une cuillère à soupe par repas, sans aucune cuisson, c'est-à-dire uniquement dans les salades.

[Remarque de DB : Concernant le mélange d’huiles optimal décrit ci-dessus, cet article reprend les calculs qui sont exposés sur la page http://dbloud.free.fr/cholesterol.htm et qui ont été repris à la page 6 de la revue efferveSciences (numéro 75 de mars-avril 2011).]

Le secret de l'île anti-cancer

Il existe des lieux où les habitants ne connaissent pas le cancer. Alimentation, style de vie mais aussi les dernières avancées de la recherche scientifique, rendez-vous ici pour en apprendre plus sur « l'île où les hommes oublient de mourir »

L'aspirine à toutes petites doses pour lutter contre l'inflammation.

L'aspirine, ou acide acétylsalicylique, est une molécule présente naturellement dans certaines plantes, comme le saule et la gaulthérie, et qui a des effets anti-inflammatoires. Des méta-analyses, c'est-à-dire des travaux qui prennent en compte a posteriori les résultats de dizaines d'études sur le même sujet, ont permis d'affirmer que ses effets sont particulièrement intéressants en cancérologie. Ainsi, sur un total de 25 570 patients, ceux qui prenaient une petite dose quotidienne d'aspirine (75 mg) pour des raisons cardiaques (l'aspirine fluidifie le sang et limite donc le risque de caillot) ont eu 21 % de cancers en moins que les autres. Sur une période de cinq ans, la réduction s'est avérée encore plus forte : 34 % sur l'ensemble des cancers et 54 % pour les cancers gastro-intestinaux. Attention toutefois, ne pas prendre d'aspirine en cas de problèmes digestifs ou de coagulation.

Antioxydants

Pour lutter contre les radicaux libres, ce sont bien sûr les antioxydants qui sont en première ligne : vitamine C et polyphénols, que l'on trouve en abondance dans les légumes frais et crus, et bien sûr dans les compléments alimentaires multivitaminés à fort dosage (méfiance donc, face aux produits vendus en pharmacie ou au supermarché).

Les fameux « Anti-Cox2 » reviennent sur le devant de la scène

On se souvient de l'énorme scandale des nouveaux anti-inflammatoires Vioxx et Celebrex. Lancés en grande pompe au début des années 2000 et présentés comme la panacée contre les douleurs, notamment l'arthrose, ils furent au cœur d'un énorme scandale et accusés de plus de 40 000 morts aux Etats-Unis.

Ces médicaments fonctionnent en diminuant l'expression de la Cox2, une enzyme qui intervient dans l'inflammation et qui :

1.    Réduit l'apoptose cellulaire, la mort programmée de la cellule : les cellules cancéreuses se multiplient alors indéfiniment, contrairement aux cellules saines qui meurent après un nombre fixe de divisions.

2.    Supprime les cellules du système immunitaire (lymphocytes tueurs) nécessaires pour éliminer les cellules cancéreuses.

3.    Favorise la création de nouveaux vaisseaux sanguins (angiogénèse).

Imprudemment prescrits à des populations âgées et fragiles, ces médicaments ont, en effet, fait des désastres.

Toutefois, il a été démontré en médecine humaine comme en vétérinaire que de nombreux cancers présentent une surexpression de la Cox2 : cancers de la vessie, du côlon, du poumon, du sein, de l'estomac, du pancréas, de l'œsophage, de la peau et de la prostate. Les médicaments anti-Cox2 pourraient donc être utiles contre le développement de ces tumeurs. Ce sont des produits banals, faciles d'emploi, mais néanmoins actuellement négligés dans les protocoles « de consensus » appliqués aux malades dans les services hospitaliers d'oncologie. Toutefois, sachez que tout médecin généraliste est habilité et compétent pour prescrire ce type de médicaments. C'est toujours bon d'en être conscient. ¨

[Remarque de DB - Pour plus de détails sur les produits anti-Cox2, voir l’excellent livre « Prévenir l’Anarchie Cellulaire ».]

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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