Nous sommes tous des O.G.M.!

(mise à jour du lundi 27 août 2012)

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L’origine génétique de ma lignée paternelle (ADN nucléaire) Blou(d,t,x) est : « Celtes alpins » (haplogroupe R1b1b2a1b4c / U152+L2+) – Lignée maternelle (ADN mitochondrial) : « Ouraliens » (haplogroupe N1b)

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Résumé de l'article ci-dessous: Il est maintenant démontré (lire La porte ouverte à la manipulation de nos gènes dans la revue Science et Vie de septembre 2008, p. 54-57) que notre A.D.N. peut être artificiellement amélioré ou dégradé par chirurgie génique. Or les recherches sur le génome humain montrent que notre ADN a autrefois été bridé par nos «créateurs», de sorte que nous sommes de véritables «organismes génétiquement modifiés» (OGM). Cette constatation confirme les textes déchiffrés sur les tablettes sumériennes. Veuillez cliquer sur les liens hypertexte apparaissant en couleur ci-dessous afin d’obtenir les références et sources correspondantes.

Le génome humain contient environ 98 % d’«ADN-Poubelle»

«L’être humain possède 23 paires de chromosomes, eux-mêmes situés dans le noyau de chaque cellule. Ces 46 chromosomes forment 2 jeux complets d’instructions, chacun hérité d’un de ses parents. Chaque chromosome est constitué de molécules d’ADN (Acide DésoxyriboNucléique) qui s’étirent en deux longs fils unis, constitués par un enchaînement précis d’unités élémentaires formées par les 4 nucléotides (ou paires de bases) (A, T, G, C).

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Le génome humain comprend 3,3 milliards [contre 4,17 milliards chez le mammouth laineux] de paires de bases A, T, G, C formant un alphabet chimique. Les gènes actifs sont des segments d’ADN qui contiennent l’information fonctionnelle (codante). Ils ne composent que 2 % de notre génome car nous possédons beaucoup moins de gènes codants que ne le pensaient certains chercheurs: entre 20 000 et 25 000 [22 000 selon Science et Vie 10/10 p. 62].

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L’utilité du reste de notre ADN reste inconnue (c'est ce qu'on appelle couramment "l'ADN-poubelle"). Un certain nombre de maladies à forte composante génétique pourraient se prêter à l’analyse: les cancers, le diabète, la sclérose en plaques. Le professeur Antonarakis préfère étudier la schizophrénie.» (réf. TG 12-13/7/08 p.3) .

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La recherche actuelle (octobre 2010) montre qu’en fait, nos 22 000 gènes codants produisent chacun , en moyenne, 8 protéines différentes selon les tissus dans lesquels des cellules les copient, de telle sorte que notre génome actif peut produire (par « épissage alternatif ») environ 176 000 protéines différentes (réf. Science et Vie 10/10 p. 62-71)Ce processus complexe fait intervenir non seulement les molécules d’ADN et d’ARN (dont la représentation ci-dessus n’en montre que le « squelette » fondamental) mais aussi les molécules d’eau qui les entourent et les stabilisent, conformément au « modèle de Ling » tel qu’enseigné par le professeur Marc Henry à l’université de Strasbourg.

Les « groupes d’ascendance » génétique remplacent les anciennes « races » dans la biodiversité humaine

L'humanité est-elle séparée en races différentes? Vérité scientifique au XIXe siècle et durant une bonne partie du XXe, cette affirmation a été battue en brèche après la Seconde Guerre mondiale. Au cours des dernières décennies, la biologie a nié la pertinence même de la question, au motif que tous les humains auraient en commun 99,9 % de leur patrimoine génétique : mais s’il n’existe pas de races, on peut logiquement se demander comment il peut exister un quelconque racisme ? Comment voir de la biodiversité dans ce qui est officiellement monolithique et homogène ? Les tout récents progrès de la génétique nuancent maintenant cette bien-pensante croyance en une fraternelle homogénéité de l’espèce humaine. D’après le biologiste moléculaire Bertrand Jordan, il convient de remplacer le mot tabou « race » par le nouvel euphémisme « groupe d’ascendance », lequel est scientifiquement prouvé. Auteur de plusieurs ouvrages sur la génétique et ses applications, Bertrand Jordan a obtenu le prix Roberval en 2000 pour Les imposteurs de la Génétique et le prix Jean Rostand en 2007 pour Thérapie génique : espoir ou illusion? En France comme dans de nombreux autres pays, il est pratiquement interdit de parler de races, alors qu'aux Etats-Unis d’Amérique, la distinction raciale figure obligatoirement sur la carte d'identité. Pourquoi cette différence de perception ?

Bertrand Jordan répond à cette question dans son livre intitulé : L’Humanité au Pluriel. L'inexistence des races prônée par les antiracistes s'appuie sur la faible diversité génétique des humains : 99,6 % de similitudes. Mais 0,4 % d'ADN, cela correspond tout de même à 13,2 millions de différences au sein des 3,3 milliards de paires de bases que contient notre ADN. Ces 13 millions de différences génétiques constituent une diversité intraspécifique faible mais réelle car permettant de déterminer des groupes d’ascendance géographique ou « arbres de proximité » différenciant nettement Européens, Asiatiques et Africains, comme illustré par le schéma ci-dessous, qui montre clairement les 3 phylogénèses correspondantes.

Seule une analyse ADN complète permettra de déterminer les séquences génétiques correspondant statistiquement aux différentes ethnies historiques.

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La biodiversité humaine est donc plus grande qu'on ne le croit, ce que prouvent, entre autres critères, les différences de vulnérabilité aux maladies selon les « groupes d’ascendance » génétique. Les croisements (hybridations ou métissages) tendent toutefois à créer de plus en plus de variantes (ou allèles), mais au prix final d’une suppression de la biodiversité intraspécifique en groupes d’ascendance, comme si l’on mélangeait diverses couleurs dans un même récipient.

Dans son numéro de mars 2012 (p. 77), la revue Science et Vie précise que ce phénomène « est bien connu en biologie de la conservation sous le nom « d’extinction par hybridation ». « Il est dû à l’effet de taille des populations, indique Jean-Luc voisin. Le génome de Sapiens a pu envahir celui de Neandertal et le faire disparaître. Le loup d’Ethiopie connaît aujourd’hui le même sort. Quoique protégée, cette espèce rare est vouée à disparaître du fait de ses croisements avec les chiens errants, dont le génome submerge peu à peu le sien. »

Ce danger, qui menace actuellement les ethnies blanches dont la démographie ne soutient pas le rythme de celle des autres groupes d’ascendance, a été confirmé par un paléo-anthropologue, le professeur Friedemann Schrenk dans les termes suivants (débat sur Arte le 18 octobre 2011 sur le thème « Pour en finir avec le racisme ») :

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Le schéma ci-dessous (calculé sur des milliers de génomes représentatifs des Etats-Unis d’Amérique), montre comment 3 pôles ethniques génétiquement différents peuvent dériver l’un vers l’autre et se mélanger peu à peu par hybridation. On remarque la nette tendance du pôle africain (en rouge) à se métisser avec le pôle européen (en bleu) :

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L'étude fine du génome humain actuel montre l'existence de différenciations héréditaires stables qui, au-delà des seules apparences (couleur de peau, chevelure, etc.) rendent possible de remonter aux origines géographiques lointaines des individus, ou peuvent parfois expliquer leur vulnérabilité à certaines maladies. Certes, les groupes ainsi repérés ont des limites floues, leur diversité interne est élevée et aucun classement hiérarchique global ne peut être justifié à partir de ces éléments. Les "races", au sens classique du terme, n'existent effectivement pas (de sorte que le « racisme » ne peut pas non plus exister) puisqu’elles sont désormais remplacées par la notion scientifique de groupes d’ascendance. La pluralité humaine, telle qu'on peut l'appréhender avec les techniques les plus modernes, est en fait plus grande et plus subtile qu'on ne voulait le croire.

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Répartition génétique des couleurs de peau d’après les travaux de Bertrand Jordan

Aux Etats-Unis d’Amérique, les Blancs non hispaniques sont déjà en minorité (49,6 % en 2008, réf. Philly.Com) :

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D'après l'Institut suisse de bio-informatique, nos quelque 20 500 gènes codent à peu près autant de protéines, propres à Homo Sapiens. Si la séquence de l'ADN est le scénario du film de la vie, les protéines en sont les acteurs. Leur connaissance bio-informatique permet par exemple de simuler l'action d'une molécule thérapeutique sur une protéine causant un dysfonctionnement. (Tribune de Genève du jeudi 25 septembre 2008, p. 7). Le polymorphisme génétiques (par modifications ou mutations secondaires) porte le nombre total des différences génétiques humaines à plus de 12 millions, comme le signale un article de la Tribune de Genève du jeudi 16 octobre 2008 (p. 26) : « On compte ainsi environ 12 millions de polymorphismes qui font que l’on a les yeux bleus ou bruns, une tête ovale, ronde ou carrée, que l’on retient beaucoup de sel ou non. » Ces polymorphismes, dus dans 90 % des cas au simple remplacement d'une base par une autre, forment des segments appelés SNP (Single Nucleotide Polymorphism).

Entre deux individus quelconques, il y a au moins 3 millions de ces différences ponctuelles, de sorte que certains laboratoires proposent déjà de construire le portrait SNP d'une personne afin de le rapprocher des corrélations existantes entre SNP et certaines maladies. Par exemple, le SNP 1212 existe dans 50 % des cas de cancer du poumon: si on le trouve dans le portrait génétique d'un individu, celui-ci sera informé qu'il a un risque de 50 % de contracter cette maladie s'il ne prend pas les mesures préventives nécessaires. Mais, selon Bertrand Jordan, fondateur du centre de recherche Marseille-Nice Génopole, ces analyses par polymorphismes n'ont pas la même valeur que les analyses des 23 000 gènes fondamentaux, appelées détection de mutation. Certains cancers du sein, par exemple, sont dus à des mutations des gènes BRCA 1 et 2, qui impliquent une probabilité de 80% de développer ce cancer. C'est le rassemblement des séquençages effectués par différents centres dans le monde qui permettra de construire une carte précise des corrélations génétiques entre maladies et protéines (gènes et leurs variantes SNP) (Science et Vie, février 2009, p. 58-66, Que valent les analyses d'ADN grand public?).

Il ne faut pas oublier que les hommes ont 98,8 % de leurs gènes en commun avec le chimpanzé moderne (réf. Science et Vie, 12/09, p. 108) et qu’il y a (à 0,1 % près) autant de différence génétique entre un homme et une femme qu’entre eux et un chimpanzé ! En effet, si l’on compare l'ADN de l'homme et celui de la femme, la paire de chromosomes sexuels est XX pour la femme et XY pour l'homme. Le chromosome Y étant à peu près la moitié de X, l'homme et la femme n'ont que 45,5/46 chromosomes semblables, soit 98,9 %! D'après l'anthropologue Jean-Jacques Hublin, qui vient de publier "Quand d'autres hommes peuplaient la Terre", l'homme ne descend pas du singe car il est un singe parmi d'autres! (Science et Vie, mars 2009, p. 134). De même, il y a plus de différences génétiques entre certaines tribus de Bochimans qu’entre un Européen et un Asiatique (Tribune de Genève, 19 février 2010, p. 26 d’après une étude publiée dans la revue Nature).

Une nouvelle différence génétique vient même d’être découverte (Science et Vie, décembre 2009, p. 108-112) : depuis la séparation de notre espèce de celle du chimpanzé (il y a environ 6 millions d’années), il se trouve que nous avons acquis (par mutation c’est-à-dire par déblocage de séquences faisant jusqu’alors partie de l’ADN poubelle) 3 nouveaux gènes (sur les chromosomes 12 et 22), que les chimpanzés ne possèdent pas et qui s’ajoutent aux différences d’expression de nos gènes communs, comme la capacité à articuler (parole) et la taille du cerveau. Cette création ex-nihilo de nouveaux gènes par mutation est un nouvelle pierre jetée dans le jardin des darwinistes. Ces gènes orphelins (ou spécifiques) évoluent 3 fois plus vite que les gènes communs, dans toutes les espèces vivantes et apportent donc une plasticité que la théorie classique de l’évolution ne peut pas expliquer et qui relève peut-être de l’exogénèse intelligente (impliquant une intervention technique, non nécessairement « divine »).

La chirurgie génique peut-elle réparer le handicap génétique de l’espèce humaine ?

La revue Science et Vie de septembre 2008, p. 44-53, a publié un article intitulé La Chirurgie répare les Gènes, suivi p. 54-57, d’une analyse dont le titre est : La porte ouverte à la manipulation de nos gènes? dans laquelle deux scientifiques reconnaissent que, «théoriquement, on pourrait ainsi construire le génome de façon que toutes ces maladies, ou les prédispositions qui y conduisent, en soient absentes», ce qui reviendrait à améliorer notre espèce par une sorte de vaccination définitive, réparant les tares génétiques dont notre espèce est affligée depuis notre création ou évolution selon que l’on adopte un point de vue  de type créationniste ou évolutionniste (darwiniste).

La revue Science et Vie de mars 2008 (p. 90) indique en effet qu’un rétrovirus «tapi dans notre ADN depuis des millénaires» est responsable de la sclérose en plaques et d’autres maladies graves car toutes nos cellules contiennent des séquences rétrovirales endogènes (ERV). Ces séquences étaient classées autrefois comme faisant partie de «l’ADN-poubelle» qui représente 97 % du génome puisque 3 % seulement de notre stock génétique est vraiment utile. Ces séquences pathogènes sont toutefois activables par certaines conditions de dégradation du terrain. Elles représentent 8 % du génome total et sont donc presque 3 fois plus nombreuses que les codages utiles de notre ADN! On lit en effet ceci dans la revue Science et Vie d’avril 2010, page 50 : « 8 % de notre génome est truffé de vestiges de virus dont certains, les rétrovirus oncogéniques, sont à l’origine de cancers. » La voie de la prévention consiste évidemment à éviter les cofacteurs connus pour activer ces bombes latentes. La voie réparatrice –hors chirurgie génique- consisterait à mettre au point des anticorps permettant de bloquer l’activation de ces protéines pathologiques, dont la recherche actuelle montre qu’elles peuvent concerner, outre la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, l’herpès, le cancer, etc. Le numéro de juillet 2008 de la revue Science et Vie précise ceci (p. 24): «L’homme doit gérer l’élimination de 18 fois plus de déchets que la souris avant de pouvoir se reproduire. » Nous portons donc un très lourd handicap génétique dans notre ADN. Ce fardeau originel est-il dû au hasard ou à une programmation intelligente ? La recherche scientifique développée ci-après semble montrer qu’il s’agit d’une programmation délibérée par nos «créateurs», quels qu’ils soient ou aient été.

Découverte de gènes extraterrestres dans l’ADN humain

Dans la revue scientifique Nature (409, 860-921, 15/2/2001), un article faisant le point sur l'avancement du Projet Génome Humain montre (dans son tableau 24) que 223 gènes humains n'ont aucun prédécesseur évolutionnaire et ont été apportés dans notre chromosome 21 par "transfert horizontal probable", c'est-à-dire hors évolution. Le chromosome 21 a été littéralement "bombardé par de récentes insertions de duplications". L'hypothèse d'un transfert par des bactéries est repoussée, compte tenu des filtrages effectués. Selon cet article de Nature, nous n'avons que 200 fois plus de gènes codants que l'amibe et seulement 2 fois plus que la mouche ou le lombric. Les séquences non codantes (environ 95 % du génome) sont apparemment composées de réplications ou répétitions avec de faibles variations. Six ans plus tard, en 2007, cette étude fondamentale de biologie moléculaire n'est plus tout à fait pertinente car les chercheurs ont fait progresser les connaissances du génome.

Un groupe de chercheurs travaillant au « Projet du Génome Humain » (Human Genome Project) indique avoir fait une étonnante découverte scientifique. Ils pensent que les séquences dites « non codantes » qui composent 97 % de l’ADN humain ne sont rien d’autre que le code génétique de formes vivantes extraterrestres. Les séquences non codantes sont communes à toute la matière organique sur terre, des moules aux humains. Dans l’ADN humain, « elles constituent la plus grande partie du génome total » déclare le professeur Sam Chang, directeur du groupe.

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Le professeur Chang

Les séquences non codantes, autrefois connues sous le nom d’« ADN-poubelle », ont été découvertes il y a des années et leur fonction restait un mystère. L’écrasante majorité de l'ADN humain est « hors de ce monde » de par son origine. Lesdits «gènes-poubelles extraterrestres» «profitent simplement du voyage» avec les gènes actifs fonctionnels transmis de génération en génération. Après analyse complète avec l'aide d'autres scientifiques, d'informaticiens, de mathématiciens et d'autres savants, le professeur Chang s'est demandé si ledit « ADN-poubelle » humain n’avait pas été créé par une sorte de «programmeur extraterrestre». Les segments étrangers dans l’ADN humain, observe encore le professeur Chang, «ont leurs propres veines, artères et leur propre système immunitaire, qui résiste vigoureusement à tous nos médicaments anticancéreux.» Le professeur Chang déclare ceci : « notre hypothèse est qu'une forme de vie extraterrestre supérieure a entrepris de créer une nouvelle vie et de l’implanter sur diverses planètes. La Terre est juste l’une d'entre elles. Peut-être, après programmation, nos créateurs nous cultivent-ils de la même manière que nous cultivons des bactéries dans des boîtes de Pétri. Nous ne pouvons pas connaître leurs motifs - si c'était une expérience scientifique ou une manière de préparer de nouvelles planètes à la colonisation ou si c’est depuis longtemps affaire de semer la vie dans l'univers. » Le professeur Sam Chang indique encore que "si nous pensons à cela en termes humains, lesdits «programmeurs extraterrestres » travaillaient très probablement sur un « grand code unique » consistant en plusieurs projets, lesquels devraient avoir produit diverses formes de vie pour différentes planètes. Ils ont également essayé diverses solutions. Ils ont écrit «le grand code», l'ont exécuté, n'ont pas aimé certaines fonctions, les ont modifiées ou en ont ajouté de nouvelles, l’ont exécuté encore, ont apporté plus d'améliorations et ont fait de multiples essais.

L'équipe de chercheurs du professeur Sam Chang conclut en outre que les apparents «programmeurs extraterrestres » ont pu avoir reçu l’ordre d’interrompre tous leurs plans d’avenir idéalistes quand ils se sont concentrés sur le « projet Terre », afin de pouvoir tenir leur délai concernant cette planète. Semblant très pressés, les «programmeurs extraterrestres» ont pu avoir réduit rigoureusement le grand code et avoir ainsi fourni le programme de base prévu pour la Terre. Le professeur Chang est seulement l'un des nombreux scientifiques et chercheurs qui ont découvert les origines extraterrestres de l'humanité. Lui et ses collègues de recherche prouvent que des lacunes de l’apparente programmation extraterrestre dans le séquençage de l'ADN, précipitées par une hâte hypothétique pour créer la vie humaine sur Terre, ont donné à l'humanité une croissance illogique de masses de cellules que nous connaissons sous le nom de cancer. Le professeur Chang indique encore ceci : « ce que nous voyons dans notre ADN est un programme se composant de deux versions : un grand code général et un code de base ». M. Chang affirme ensuite que « le premier fait est que le programme complet n'a certainement pas été écrit sur Terre ; c'est maintenant un fait vérifié. Le deuxième fait est que ces gènes ne sont pas suffisants par eux-mêmes pour expliquer l'évolution ; il doit y avoir quelque chose de plus en jeu. » « Tôt ou tard », dit le professeur Chang « nous devrons affronter la notion incroyable que chaque vie sur Terre porte le code génétique de son cousin extraterrestre et que l'évolution n'est pas ce que nous pensons. »

(Source: Agoracosmopolitan» - Article de John Stokes traduit par Maat et révisé par D.B., intitulé « Scientists find Extraterrestrial genes in Human DNA » et réconciliant l’hypothèse darwiniste avec le créationnisme par conception intelligente (exogénèse))

L’exogénèse, solution ultime du conflit entre créationnisme et darwinisme

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Texte ci-dessus avec liens hypertextes : « Dans un article publié le 5 octobre 2006, la Tribune indiquait que 28% des Suisses ne croient pas à l'évolution. Est-ce dû au refus instinctif d'admettre que notre corps est celui d'un primate ayant 98,8 % (chiffre de Wikipédia) de ses gènes en commun avec le chimpanzé moderne? Ni l'évolutionnisme ni le dessein intelligent d'une divinité ne répond vraiment à nos interrogations mais une troisième solution existe: celle de l'exogénèse. Dans les tablettes écrites il y a 3 800 ans environ à Sumer, on explique que les dieux avaient du mal à se procurer leur nourriture. Pour faire face à ce problème, Enki, sous l’instruction de sa mère, fait pétrir les hommes, à l’image des dieux, dans de l’argile. Marduk décide la création de l’humanité et tranche les veines de Kingu. Du sang qui s’écoule, Ea crée l’humanité. D'après les traductions d'Anton Parks, l'humanité aurait ainsi été créée par hybridation du génome d'un primate terrestre avec celui d'êtres techniquement évolués mais ayant besoin de main-d'œuvre. Notre ADN aurait toutefois été bridé de façon que l'homme ne soit qu'un bon travailleur pour les dieux, le mot A-dam signifiant simplement, en sumérien, bétail. La thèse de l'exogénèse, soutenue par des scientifiques aussi sérieux que l'astrophysicien Gerry Zeitlin, réconcilie l'évolutionnisme avec le créationnisme, avec la différence que le coup de pouce a été donné par des généticiens évolués et non par Dieu. Reste évidemment la question de savoir comment ces extraterrestres ont eux-mêmes été créés, mais c'est un autre chapitre! »

La revue Nexus 50 (mai-juin 2007) a publié une excellente interview d’Anton Parks résumant clairement sa thèse.

Le numéro 59 de la revue "Top-Secret" a publié un excellent article de 6 pages, par l'érudit Michel Girard, sur l'exogénèse de l'Homo Sapiens par les "Elohim" bibliques, qui correspondent aux divers "dieux" mentionnés antérieurement dans les tablettes sumériennes.

Selon Anton Parks, les «dieux» d’apparence reptilienne représentés sur les tablettes de l’antique Sumer ne seraient pas nos créateurs comme l’affirme Sitchin mais nos «re-créateurs». "Ils ont fait main basse sur une partie la banque génétique du vivant, l’ont prise en otage pour la détourner et servir leurs propres ambitions : le pouvoir. Les Gina'abul ont tronqué le code génétique des êtres humains pour transformer ces derniers en Á-DAM (animaux ou bétail en sumérien) à leur service. Cette situation est toujours d'actualité aujourd'hui, surtout lorsque l'on distingue avec détachement les comportements anormaux et souvent inhumains des dirigeants de ce monde au service des fossoyeurs galactiques que les Kadištu (planificateurs) nomment Gílimanna (Bestiaire Céleste). Il s'agit de chroniques plus ou moins détaillées qui relatent leur établissement et surtout leur mainmise sur l'humain qu'ils transformeront génétiquement en bétail pour leur plus grand plaisir, car les Anunnakis sont plutôt paresseux ! D'où le fait qu'ils soient considérés comme des "dieux" (ou carrément « Dieu ») aux yeux de l'humanité. Après mille et une péripéties, le Haut Conseil Anunna se voit dans l'obligation de fabriquer génétiquement un être humain afin qu'il accomplisse les besognes journalières à la place des "dieux". Ces esclaves humains ne sont pas directement désignés comme étant des Á-DAM (animaux), mais plutôt des Lùlù, c'est-à-dire des êtres "mélangés". Enki (ou Ea) – fils d'An et de Mamítu-Nammu, qui dirige sous la contrainte les opérations pour la caste dominante, à savoir les Anunna – ne supporte pas de voir sa création génétique utilisée comme de vulgaires Á-DAM (animaux). Il va progressivement modifier le spécimen esclave afin de le rendre autonome. Nous pouvons en conclure sans l'ombre d'un doute que le serpent de la Bible n'est autre qu'Enki le généticien, autrement dit Nudímmud le cloneur. Malheureusement, je ne vais rien vous apprendre en vous rappelant que tout a été fait pour cacher la vérité sur l'origine et l'apparence des "dieux" qui ont transformé le code génétique de l'humanité en vue d'aliéner leurs esclaves qu'ils assimilent à des Á-DAM (animaux). Le fossé qui sépare Enki (le serpent généticien et "guérisseur") et Enlíl, le Šàtam (en sumérien "l'administrateur territorial") de l'Edin, est bien là lorsque l'on sait qu'Enlíl appuyait la doctrine patriarcale des "dieux" déchus sur la Terre. Nous pouvons dire que les Gina'abul sont, sur ce point, largement en "avance" sur l'humain, bien que je doute qu’il s’agisse d’un progrès que de savoir programmer l’humanoïde via la génétique. Les Gina’abul possèdent depuis de nombreux millénaires la connaissance du clonage. On trouve trace de ce savoir sur les représentations en argile de Mésopotamie, les codex mayas ou encore certaines figures égyptiennes comme dans la tombe de Thutmosis 3 dans la Vallée des Rois. L'histoire que je raconte est saturée de ces manipulations génétiques et je sais bien où elles ont mené les Gina'abul et surtout l'espèce humaine. Une des plus remarquables manipulations des Gina'abul est d'avoir aliéné l'être humain afin d’en faire un animal à son service. Pour cela, les Gina'abul sont partis de l'Humanoïde originel qu'ils ont mixé avec leurs propres gènes et ceux du singe. L'Etre humain originel fut assemblé par les Kadištu (planificateurs). Son rôle était de garder l'animalerie du jardin planétaire. Comme le précise justement la Genèse (1,26), il fut le dernier spécimen à avoir été intégré dans la réserve vivante des planificateurs. Le but de cette réserve était d'assembler les connaissances génétiques des émissaires de la Source. L'Etre humain originel était très respecté, car il regroupait à lui seul le patrimoine génétique de nombreuses espèces planificatrices." C'est ce patrimoine génétique inactivé de l'Homme originel que les scientifiques actuels –comme le professeur Sam Chang ci-dessus- retrouvent dans ce qu'on appelait jusqu’à maintenant "l'ADN-poubelle" !

Schéma des manipulations génétiques ayant abouti à la création des êtres humains actuels d’après Anton Parks

(noter dans ce schéma que la lignée à peau blanche (Lubarra) a été créée après les lignées à peau noire)

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Après avoir lu les 918 pages des 2 premiers livres d’Anton Parks –confirmés et développés par l'astrophysicien américain Gerry Zeitlin, ce qui est une excellente référence- je pense qu’il n’y a pas eu, de la part des manipulateurs génétiques qui ont codé notre ADN, de travail incomplet, erroné ou trop rapide. Je crois plutôt que toutes ces « erreurs » ont été délibérées, leur finalité étant de casser un ADN originel trop évolué afin d’obtenir des véhicules physiques diminués, n’employant que 3 % de leurs capacités génétiques initiales et fragilisés par l’insertion de séquences pathogènes (rétrovirus) très nombreuses (8 % du génome !). Le calcul de nos manipulateurs-créateurs (affaiblissement de l’humanité afin de mieux la contrôler et commander) se retournera finalement contre eux car, grâce aux efforts de prévention et d’hygiène nécessaires afin d’éviter de réveiller nos séquences pathogènes, la sélection naturelle aboutira peu à peu -logiquement et paradoxalement- à renforcer les capacités d’une fraction intelligente et sensible de l’humanité de façon à la préparer à retrouver sa dimension d’origine. D’après le calendrier maya et d’autres sources, une telle opportunité devrait se produire vers la fin de l’année 2012. Des informations circulant actuellement dans le réseau IP indiquent que nous serons bientôt aidés à réactiver certaines séquences oubliées de notre ADN afin de nous transformer, de nous libérer de notre assujettissement actuel et de protéger notre planète Terre si convoitée dans l'univers.

 Nous sommes tous des Reptiliens !

Le problème est complexe car si nous vivons dans un véhicule physique ainsi vérolé et bridé, il se peut que notre âme actuelle ait été obligée de s'y incarner à la suite d’erreurs commises autrefois en tant que psychisme ayant vécu dans un corps d’Annunaki ou d’une autre entité reptilienne! A mon avis, nous portons la marque reptilienne aussi bien dans notre ADN manipulé que dans notre psychisme. En voyant la mentalité de "caïmans" de certains humains actuels, je pense que la punition et la chute bibliques s'expliquent par la nécessité d’un purgatoire terrestre pour les âmes dégénérées qui ont animé des Reptiliens (ou des Félidés ou d’autres êtres de notre dimension) mais qui ont accumulé trop de karma négatif.

De même que notre génome est à 98 % de l'ADN-Poubelle, notre planète est devenue un camp de redressement apparemment magnifique mais peut-être bien inférieur à ce qui serait possible ailleurs, dans la dimension de l’Homme Primordial, de l’être humain originel dont il est question ci-dessus. Tant qu’elles n’ont pas "viré leur cuti" par l'expérience et la connaissance acquises sur la Terre, la plupart des âmes humaines incarnées ici ne sont guère meilleures que celles de ceux qui nous contrôlent et qui sont nos propres frères et sœurs psychiques. Compte tenu de leurs erreurs manifestes, nos actuels "contrôleurs" reptiliens feront sans doute aussi leur stage ici quand leur tour viendra. Dans cette optique et conformément à la tradition gnostique, le corps physique -noir, blanc, à écailles, à plumes ou à fourrure- n'est finalement qu'un masque, qu'un simple véhicule biologiquement adapté à la planète où les âmes doivent s'incarner afin de retrouver la Source dont elles se sont éloignées, "afin qu'il ne se perde plus une seule brebis." (Jér. 23.4).

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