Biocarburants, énergies et réchauffement climatique du système solaire : encore 500 ans de ressources énergétiques devant nous ?
(mise à jour du mardi 28 août 2012 )
[Avertissement préalable : le titre à l’emporte-pièce ci-dessus ne signifie évidemment pas qu’il faille abandonner tous les louables efforts actuels visant à lutter contre le gaspillage éhonté des énergies et contre la veulerie des gros pollueurs industriels. Récupérateurs, accumulateurs et autres échangeurs de calories sont par exemple des applications rationnelles, comme je l’ai exposé dans ma page sur les climatiseurs écologiques sans compresseur et dans ma page sur l’écologie en général. Mon seul but est de lutter contre la désinformation et la pensée unique que certains écologistes bien-pensants veulent imposer dogmatiquement, comme une religion. Il ne s’agit pas de croire mais de savoir. La connaissance vraie est toujours démontrable et claire. D.B.]
Notre planète se réchauffe-t-elle vraiment à cause des émissions de gaz carbonique (CO2) ? Constate-t-on une corrélation entre l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère et le réchauffement de la Terre ? Comme le montre ce petit diaporama (patienter svp jusqu’au chargement/ouverture du fichier pdf), le méthane (CH4) émis par le bétail contribue 25 fois plus à l’effet de serre que le gaz carbonique, de sorte que la consommation de viande est plus polluante que tous les transports réunis : cela a été démontré dans un récent rapport de la F.A.O (voir la page "L'Etat subventionne la Malbouffe et la Pollution"). Cet autre diaporama, intitulé « Le Climat se Gâte » (patienter svp jusqu’au chargement/ouverture du fichier ppsx qui est à examiner attentivement), démontre scientifiquement l’arnaque de l’origine anthropique du réchauffement planétaire que voudrait nous imposer le GIEC, dont les magouilles et malhonnêtetés diverses sont ici révélées au grand jour (de même que dans les vidéos ci-après).
Trois excellentes vidéos décrivent clairement l’influence prépondérante du Soleil sur le climat de la Terre, qui a été formée en même temps que lui, il y a 4,5 milliards d’années environ. La première (12 min) expose la fraude des climatologues officiels qui ont cherché à imposer la pensée unique du réchauffement par des moyens malhonnêtes, finalement révélés grâce à de géniaux pirates informatiques. La seconde (9 min) est une démonstration scientifique par le professeur Vincent Courtillot, directeur de l’Institut de Physique du Globe. La troisième (8 min) est une explication scientifique des effets géophysiques du Soleil. Et dans ce diaporama (patienter svp jusqu’au chargement/ouverture du fichier pdf) le géologue Robert Giraudon explique que la contribution anthropique au réchauffement climatique n’est que d’environ 1 %.
En réalité, le réchauffement climatique actuel ne concerne pas que la Terre, mais tout le système solaire, ce qui pourrait suffire à montrer que l'activité humaine (même si elle doit être améliorée sur le plan écologique) n'a qu'une incidence marginale et qu’il s’agit d’un phénomène cosmique sur lequel nous n’avons aucune influence réelle.
Sept solutions pratiques originales
1) Les pneumatiques en caoutchouc à l’orange
Le 7e fabricant de pneumatiques mondial, Yokohama, vient de réaliser un pneumatique (DNA Earth-1, voir cette vidéo) dont la résistance au roulement est de 21 % inférieure à celle des pneus classiques. Ce pneu nécessite par ailleurs 5 fois moins de pétrole que les autres pneus (réf. Science et Vie, 09/09, p. 27) ! Son secret consiste à incorporer de l'huile d'orange (extraite des pelures) dans le caoutchouc naturel afin de briser les ponts intermoléculaires et ainsi assouplir la bande de roulement, qui est à la fois plus confortable et plus agrippante à la route.
2) Le pétrole inépuisable écologique et bon marché " de Jean Laigret (1893-1966)
La revue L'Ere Nouvelle (BP 171 - 06407 Cannes cedex) a publié, dans son numéro 182 de janvier-février 2008, un article de Henri Durrenbach (déjà publié en 1991) dont voici un bref aperçu. Après avoir multiplié les expérimentations, Jean Laigret a pu constater que 100g de savon donnaient 75 cm3 de pétrole grâce à l'action du bacille Clostridium perfringens. Selon les matières, les résultats varient un peu, par exemple:
- 1 tonne d'huile fermentée donne 800 litres de pétrole brut et 200 m3 de gaz combustible;
- 1 tonne de déchets de viande donne 450 litres de pétrole et 140 m3 de gaz combustible;
- Les déchets de poisson fournissent 70 % de leur poids en pétrole, les écorces d'orange et de citron 37 %, et les feuilles mortes 25 %.
On peut y ajouter les boues d'égouts (environ 185 litres de pétrole brut par tonne), auxquelles pourraient s'ajouter les ordures ménagères, les déchets d'abattoirs, sang et animaux malades, plus des algues (l'iode favorisant la fermentation) et les broussailles (ce qui réduirait de beaucoup les feux qui dévastent chaque été les forêts, incendies souvent très étendus, meurtriers, extrêmement coûteux à traiter, sans compter le rôle que toute cette biomasse brûlée joue sur le taux de carbone). Le prix de revient : à peu près celui du pétrole naturel, moins les frais de forage. Le Dr Jean Laigret, homme de talent et de vérité, peu préoccupé de sa carrière personnelle, est décédé en 1966.
Références bibliographiques : - Laigret (Jean) - Titres et Travaux Scientifiques, 15 p. dac. ronéo., 1947 (archives Pasteur, TRE.DS.57). - Laigret (Jean), "La petite histoire de la découverte de la vaccination contre la fièvre jaune", Médecine Tropicale, 65, 2005, pp. 290-292.
Sources: [1] [2] - Voir aussi: Top Secret 40, décembre 2008, p. 52-54, qui reproduit un article de "La Dépêche Tunisienne" du samedi 30 avril 1949 et des photos extraites du numéro 382 de Science et Vie, juillet 1949, qui contient un dossier complet sur cette invention oubliée.
3) La filière des micro-algues
Le biologiste Claude Gudin dirigeait autrefois le Groupe de Biotechnologie solaire du C.E.N.-Cadarache, dont on ne parle plus actuellement mais dont les recherches semblent avoir été reprises par l'Observatoire océanologique de Villefranche (Antoine Sciandra) et par d'autres chercheurs du CNRS. Mais qu'en est-il des découvertes initiales de Claude Gudin dans les années 70 à Cadarache ? D'après un article de Pierre Bec retrouvé sans date dans mes archives mais vraisemblablement antérieur à 1975, un simple "tunnel à melon" d'agriculteur, d'une surface de 1 ha, "peut produire 25 tonnes de gazole par an et 51 tonnes de biomasse" (ou "bifteck de pétrole")) avec une micro-algue! Gudin ajoute: "n'importe quel bon désert peut faire l'affaire".
Des articles faisant le point sur la question des algocarburants et agrocarburants -passant totalement sous silence les travaux de Claude Gudin- ont paru dans la revue Science et Vie : 1) en février 2009, n° 1097, p. 68-73, sous la plume de Muriel Royer de Véricourt ; 2) en janvier 2010, n° 1108, p. 53 (production d’isobutène par bactéries et de biodiesel par microalgues). Et dans la Tribune de Genève du vendredi 18 juin 2010 :
Reportage diffusé au 20h de TF1 le 31 janvier 2012 (2min40s) :
Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences - Au mois de décembre 2008, un Boeing 747-400 de la compagnie Air New Zealand s'envolera avec, dans l'un de ses réservoirs, un biocarburant tiré du jatropha.
5) Les brevets de Charles Cottell
En date du 22 décembre 1972, le chercheur Eric Charles Cottell, représenté par la société Gevers, a obtenu en Belgique le brevet d’invention BE785280 intitulé «Procédé de combustion par brûlage d’une émulsion combustible-eau». L’expérience montre en effet qu’une agitation ultrasonique permet d’émulsionner en particules fines un mélange à 30 % d’eau et 70 % d’hydrocarbure (essence, gazole, mazout) sans modification des propriétés thermiques de celui-ci. Cette invention géniale a été signalée dans la revue Newsweek du 17 juin 1974. En date du 20 septembre 1977, Eric Cottell a également déposé aux Etats-Unis le brevet d’invention 4048963, sous le titre «Combustion method comprising burning an intimate emulsion of fuel and water». Bizarrement, cette invention n'a pas encore trouvé d’application à ce jour! Il en est de même du carburant inventé par Ivan Makhonine au début du XXe siècle, qui a fonctionné parfaitement mais qu'on a préféré oublier dans un tiroir... Ingénieur russe ayant réalisé le premier train électrique qui fonctionna durant deux années entre St Pétersbourg et Moscou, il émigra en France en 1922. Il avait inventé un carburant révolutionnaire ininflammable à froid et qui était extrait des charbons et huiles lourdes. Extrêmement économique et trois fois plus performant que l'essence, ce carburant ne parvint jamais à être agréé et l'inventeur se heurta aux trusts pétroliers jusqu'à la fin de sa vie.
6) La fin des combustibles fossiles par la fusion froide ?
Un article sur la fusion froide a paru dans la revue Science et Vie de mars 2012, p. 134-135, au sujet du catalyseur-générateur « E-cat » d’Andrea Rossi. Concernant la recherche de solutions « surunitaires » de ce type, voir le site « Quant’Homme ».
7) Nouveau concept d’éoliennes à rotation horizontale
La Tribune de Genève du vendredi 7 mai 2010 a publié en page 7 un intéressant article intitulé « Un vent de fronde souffle sur les éoliennes en Suisse », soulevant le problème de l’installation de telles génératrices dans un environnement à urbanisation de forte densité comme la Suisse romande. Une solution radicale aux inconvénients visuels et environnementaux pourrait consister à faire appel à un nouveau type d’éoliennes, sans mât vertical mais à rotation horizontale, comme le système alsacien Aeolta décrit ci-dessous, dont le rendement est 17,6 % supérieur à celui d’une éolienne verticale de mêmes proportions.
Un tel système pourrait par ailleurs être associé au système de production d’eau pure et potable (conforme aux trois paramètres de la bioélectronique) proposé par la firme Eole-Water :
Etant retraité d’une organisation internationale, ma démarche est purement bénévole et désintéressée. La revue Nexus 68 (mai-juin 2010) a publié un article à ce sujet en page 102 :
Conclusion
Sur la base de l’hypothèse erronée du réchauffement dû au CO2, l'OPEP, qui contrôle 77 % des ressources connues de pétrole brut, impose des restrictions artificielles de l'offre, de même que les Etats-Unis d’Amérique et la plupart des autres pays producteurs. Les informations alarmistes et les restrictions imposées par ces pays visent délibérément la création d'une panique dont les avantages spéculatifs et politiques sont énormes. Il ne s'agit pas de « paranoïa » comme on veut nous le faire croire (compte tenu des réserves disponibles) mais d'un plan organisé par ceux qui veulent imposer à l'humanité une crise économique qu'ils jugent nécessaire afin de mieux la contrôler et d’en faire diminuer la population, qu’ils jugent excédentaire. Un des éléments clés de ce plan consiste à culpabiliser les gens en leur faisant croire que leur consommation d’énergie et donc leurs émissions de gaz carbonique provoquent le réchauffement planétaire, alors que les scientifiques sérieux ont démontré que la courbe des températures terrestres est beaucoup mieux corrélée avec celle de l’activité solaire qu’avec le taux de CO2 dans l’atmosphère.
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