Fascination du fascisme : otages suisses, virus H1N1, minarets, islamisation, mur de Berlin, identité nationale…

(en vidéo de 8 min)

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Otages suisses, virus H1N1, minarets, mur de Berlin, débat sur l'identité nationale et islamisation rampante ont un dénominateur commun: l'immunocompétence naturelle qui permet de rejeter -par anticorps interposés- les éléments étrangers pouvant menacer l'intégrité d'une entité définie telle qu'une nation, une région, une culture, une famille, un individu. Faut-il pour autant amalgamer l'autodéfense à la haine ? Avant de prêter aussi facilement un tel sentiment, il convient de se demander s'il ne s'agit pas tout simplement d'un réflexe naturel d'autoprotection, qui ne fait appel à aucun état d'âme particulier, de même qu'un logiciel antivirus élimine systématiquement les éléments pouvant présenter un danger pour la bonne santé de notre ordinateur. Dans un récent éditorial, une rédactrice de la Tribune de Genève affirmait que les démocraties seraient mises en danger par le "réflexe sécuritaire et autoritaire" consistant à élever des barrières telles que les murs de Berlin ou de Palestine. La surprotection peut en effet devenir pathologique lorsqu'elle aboutit à une maladie auto-immune par laquelle les anticorps s'attaquent -mus par une "haine" irraisonnée et passionnelle- à un ennemi intérieur imaginaire (p. ex. "les fascistes" dans l'esprit étroit de l'ancienne RDA ou de la gauche bien-pensante actuelle), détruisant ainsi peu à peu l'organisme qu'ils étaient chargés de protéger. Avons-nous la haine du monde entier lorsque nous fermons à clé la porte de notre logement ou de notre voiture ? Cette sentimentalisation forcenée de tout ce qui évoque la sécurité et l'autorité s'explique à mon avis par un amalgame subconscient et pathologique qui crée spontanément le monstre protection=imperméabilisation=sécurité=autorité=nazisme=haine. Cet épouvantail à moineaux véritablement obsessionnel est automatiquement dressé par la gauche angélique face à toute tentative de rejet, d'exclusion d'un élément étranger pouvant paraître menaçant ou inquiétant, le corollaire logique étant que le monde entier est gentil, que nous sommes tous égaux ou semblables, et qu'il faut donc accueillir chez soi tous ceux qui souhaitent y venir, en particulier tout le tiers monde. Ce faisant, on oublie que le métissage finit par diluer toutes les différences et donc par tuer la diversité. Le grand compotier mondialiste est un des vieux rêves maçonniques: la chute d'un mur ou d'une frontière semble relever d'un immense amour de l'humanité et d'une joie libératoire de toutes les contraintes alors qu'une analyse plus approfondie montre que cette illusion reste au niveau des comptines d'enfants mettant au feu livres et maîtres d'école dans une grande sarabande... Conservons et protégeons -par tous les moyens possibles- notre patrie, notre fratrie, notre groupe d'ascendance génétique, notre organisme, en un mot notre identité, qu'elle soit personnelle, culturelle, régionale ou nationale. Et que l'ancienne Inquisition ne soit pas un jour remplacée par une Charia européenne à cause du Syndrome d'ImmunoDéficience Acquise de la pensée unique actuelle: un tel sida est déjà bien avancé aujourd'hui dans les esprits de ceux qui –par masochisme suicidaire- n'osent plus se défendre et ne comprennent plus ceux qui le font.

Denis Bloud (13 novembre 2009)

Vidéo dans laquelle Khadafi explique que l'Europe des Dhimmis sera bientôt soumise à l'Islam.

La politique occulte de métissage généralisé de l'Europe

Français de papier et Français de sang

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Décodage par Simon Duplessis (17 janvier 2010, publié dans « Société ») :

« Nous nous efforcerons d'obtenir dans le futur une Europe orientalisée par un métissage euroasiatique négroïde. Cette future race métissée sera en apparence semblable à la race de l'ancienne Egypte . Les chefs en seront les juifs en tant que nouvelle noblesse grâce à leur esprit communautaire. » (comte Richard Coudenhoven-Kalergi (1894 Tokyo-1972 Autriche), fils d’une japonaise, membre de l’organisation juive de type maçonnique B'nai B'rith). Besson pense que la " France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage. » Besson se réclame également d'un président qui déclare  : “Je suis un homme de sang mêlé à la tête d’une nation métissée”.

Eric Besson a eu une enfance  méditerranéenne, ses racines sont arabes et sans doute également juives. Il est né au Maroc d'un père français qu'il n'a jamais connu et d'une mère d'origine libanaise dont le nom de famille est Musa (Moïse en arabe). Après la mort de son père, sa mère se remarie avec un chirurgien-dentiste, d'origine égyptienne, de la famille Bahri, avec lequel elle aura 5 enfants. Besson a été marié  à une française dont il a divorcé récemment et a pris pour compagne une étudiante tunisienne dénommée Yasmine Torjeman (Torjeman : "traducteur", en hébreu et araméen). Pour Sarkozy, on retrouve à peu près le même parcours ; un père d'origine hongroise absent très tôt dans sa vie car il a déserté le clan familial. Notre futur président a été élevé par sa mère. Cette dernière est la fille de Bénédict Mallah, chirurgien du 17e arrondissement de Paris, issu d'une famille de Juifs séfarades chassée d'Espagne puis installée à Salonique à partir du XVIIe siècle. Le fils de Nicolas, Jean, s'est marié avec une Darty-Sebaoun avec laquelle il vient d'avoir un fils nommé Solal. On voit bien que dans l'un et l'autre cas, l'absence du père a renforcé les racines maternelles et engendré un sentiment d'appartenance très fort à cette communauté cosmopolite. Pour tout dire, je ne suis pas sûr que ces deux hommes soient des Français "en conscience".

Rappelons ici ce que disent leurs amis:

·       Pour Attali : « le vrai risque, c'est de voir s'éteindre les communautés juives de par le monde, pas de voir disparaître Israël » ;

·       Pour Julien Dray : « il faut faire cette éducation du pays pour qu’il apprenne que désormais son avenir c’est le  métissage... » ;

·       DSK nous assure aussi que : "dans un monde globalisé, il n’y a plus de place pour une solution nationale" ;

·       Bernard Henri Lévy, on le sait,  n'aime pas tout ce qui est franchouillard. Il appelle Nicolas Sarkozy à "faire  machine arrière" sur le    débat sur l’identité nationale.  "Je suis un cosmopolite résolu. J’aime le métissage et je déteste le nationalisme. Je ne vibre pas à “la Marseillaise”. J’espère que le cadre national sera un jour dépassé "

Indubitablement, il existe deux sortes de Français; les Français que je qualifierais d'administratifs - car ils possèdent tous  les documents prouvant qu'ils ont bien cette nationalité, et les Français de coeur et d'esprit. On pourrait dire en paraphrasant Morvan Lebesque que chez ceux-ci, "la France vit en eux". Voilà  la différence entre un Bruno Gollnisch - la France est pour lui comme une mère - et un Besson qui pense que la "France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage. »

Simon Duplessis (17 janvier 2010, publié dans « Société »)

(suite sur « Le Mondialisme tue la diversité humaine par le Métissage »)

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